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Ouvroir de bande dessinée potentielle. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Ouvroir de bande dessinée potentielle (OuBaPo) a été fondé en novembre 1992 au sein de l'Ou-X-Po et à travers la maison d'édition L'Association[1]. Ce comité crée des bandes dessinées sous contrainte artistique volontaire à la manière de l'Ouvroir de littérature potentielle (OuLiPo) créé par Raymond Queneau. Quatre OuPus ont été publiés parcourant les diverses recherches, auxquels s'ajoutent les œuvres individuelles de ses membres et sympathisants. L'OuBaPo a tenu sa première séance de travail dans les locaux de l'atelier Nawak, début 1993[réf. souhaitée]. Histoire[modifier | modifier le code] Constitué en 1992, le groupe de l'OuBaPo est formé lors de la première séance de travail début 1993 de François Ayroles, Anne Baraou, Gilles Ciment, Jochen Gerner, Thierry Groensteen, Patrice Killoffer, Étienne Lécroart, Jean-Christophe Menu et Lewis Trondheim.

Contraintes en bande dessinée[modifier | modifier le code] Retour des toponomes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. François Caradec est un écrivain français, biographe et auteur de pastiches[1], né le 18 juin 1924 à Quimper (Finistère), mort le 13 novembre 2008 à Paris[2]. Parcours[modifier | modifier le code] Il suivit de près la création de l'Ouvroir de Bande dessinée Potentielle (Oubapo). Il fut aussi, avec Jacques Jouet, Paul Fournel et Hervé Le Tellier, de l'Oulipo, l'un des protagonistes de l'émission de radio « Des Papous dans la tête » de France-Culture. Ouvrages[modifier | modifier le code] Ouvrages collectifs[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Pour François Caradec, Les Amis de Valentin Brû, Revue d'études sur Raymond Queneau, no 52-53, décembre 2008, 128 p. Notes et références[modifier | modifier le code] Lien externe[modifier | modifier le code] Notice d'autorité de la BnF Portail de la littérature française.

Uprightdown. Vert pastiche. Exercices de style. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Exercices de style est l'un des ouvrages les plus célèbres de l'écrivain français Raymond Queneau. Paru en 1947, ce livre singulier raconte 99 fois la même histoire, de 99 façons différentes. Contrainte littéraire et plaisir ludique[modifier | modifier le code] Exercices de style est un brillant exemple d'une contrainte littéraire (écrire 99 fois la même histoire) en tant que moteur créatif et constitue à ce titre un texte précurseur du mouvement Oulipo dont Raymond Queneau sera l'un des fondateurs.

La présence d'une deuxième contrainte (chaque version de l'histoire doit illustrer un genre stylistique bien particulier) apparaît à la lecture des titres des 99 versions de l'histoire : Umberto Eco, qui a traduit les Exercices de style en italien, fait remarquer que Queneau détourne volontiers les valeurs esthétiques associées aux figures de rhétorique afin de pouvoir mener ses propres explorations parodiques et ludiques de la langue[1]. Le train de nulle part. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Train de Nulle Part, roman en 233 pages par Michel Dansel sous le pseudonyme de Michel Thaler, sans aucun verbe (2004).

Exemple : « Quelle aubaine ! Une place de libre, ou presque, dans ce compartiment. Une escale provisoire, pourquoi pas ! Donc, ma nouvelle adresse dans ce train de nulle part : voiture 12, 3e compartiment dans le sens de la marche. Encore une fois, pourquoi pas ? Portail de la littérature. Ambigramme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Vœux ambigrammes Un ambigramme est la figure graphique d'un mot qui, vu sous une certaine symétrie ou avec une certaine rotation, donne soit le même mot, soit un autre mot. L'existence d'ambigrammes est rendue possible par la capacité humaine à reconnaître des caractères réalisés de manière imparfaite. La réalisation d'ambigrammes est souvent un thème d'exercices dans les écoles de graphisme et nécessite la maîtrise des illusions d'optique et des symétries. C'est aussi un exercice de calligraphie au même titre que le calligramme. Historique[modifier | modifier le code] Chump, le premier ambigramme publié par The Strand en 1908. L’ambigramme, bien que le terme n’ait été inventé que plus tard, apparaît à la fin du XIXe siècle, avec la possibilité technique de reproduire des écritures « dessinées » dans la presse et l’édition.

Les ambigrammes en langue anglaise sont de loin les plus nombreux sur la toile. Un ambigramme pivotant du mot ambigramme. Clinamen. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans la physique épicurienne, le clinamen est un écart, une déviation (littéralement une déclinaison) spontanée des atomes par rapport à leur chute dans le vide, qui permet aux atomes de s'entrechoquer. Cette déviation est spatialement et temporellement indéterminée et aléatoire, elle permet d'expliquer l'existence des corps et la liberté humaine dans un cadre matérialiste.

Bien que cette théorie ne soit développée que dans le De rerum natura de l'épicurien latin Lucrèce, elle est attribuée à Épicure lui-même[1], son œuvre ayant été en grande partie perdue depuis l'Antiquité romaine. Définition antique[modifier | modifier le code] Dans son De natura rerum[2], Lucrèce décrit un concept qui, loin de déboucher sur un océan d'incertitude, a des accents libertaires et de grande certitude : « Voici encore, en cette matière, ce que je veux te faire connaître.

. « Qu'un rien dévie en quelque chose de sa ligne, qui serait capable de s'en rendre compte ? Contrainte artistique volontaire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une contrainte artistique volontaire est une contrainte artistique (formelle, théorique, plastique, thématique…) utilisée sciemment comme un moteur créatif. Le rapport entre les contraintes artistiques et littéraires et la liberté est problématique : on soupçonne parfois les premières de nuire à la seconde.

Pour lever cette ambiguïté, les praticiens utilisent aussi un oxymore, la "contrainte libératoire", qui investit le concept de toute sa charge créatrice. La contrainte en littérature[modifier | modifier le code] Les contraintes sont à la base de la littérature « oulipienne » et plus généralement de tous les « Ouxpo » Ouvroirs d’X Potentielle (Oulipo, Oupeinpo, Outrapo, Oubapo, Ourapo etc.) « Parce que la forme est contraignante, l'idée jaillit plus intense ! » Charles Baudelaire, à propos de la forme sonnet, dans Petits poèmes en prose.

Exemples[modifier | modifier le code] Le Train de Nulle Part est un roman écrit en 2004 sans verbe. L'art de la pointe. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. « Je te veux pour Wikipediarmy » Pastiche littéraire[modifier | modifier le code] Le pastiche est aussi vieux que la littérature. C’est l’imitation minutieuse du style d’un écrivain, reproduisant les formes et les contours de ses phrases, comme la pâte d’un moule reproduit un modèle. Dans la littérature française, Rabelais est l’un des premiers à pasticher, dans Le Tiers Livre, les œuvres et les auteurs de son temps. Les deux maîtres du genre sont évidemment Paul Reboux et Charles Muller, qui, au début du XXe siècle, vont se lancer dans le « à la manière de », pastichant à la fois la forme et les thèmes de cette talentueuse série de pastiches signés Sosie, celui de Maupassant restant un modèle du genre. Marcel Proust s'illustre dans ce registre par son long pastiche du Journal des Goncourt dans Le Temps retrouvé et par son recueil Pastiches et mélanges.

Pastiche de tableau[modifier | modifier le code] Voir l'article: Versailles et ses répliques. 2/ vent-du-nord projet FR-USA. eVa en vacances.