background preloader

Finances

Facebook Twitter

Loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France Lire en ligne Texte sur Légifrance La loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France est une loi française, qui a régi de 1973 à 1993 l'organisation de la Banque de France. Cette loi est parfois surnommée loi Pompidou-Giscard ou loi Rothschild. Ces dernières années, cette loi est au cœur d’un débat sur l’endettement public et la création monétaire. Le débat[modifier | modifier le code] La critique de la « loi de 1973 » s’inscrit en fait dans un débat économique plus large, notamment sur la création monétaire. Jusqu'en 1972, la Banque de France pouvait prêter à l’État sans intérêt 10,5 milliards puis 10 autres milliards à taux très faible[2]. La critique[modifier | modifier le code] Selon les critiques de cette pratique, la classe politique s'est soumise aux marchés financiers qui sont les créanciers de l'État.

Le débat sur cette loi s'est beaucoup répandu sur Internet. Comment crée-t-on l’argent ? Si le peuple comprenait notre système bancaire et monétaire, il y aurait une révolution avant demain. »-Henry Ford La planche à billets ? Pour la plupart des personnes, l’image ci-dessus représente la création d’argent. Les gens se disent que l’Etat, ou toute autre organisation, imprime des billets pour créer toute la monnaie nécessaire. Il n’en est rien ! En fait, seulement 5% de la masse monétaire (tout l’argent sur terre) se trouvent être des pièces ou des billets. Vous avez déjà du entendre que si tout le monde retirait l’argent de son compte, le système s’effondrerait, en voici l’une des raisons : l’ensemble de l’argent n’existe pas matériellement !!! Il est aussi facile de comprendre que, lorsque vous payez par carte bancaire au supermarché, votre compte sera débité de 150€ par exemple et que le compte du supermarché va passer de 300 000€ à 300 150€

. « FAIT N°1 : 95% de l’argent sur Terre est informatique. La création monétaire par le crédit Il n’en est rien ! Imaginez que Mr. . - Mr. Macroéconomie de l’épargne. 1 - L'épargne Pour le grand public, l’épargne se présente sous diverses formes de placements pouvant aller du compte d’épargne au bien immobilier, en passant par les obligations, les bons, les fonds communs de placement, les actions, l’assurance vie, les métaux précieux, les bijoux, les œuvres d’art, les meubles rares, etc. Pour les professionnels qui en font métier : les banques, les établissements financiers, les compagnies d’assurances, les courtiers, et autres, l’épargne monétaire des ménages ou des entreprises représente des fonds à collecter dans le but d’en tirer un profit, c’est-à-dire un différentiel d’intérêt ou marge de profit.

Ainsi donc, le public et les professionnels n’ont aucune raison particulière de s’intéresser aux effets macroéconomiques de l’épargne qui sont pourtant d’une importance vitale pour l’économie d’un pays. 1.1 - la théorie de l’égalité de l’épargne et de l’investissement Primo, cette équation exclut la notion de temps. L’épargne (comptabilité nationale) Philippe Thomas | Conférence sur la Crise financière | 23.10.2008 | ESCP Europe | Campus Paris. Staatsbankrott.