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Héraldique

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Elizabeth II (regina Britanniarum) Héraldique. Héraldique. Allianzwappen. Ein Allianzwappen ist die Darstellung zweier Wappen, deren Träger (Personen, Länder, Fürsten- oder Bistümer) durch eine Allianz verbunden sind.

Allianzwappen

Bekannt sind diese seit dem Ende des 13. Jahrhunderts. Es gibt zwei Formen, die Allianz in einem gespaltenen Schild, oder als zwei nebeneinandergestellte Schilde unter einem Oberwappen. Der ranghöhere Schild (des männlichen Ehepartners, des Hauses, oder des Bistums) befindet sich heraldisch rechts, und stellt das Oberwappen. Entstehung[Bearbeiten] Allianzwappen von Herr und Territorium[Bearbeiten] Die eine Variante ist das Allianzwappen im ursprünglichen Sinne, bei dem das Wappen des Herrscherhauses vor das Wappen des Territoriums, in dem es regiert, tritt. Frauenwappen. Damenschild in Rautenform mit Liebesseil und Liebesknoten Darstellung des Wappens Zara Phillips mit Schleife, der Schild ornamental auslaufend Ehe-/Allianzwappen eines Herren von Zimmern und einer Gräfin von Calw Das Frauenwappen war eine in der Heraldik besonders für Damen vorbehaltene Form, ein Wappen zu führen.

Frauenwappen

Die bevorzugte Schildform wird als Damenschild in der Heraldik bezeichnet. Diese Schildform ist nie zum Kampf oder bei einem Turnier verwendet worden. Frauenwappen lassen sich bereits im 12. In Großbritannien zeigt eine gebundene Schleife über dem Schild eine unverheiratete Frau an. Die Liebesseile mit Liebesknoten unterstreichen die Partnerzusammengehörigkeit. Die Wiederheirat der Frau führt häufig zu einer Dreizahl an Wappen. Siehe auch[Bearbeiten] Weblinks[Bearbeiten] Vorlage:Internetquelle/Wartung/Zugriffsdatum nicht im ISO-FormatVorlage:Internetquelle/Wartung/Datum nicht im ISO-FormatBernhard Peter: Ehewappen. Charge (héraldique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Charge (héraldique)

Pour les articles homonymes, voir Charge. Le terme « plain » est un terme de vieux français, qui ne se rencontre plus guère qu'en héraldique et dans les expressions « de plain pied » et « plain-chant », voire dans harnois plain (armure de plates complète). Il désigne quelque chose qui n'a pas de rupture ou d'altération, idée qui se retrouve dans sa forme féminine « une plaine ». Un écu plain (on tend à présent à dire « plein ») n'a qu'un champ, qu'aucune charge ne vient altérer : le champ plain couvre toute sa plaine. Peu d'écus sont d'un champ de couleur « plain », la plupart sont agrémentés (chargés) par des motifs (charges) dont le but technique principal est de singulariser les armes. Le dessin des charges est toujours très stylisé, parfois à l'extrême, sans effet de modelé, ni d'éclairage (couleur en aplat, parfois cernée d'un trait).

De gueules à la croix gironnée d'or et d'azur. Meuble héraldique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Meuble héraldique

Un meuble n'est pas destiné à être représentatif, mais est symbolique : il est donc stylisé, et sa représentation est généralement conventionnelle. Un même meuble utilisé en nombre conserve les mêmes attributs pour chaque élément, en particulier la couleur. Dans le cas contraire ils doivent être blasonnés séparément. Par défaut, un meuble utilisé seul se place au centre de la zone qu'il charge. Si ce n'est pas le cas, cette position inhabituelle doit être blasonnée.

Disposition des meubles[modifier | modifier le code] Les meubles peuvent être disposés sur le champ ou sur les pièces honorables, voire sur d'autres figures. Les meubles posés sur une bande sont normalement alignés (voir l’exemple de la Lorraine), et prennent l’orientation de celle-ci, dans un sens ou dans l’autre suivant que la principale dimension du meuble est verticale ou horizontale. Position ordinaire des meubles[modifier | modifier le code]

Liste des meubles héraldiques. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Liste des meubles héraldiques

La liste des meubles héraldiques se compose de trois sortes de meubles Les meubles spécifiquement héraldiques : ils n'ont pas d'existence hors des blasons (exemple : le roc d'échiquier)Les meubles dont la représentation héraldique est très codée, la ressemblance avec leurs modèles non héraldiques pouvant être très éloignée, voire complètement différente (exemple : le léopard, la feuille d'ortie…)Les meubles parfaitement reconnaissables, mais d'utilisation très fréquente (exemple : la tour, l'épée…) Tout objet, tout être vivant pouvant figurer comme meuble dans un blason, la liste ci-après risquerait de tendre vers l'infini si elle ne se limitait pas à ces trois catégories… Donc, merci de ne compléter cette liste qu'en observant les critères ci-avant. A[modifier | modifier le code] Abeille[modifier | modifier le code] L'abeille est représentée montante, vue de dos, avec les pattes étendues et les ailes entr'ouvertes.

Gemeine Figur. Die Gemeine Figur ist in der Heraldik ein Darstellungselement zur Gestaltung des Wappenschildes als Bestandteil eines Wappens.

Gemeine Figur

Prinzipiell versteht man unter gemeiner Figur alle visuell „wahrnehmbaren Erscheinungen“ der Realwelt. Sie stehen im Gegensatz zum Heroldsbild, das in einer einfachen geometrischen Aufteilung des Schildes durch Teilungslinien besteht, die den Schild in verschiedenfarbige „Plätze“ aufteilen. Viele Wappenschilde kombinieren Heroldsbilder mit Gemeinen Figuren. Arm (Heraldik) Neustrelitz Eine besondere Form ist der Frauenarm, oft auch nur mit Ärmel bezeichnet.

Arm (Heraldik)

Er ist gewöhnlich ein angewinkelter, der durch die zusätzlichen Beigaben erst als Frauenarm blasoniert werden kann. Eine Möglichkeit ist die Darstellung mit einem kurzen Blusenoberarm und in der Beuge hängenden großen Handtasche. Armoriaux divers : Science Héraldique. Héraldique européenne - European heraldry - Free coats - Free pictures. Héraldique européenne... le blog. Spener, Philipp Jakob (1635-1705): Operis heraldici pars generalis & specialis. - Frankfurt <Main>: Zunner, J. A. Jung; Gießen: J. Müller, 1717.