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10 plantes et légumes que vous pouvez faire repousser indéfiniment. Plutôt que de gaspiller des restes de légumes et de plantes dont vous n’avez plus besoin, pourquoi ne pas les faire repousser ? DGS vous présente 10 plantes et légumes que vous pouvez replanter indéfiniment ! 1. Pommes de terre et patates douces Coupez les pommes de terre en morceaux relativement gros avant de les plonger à moitié dans de l’eau. Puis laissez-les sécher un moment. Après cela, préparez la terre pour y planter les germes et avec un peu de patience, votre toute nouvelle pousse de patate sera là ! 2. D’abord, retirez le chapeau du champignon et plantez la tige dans un mélange de terre et d’engrais : il faut qu’une petite partie de la tige dépasse, pas plus. 3. Coupez la partie des racines pour ne laisser qu’un ou deux centimètres du bulbe. 4.

Si vous coupez la partie supérieure d’une tige de basilic ou de menthe, vous pouvez la faire repousser en la faisant tremper dans l’eau. 5. 6. 7. Le gingembre peut repousser tout seul si vous le replantez dans du terreau. 8. 9. 10. 5 conseils pour réussir ses semis. Savoir planter est l’un des savoir faire de base du jardinier. Aussi, pour tous les nouveaux jardiniers ou jardiniers amateurs, il n’est pas inutile de rappeler les points clés pour réussir ses semis Si l’hiver marque un temps de repos pour le jardin, le potager, le verger… il n’est toutefois pas synonyme d’inactivité pour le jardinier ! A peine le mois de janvier entamé, il faut déjà penser à la préparation des semis qui feront, à terme, un jardin sain et fertile ! Selon les experts Nature®, la réussite des semis repose sur 5 points clés : un bon éclairage: les semis intérieurs ont besoin de 12 à 14h de lumière par jour ;une température appropriée: pendant la germination, la température idéale se situe entre 21°C et 24°C pour la plupart des légumes et entre 25°C et 30°C pour la famille des Solanacées (comme la tomate, le poivron, l’aubergine…).

Quand et comment faire ses semis ? Et aussi : 6 légumes pour toute l'année : les perpétuels. Aquaponie pratique. Association de plantes : savez-vous planter les choux ? A la mode, à la mode. Apprendre à associer ses plantes correctement permet d’éviter l’usage de produits polluants, d’engrais chimiques et de pesticides tout en obtenant de bonnes récoltes. Etre attentif à l’occupation de l’espace, à l’utilisation des sols, mieux le couvrir pour le rendre moins accessible aux mauvaises herbes, exploiter les vertus des végétaux, écouter son environnement, ce sont les principes clés du compagnonnage.

Permettant la protection mutuelle des plants contre les insectes ou favorisant simplement la croissance du jardin, le « compagnonnage des plantes » est une règle de base du jardinage responsable. Bien que parfois controversée, ces « petits trucs de grands-mères » issus de l’observation et de la pratique ont pourtant fait leurs preuves. Les plantes aromatiques, des vertus protectrices et répulsives La lavande et le basilic chassent les parasites comme les mouches, les moucherons ou les moustiques. L’aneth et la ciboulette protègent les carottes et les concombres. Associations positives/négatives des plantes dans le jardin potager Potagic. Comment réussir un potager de balcon. Pour réussir votre potager sur balcon, suivez nos conseils pratiques.

Les balcons de ville se couvrent de plus en plus de petits potagers, les terrasses d’appartement deviennent de véritables jardins où prospèrent des variétés inattendues de plantes décoratives ou alimentaires. Quel type de potager pour quel balcon ? Votre potager sur balcon peut prendre différentes formes selon la configuration de votre balcon ou terrasse : En hauteur : potager surélevé est recommandé pour les personnes qui ont du mal à se baisser et veulent travailler à hauteur, sans avoir à se pencher.

Prévoyez par exemple des tables de culture sur pieds ou sur roulettes (en bois imputrescible labellisé) ; des accroches murales.En carré : le potager en carré est idéal pour maximiser l’espace en divisant la surface de culture en différents carrés (25 à 50 cm pour chaque culture).En kit : il existe aussi des kits potagers modulaires ou prêts à assembler. Sur mon balcon – Et la terre ? Pensez à bien : Mélangez les plantes ! Comment réussir un potager de balcon - Page 2 sur 2. Pour réussir votre potager sur balcon, suivez nos conseils pratiques. Les deux principes du potager sur balcon 1 – La culture en carrés Je vous recommande de suivre la méthode de culture en carrés qui a été décrite par Mel Bartholomew dans un livre publié en 1981, « Square Foot Gardening ». Il y décrit cette méthode qui consiste à faire des cases de 30 cm de côté, de les mettre dans un ensemble carré de 1,20m x 1,20m, au maximum.

Vous obtenez ainsi 4 x 4, soit 16 carrés. Cette disposition est celle qui permet les meilleures accessibilité et optimisation de l’espace. On peut bien sûr regrouper les carrés par multiples de 30 cm en fonction des plantes cultivées : 2 – La rotation des cultures Le 2ème principe permet au potager sur balcon d’obtenir d’excellents rendements : une plante remplace l’autre. Pensez par exemple à mélangez les aromates et les légumes. Optimiser son potager de balcon selon l’ensoleillement 4 à 6 heures de soleil par jour 6 heures de soleil par jour. Jardin au naturel/Pourquoi créer un jardin au naturel ? — Wikilivres. Un livre de Wikilivres. Qui n'aime pas écouter le chant des oiseaux, sentir le parfum des fleurs ? Qui ne s'émerveille pas à l'envol d'un papillon ou, plus rare, d'une libellule ?

Le jardin est un lieu privilégié propice à la découverte de la nature, à la rencontre de ses habitants sauvages. Il est donc tout naturel d'y réserver des endroits pour y accueillir la nature. Enfin, un jardin au naturel permet de réduire son empreinte écologique tout en contribuant à reconstituer une trame verte et bleue indispensable à la survie de nombreuses espèces. Jardin bio : le purin, pour quel usage ? Nous vous avions déjà donné quelques recettes de purins, et fait la liste de ses avantages, mais quel purin doit-on utiliser pour un usage précis ?

Le purin n’est pas encore reconnu officiellement par la loi française mais cela ne devrait pas tarder. En attendant, c’est une astuce naturelle bien connu du jardinier écologique. Au jardin bio, on va donc utiliser plusieurs purins, selon ce qu’on cherche à faire. Certains purins vont éloigner les insectes et les acariens, par l’odeur la plupart du temps. Certains purins, la plupart même, vont aider la plante en la fortifiant. Passage en revue des principaux purins. Les purins fongicides Un fongicide est une substance destinée à éliminer le développement des champignons parasites. Le purin d’ail (Allium sativum) Le purin d’ail est également insecticid. Pour un usage insecticide, on laisse macérer 100g d’ail dans 2 cuillères à soupe d’huile de lin, pendant une demi-journée, avant de rincer et filtrer.

Les purins insecticides Le purin de fougère. Jardinage/Produire ses semences — Wikilivres. Un livre de Wikilivres. Il existe plusieurs méthodes pour produire ses propres semences. La plus simple, ou quand on connaît un jardinier, est de garder les graines des légumes qu'on récolte soi-même - quand on jardine - ou qu'on a achetés ou que quelqu'un nous a donnés. On peut ainsi récolter : en laissant monter en graines : des radis, des navets...à la condition de les laisser bien mûrir : des graines de tomate, de concombre, de courge, courgette, choux, melon, pastèque, phacélie, moutarde blanche ou jaune (ces trois derniers sont très bons pour comme engrais vert)...

Bref, tous les fruits et légumes contenant des graines.en sélectionnant des plants : des pommes de terre. On gardera des petites pommes de terre d'environ 3 cm de diamètre, au frais et à l'abri de la lumière. Récolter des graines[modifier | modifier le wikitexte] Toutes les plantes ne produisent pas de graines (ou en produisent peu et/ou très peu fertiles). Qui dit récolte dit contenant. A. les réceptacles et les gousses. Le réseau permaculture francophone. Les légumes perpétuels. Voici une curieuse façon de cultiver un potager mais que les futés du jardinage adopteront volontiers.

Parmi les légumes, un certain nombre peuvent survivre plusieurs années et continuer à produire pendant de longs mois. Plus besoin de labourer, semer et conserver la récolte ! Rustiques, ils peuvent pousser partout en France, parmi les fleurs ou le potager pourvu que l’endroit soit ensoleillé. Les légumes perpétuels sont souvent proches des espèces sauvages aussi leur saveur souvent typée fait le bonheur des gourmets. 1 - L’oignon rocambole (Allium cepa var proliferum) On le dit perpétuel car vous n’avez pas besoin d’arracher la plante pour consommer les bulbes et il reste en place de nombreuses années. Les tiges vertes de 50 cm à 1 m de haut, remplacent agréablement le poireau ou la ciboule. V Au printemps ou à l’automne, plantez ses bulbilles ou semez les graines, dans une terre plutôt sableuse et humide, à exposition ensoleillée, ou bien en pot pour orner terrasses et balcons. Légumes perpétuels : présentation, intérêt et conseils de culture.

Economiques et sans histoires, les légumes perpétuels cumulent les avantages des plantes vivaces. Ils restent en place d'une année sur l'autre au potager et assurent des récoltes régulières avec un minimum de soins. Découvrez comment les cultiver, et donnez-leur la place qu'ils méritent ! Des légumes qui durent Les légumes dits « perpétuels » restent en place dans le potager durant plusieurs années, sans que le jardinier n'ait à intervenir (ou presque !). Pas la peine, donc, d'acheter des plants ou des semences chaque année : voilà une économie qui ne peut laisser le jardinier indifférent (lire aussi : Jardiner sans se ruiner) ! Il existe deux sortes de légumes perpétuels : Les plantes vivaces et rustiques, dont le cycle de vie s'étale sur plusieurs années, supportant les rigueurs hivernales comme les chaleurs et sécheresses estivales.Les plantes qui se multiplient par leurs bulbes, tubercules ou semis spontanés.

Selon les légumes cultivés, le pied produit pendant 5 à 10 ans. Les vivaces. Micro-jardin : la tendance de demain ? Le micro-jardin, comme son nom l’indique, est un tout petit jardin qui permet aux habitants, majoritairement issus des villes, de récolter chaque jour des légumes frais pour une consommation familiale. Et éventuellement, pour une vente des excédents au voisinage.

Mais comment cela fonctionne-t-il ? Le micro-jardin est-il seulement un effet de mode pour des citadins en mal de verdure ? Zoom sur les micro-jardins. Dans la majorité des cas, le micro-jardin se conçoit hors sol. Cela permet de remédier efficacement à l’absence de terres cultivables au sein des habitations des villes. La technique est simple. Et cela, sur une table de culture construite à partir de bois de vieilles palettes ou dans de multiples autres types de récipients de récupération tels que vieux tiroirs, cuvettes émaillées chinées en brocantes, caisses à vin etc.

A noter que les micro-jardins fonctionnent en cycle fermé, ce qui permet d’économiser l’eau. Le micro-jardin a de multiples avantages. On peut composter. Les restes de cuisine : Epluchures de légumes, de fruits, etc. : couper les fruits entiers, les légumes et les épluchures en morceaux de 5 à 10 centimètres. Les épluchures d'agrumes (oranges, citrons,…) ne se décomposent parfaitement que lorsque la température du compostage atteint 60 °. Ne les conservez pas trop longtemps dans votre bac de collecte et idéalement, mélangez les avec un peu de compost mûr.Les résidus de repas ainsi que les restes de viande peuvent être ajoutés, recouverts par du compost frais (pour éviter la prolifération de mouches et l'approche de charognards) .Marc de café et sachets de thé.Coquilles d'œufs: elles doivent être écrasées.Os : ils sont compostables en petites quantités et doivent être écrasés préalablement.Coquilles de noix, noisettes, … : elles se décomposent très lentement mais donnent une structure aérée au compost.

Elles peuvent être réintégrées au compost après le tamisage. Déchets de jardins : La sciure et les copeaux de bois. La paille et le foin. Perma Locale. Permaculture: Comment devenir autonome en restant chez vous avec la permaculture, c'est ce que je vous invite à découvrir à travers mes sites et ces vidéos. Je vous présente ici ma passion avec la permaculture et cette tendance à plus d'autonomie avec les techniques issues de l'éthique et des principes de la permaculture... Plus vous serez apte à combler vos besoins vous-même, plus vous serez libre! Et nos besoins sont très diversifiés, physiques ou émotionnels, mais ils peuvent être comblés sans toujours devoir dépendre d'une "source" extérieure. Au niveau matériel, avec la permaculture, nous pouvons bien étudier et préparer ce dont nous avons réellement besoin, d'abord apprendre à mieux gérer nos "énergies", éviter les pertes inutiles, et œuvrer pour produire ce dont nous avons besoin.

Des légumes, des fruits, des fruits secs (nois, noisettes,...) ,et même un peu de viande ou de poisson si vous en mangez encore! Vous pouvez aussi me suivre sur mes sites web: Récoltez et vous sèmerez! Récolter soi-même ses semences, c’est réaliser des économies dans le budget jardinage, mais aussi, au-delà de la satisfaction personnelle, un acte éthique : une façon de participer à la préservation de la biodiversité. La plupart des graines que l’on trouve dans le commerce sont des hybrides F1, c’est à dire le résultat de première génération d’un croisement entre deux variétés différentes réalisé pour obtenir un rendent supérieur et des qualités et caractéristiques standardisées. Pour maintenir la biodiversité grâce aux infimes variations que subit une espèce en s’adaptant à ses conditions de vie et de culture, il peut être intéressant de réaliser ses propres semences. Pour entamer cette démarche, on peut échanger des semences, ou se procurer des semences traditionnelles ou paysannes.

Les règles de base La récolte doit avoir lieu à complète maturité des graines, mais avant qu’elles ne tombent d’elles mêmes et ne se disséminent dans la nature. Récolter les semences des fleurs. Semer du gazon : conseils et astuces pour semer du gazon. Conseils pour réussir à semer du gazon Voici les principaux conseils pour réussir à bien semer du gazon : Un jeune semis a besoin d'une attention constante, notamment pour les apports en eau. S'il faut que vous vous absentiez durant cette période, il est conseiller de différer vos semis de plusieurs semaines ou mois. Si vous êtes situé dans une région où les restrictions d'eau sont pratiquées couramment, il sera beaucoup plus judicieux de prévoir vos semis pour l'automne. Il est essentiel que les premières difficultés liées au climat (froid ou sécheresse) ne surviennent pas avant que le gazon n'ait 5 à 6 semaines. Quand semer du gazon ? Deux périodes dans l'année sont propices pour semer du gazon : le printemps de mi-mars à mi-juin, et l'automne de fin août à mi-novembre.

Par exemple, dans le midi de la France, vous pourrez commencer les semis dès la fin février. Semer au printemps Semer en automne Semer de la pelouse Comment semer du gazon ? Bien brasser votre mélange Le bon dosage. Tour d’horizon des légumes perpétuels et vivaces. Un système de culture autonome en eau et autofertile? |