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Economie

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New Economy Barter Markets. Politique: Cornelius Castoriadis p1 - une vidéo Actu et Politique. Politique: Cornelius Castoriadis p2 - une vidéo Actu et Politique. Le Capitalisme à l'agonie: Amazon.fr: Paul Jorion. Dette publique, dette publique... Et la dette privée alors ? Depuis des années et particulièrement ces derniers mois, on nous répète que la dette publique est le pire mal qui puisse affecter l'économie. La dette publique est toujours « trop élevée », elle pèse sur les « générations futures ». Mais, bizarrement, on ne parle jamais de la dette privée (contractée par les ménages et les entreprises). Pourquoi serait-elle plus « supportable » pour l'économie ?

Le graphique suivant [source des données : banque de France] montre l'évolution de la dette privée et de la dette publique (en % du PIB) entre mars 1999 et septembre 2009 pour la zone euro. (Voir graphique) Dans tous les pays de la zone euro (dont la France), la dette privée est plus importante que la dette publique. Le cas de l'Espagne est particulièrement éloquent : L'endettement privé a littéralement explosé depuis 10 ans, passant de 90% du PIB en 1999 à 200% du PIB fin 2009. Dans le même temps, malgré les conséquences de la crise financière, la dette publique passait de 70% du PIB à 60%.

Xerfi Canal Benjamin Coriat Sortir l’entreprise de la financiarisation. Ecce - home. La fin de l'euro, chronique d'une mort annoncée ? La Tribune: histoire du critère des 3% de déficit… « Iconomie. Guy Abeille était chargé de mission au ministère des Finances sous Giscard puis au début de l’ère Mitterrand.

La Tribune: histoire du critère des 3% de déficit… « Iconomie

Il révèle pour La Tribune comment est né, en France et non en Allemagne, le sacro-saint ratio de 3% du PIB pour les déficits publics. A l’origine, il s’agissait d’imposer la rigueur aux ministres socialistes. Puis cette référence cardinale a fait école, bien qu’elle fut dépourvue du moindre sens économique. Par les temps qui courent, les attentions sont focalisées sur les déficits publics. Il vous intéressera peut-être de savoir quelle est la toute origine du seuil de 3% de déficit public rapporté au PIB – référence devenue cardinale, et critère retenu par le traité de Maastricht.

J’y fus chargé de suivre, analyser et commenter au mois le mois l’exécution du budget de l’Etat, et de fournir tout au long de l’année, et de façon de plus en plus pressante quand approchait la fin de l’exercice budgétaire, la prévision de son solde d’exécution – en l’espèce, de son déficit. Arrive 1981. Paul Jorion. Note sur le bancor. Ce texte est un « article presslib’ » (*) Keynes s’était déjà penché plusieurs fois sur la question monétaire.

Note sur le bancor

Son premier livre en 1913 est consacré à la devise indienne : Indian Currency and Finance. En 1930, il publie le Treatise on Money. Il se cantonne cependant jusque-là dans l’analyse, sans s’aventurer dans le domaine de l’application des conclusions auxquelles il aboutit. Quand la Grande-Bretagne et la France déclarent la guerre à l’Allemagne en 1939, Keynes participe dans son pays à la réflexion sur la transition vers une économie de guerre. La position des Britanniques durant la période qui s’étend de mai 1940 à décembre 1941, est que la Grande-Bretagne constitue le front avancé d’une alliance antifasciste implicite. Keynes n’a qu’une piètre opinion du système monétaire classique de l’étalon-or où chaque devise dispose de sa propre parité avec l’or.

Résoudre le déséquilibre de leurs échanges par le protectionnisme et les tarifs douaniers appartiendra alors au passé. Monnaies régionales. Essai sur l’œconomie.