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Crise financière

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ASI-Debat-Melenchon-Attali-1.flv. Pourquoi Jacques Sapir ne doit jamais être invité au JT de France 2. Frédéric Lordon | Accueil. "Et si on fermait la Bourse ?" Et LA MONNAIE Quelques réflexions de base. (pour aller plus loin ?) — >>La monnaie moyen de domination *d’humains sur d’autres humains *sur la nature. — >>Depuis...bien avant le néolibéralisme, la société et son environnement sont instrumentalisés par la monnaie, sont au service de la monnaie créée en abondance, débordant très largement la production et la consommation qu’elle permet d’anticiper -crédit- pour le développement de sociétés non durables non soutenables par la biosphère. (Dans les années 50, les banques -de « dépôt », nationalisées- pouvaient prêter 11 fois les dépôts des clients...) — >> La monnaie moyen de domination et d’enrichissement... La monnaie qui provient de la spéculation... La monnaie qui provient de « l’argent qui travaille » sont de la « fausse monnaie » , monnaie illégitime qui permet l’enrichissement d’une minorité au détriment de la majorité et ...de « la planète ».

(cf. « Comment les riches détruisent la planète » Hervé Kempf Seuil ) Sauver les banques : jusqu'à quand ? (Frédéric Lordon à @si) - une vidéo Actu et Politique. Le plan d'aide à la Grèce : un échec selon F. Lordon - une vidéo Actu et Politique. L'économie guidée par l'opinion et la croyance (F. Lordon) - une vidéo Campus. LA STRATEGIE DE LA VASELINE - une vidéo Actu et Politique. "Leur dette, notre démocratie" : Frédéric Lordon. Le commencement de la fin. Pareilles aux images aériennes du front de tsunami avançant inexorablement vers une côte japonaise dont le sort est scellé, le déploiement de la crise financière depuis trois ans donne une impression d’irrésistible fatalité, avec en prime cette sorte d’incrédulité un peu stupide de dirigeants qui croient encore pouvoir tout sauver quand tout est déjà compromis.

Un choc de la magnitude de la crise dite « des subprime », crise dont on ne redira jamais assez qu’elle a été celle de la finance privée, était voué à produire, via le canal du crédit, une récession dont les conséquences sur les finances publiques s’annonçaient désastreuses. Plus encore impliquées dans la détention de titres souverains qu’elles ne l’ont été dans les titres privés hypothécaires, un choc massif dans l’un puis l’autre compartiment menace de mettre à bas tout le système des institutions financières.

Quand les agences font de la politique Les Etats-Unis à leur tour dans la lessiveuse Le chaos cognitif de la finance. Contre l'effondrement bancaire, Lordon préconise la "création monétaire" La dette grecque bientôt restructurée? Officiellement, rien n’a changé : la Grèce remboursera son énorme dette publique, comme elle s’y est engagée et comme s’y sont engagés ses partenaires de la zone euro afin de rassurer les investisseurs. Mais, dans les coulisses, on commence à admettre que la tâche est impossible : il y a des limites à ce que les peuples peuvent endurer.

«Nous n’en pouvons plus», clamait ainsi mercredi à Athènes une banderole lors de la manifestation qui a accompagné la première grève générale de l’année 2011. «Nous sommes en train de mourir», avertissait une autre. Cette journée, marquée par un regain de mobilisation contre la cure de rigueur sans précédent que les Grecs subissent depuis un an, a fait ressurgir les craintes d’une déstabilisation politique. «Tout le monde réfléchit à une restructuration, mais les autorités publiques ont peur de déclencher au sein de la zone euro un nouveau Lehman Brothers», affirme André Sapir, professeur d’économie à l’université libre de Bruxelles.

Photos: Reuters. Austérité inefficace contre dette publique (video) Vous ne pigez que pouic à la dette publique ? Vous n’êtes pas les seuls. Mais il y a une chose que vous devez savoir : quand les politiques affirment que, pour enrayer cette dette, il faut moins de dépenses publiques, des plans d’austérité ou des privatisations à gogo, soit, comme nous, ils n'ont rien compris, soit ils nous enfument (on peut même envisager les deux). Pour comprendre pourquoi, il faut regarder la vidéo réalisée par Mr quelques minutes : Comprendre la dette publique En 10 minutes seulement, vous comprendrez pourquoi la création de monnaie par le crédit, laissée aux seules banques commerciales, entretient une dette qui se nourrit d’elle-même. Qui est l’auteur de cette vidéo ? Au terme de son travail, pour être sûr de ne pas avoir trop vulgarisé, Mr quelques minutes a sollicité André-Jacques Holbecq, auteur de La dette publique, une affaire rentable (en collaboration avec Philippe Derudder, éditions Yves Michel, 2008).

Abonnez-vous ! Franchir un pas. On peut regarder la crise de deux façons. Avec anxiété devant les menaces qui se profilent à l'horizon - spectre d'une nouvelle récession, risques d'éclatement de l'euro… Ou avec étonnement devant les avancées hier encore improbables qu'elle a permis aux Européens d'accomplir. Qu'on en juge… La Banque centrale européenne devait se contenter de surveiller l'inflation : elle vole aujourd'hui au secours des Etats en difficulté en rachetant leurs titres de dette par dizaines de milliards d'euros.

Les traités interdisaient que les Etats membres soient mis à contribution pour prendre en charge les engagements financiers de l'un des leurs : ils ont fini par mettre au point pour cela un fonds de stabilité financière doté d'une capacité de 440 milliards d'euros. Chaque euro emprunté devait être remboursé rubis sur l'ongle : les chefs d'Etat de la zone euro envisagent désormais de solliciter la participation des créanciers de la Grèce. Mais toutes les formes de solidarité ont un prix. Crise : un complot américain derrière la crise économique de l'Europe ? Atlantico : Laurence Parisot a déclaré au Figaro que la crise économique que traverse actuellement l’Europe avait été "orchestrée" par les États-Unis. Qu’en pensez-vous ? Est-ce plausible ou s’agit-il de paranoïa ? Paul Jorion : C’est plausible, mais c’est de la paranoïa aussi ! En fait, nous nous trouvons dans une situation dégradée aussi bien aux États-Unis qu’en Europe.

J’ai lu beaucoup d’analyses extrêmement pointues venues des États-Unis sur la situation que connait l'Europe en général et la France en particulier. Il existe des rumeurs venues de France, tout comme des rumeurs venues des États-Unis, mais il n'y a pas de "campagne orchestrée". Peut on envisager une nouvelle sorte de "terrorisme financier" où tel pays s'en prendrait à tel autre pour dégrader sa note attribuée par les agences de notation ? Non, ce n’est pas possible. Comment expliquez-vous alors que Laurence Parisot tienne de tels propos ? Je ne sais pas. On sait d’où est née la crise. Dette publique de la France. Dette publique de la France, en milliards d'euros courants et en % du PIB, fin 1978 à fin septembre 2017. Dette publique et affichage des couleurs politiques des gouvernements (source : INSEE).

La dette publique, « au sens de Maastricht » estimée par l'Insee, s'élevait à 2 299,8 milliards d'euros à la fin du deuxième trimestre 2018[1], soit 99 % du PIB, contre 55,8 % à la fin de 1995 et 66,8 % à la veille de la crise de 2008. Ce montant, à rembourser par les administrations publiques, peut être comparé à leurs recettes annuelles, à leurs actifs financiers et à leur patrimoine net. L’endettement public a connu au cours de l’histoire de fortes variations, ne prenant de l'ampleur qu'au XVIIIe siècle et atteignant lors des guerres puis de la Révolution des niveaux considérables, ensuite épongés par des périodes de forte inflation, de forte croissance, ou de hausse des recettes publiques.

De 2007 à 2017, la France ne respectait aucun de ces critères. Définitions[modifier | modifier le code] Quels remèdes démocratiques à la crise européenne?