background preloader

Économie politique du DD

Facebook Twitter

La nouvelle écologie politique: économie et développement humain - Jean-Paul Fitoussi, Éloi Laurent. Réparer la planète: la révolution dans l'économie positive - Maximilien Rouer, Anne Gouyon. La nouvelle écologie politique: économie et développement humain - Jean-Paul Fitoussi, Éloi Laurent. Rapports. La nouvelle écologie politique – Economie et développement humain. L’ambition de cet ouvrage est une double réponse : la décroissance est évitable, contrairement à ce que certains, dont Serge Latouche, soutiennent, mais pour cela le marché doit être régulé par l’Etat, à la différence de ce qu’un Bjorn Lomborg soutient. L’objection des partisans de la décroissance est résumée comme il suit : « nous serions désormais trop nombreux à être trop riches » (p. 10).

Cette objection est jugée « malthusienne » au sens où elle reprend implicitement la thèse de Malthus la population doit être limitée, car les ressources disponibles croissent moins vite que la population. Malthus, rappellent Fitoussi et Laurent, ne voyait pour y parvenir que trois moyens : la contrainte morale (chasteté, célibat), le vice (guerres) et les souffrances (faim, maladies). D’après nos deux auteurs, en Occident la solution vint de la technologie. Mais l’économie resta hantée par le problème car le surgissement de la technologie n’était guère expliqué pour autant.

Avertissement de redirection. De l’écologie politique en France. Recensé : Michael Bess, . Seyssel, Champ Vallon, 2011, traduit de l’anglais (USA) par Christophe Jaquet, 402 p., 24 €. Alors que la crise s’aggrave, que la campagne présidentielle s’est engagée, que les rejets de Fukushima se poursuivent, où en est l’écologie politique en France ? Quelle place occupe-t-elle dans l’espace politico-médiatique ? La récente traduction du livre de Michael Bess sur « la France vert clair » peut être l’occasion de faire le point en allant au-delà de l’écume médiatique laissée par quelques mauvais et caricaturaux pamphlets récents [ 1 ].

Si l’ouvrage a été salué outre-Atlantique – il a reçu le prix George Perkin Marsh de l’ et a fait l’objet de nombreuses recensions – il est passé largement inaperçu en France. Un point de vue nord-américain Avant d’examiner de plus près cette thèse et la démonstration qui la porte, il convient de préciser d’où parle l’auteur. La position de M. La tension fondatrice Vers un monde hybride ? [ 2 ] Michael Bess, (1993). Recherches sur la méthode en sciences sociales et en économie politique en particulier. Site web des colloques. Organisateurs : Paris 7 CSPRP / Paris 10 Sophiapol / Sciences Po Lille CERAPS / LADYSS / SET Pau / TEM-Institut Mines-Télécom Revues partenaires : Écologie & Politique, Revue du Mauss, Mouvements, Nature Sciences Sociétés Penser l'écologie politique : sciences sociales et interdisciplinarité 13 et 14 janvier 2014 – Bâtiment Buffon - 15 rue Hélène Brion 75013 Paris Les actes sont disponibles ICI Ce colloque part du constat d'une difficulté : de quoi parle-t-on lorsqu’on parle d’« écologie politique » ?

Parle-t-on de développement durable ? D'après-développement, de buen vivir, d'écosocialisme, de décroissance, d'écosophie etc. ? Il est admis que différentes conceptions de la nature se partagent l’histoire : prémoderne, moderne et « écologique ». Si elle circule bien mieux qu’avant dans la société, la littérature écologiste reste méconnue de la très grande majorité des universitaires qui la jugent a priori bigarrée et « nébuleuse ». Parmi les thèmes qui seraient à aborder (non exhaustif) : Une autre ville sinon rien - E. Pélegrin-Genel - Les empêcheurs de penser en rond, La Découverte.

Dans les années 2030, près de 90 % de la population française sera urbaine. Il est urgent de réfléchir à des modes de vie plus économes et plus respectueux de l'environnement, et surtout d'expérimenter d'autres formes pour habiter et vivre ensemble. L'auteur propose un étonnant parcours à travers toutes les réalisations, même les plus modestes, qui ont vu le jour ces dernières années et qui nous permettent de rêver à une autre ville : des maisons de retraite autogérées, des béguinages remis au goût du jour, des immeubles construits directement par des familles qui se sont regroupées, des fermes urbaines sur le toit des immeubles...

Après les cités jardins qui voulaient mettre la campagne à la ville, les éco-quartiers relèvent le pari. Ce livre aidera tout ceux qui veulent habiter autrement à réfléchir à leur environnement et aux changements à y apporter. Le dommage écologique. L'analyse économique des conflits, Éléments d'histoire des doctrines. La tiers-mondialisation de la planète. La tiers-mondialisation de la planète, c'est le laminage des classes moyennes et la polarisation riches-pauvres de l'ensemble des sociétés, les ramenant toutes à l'état du Tiers-monde d'avant les « miracles ».

On peut diversement décrire ce phénomène : « prolétarisation des classes moyennes », « classes moyennes à la dérive », « déclassement »... Bernard Conte analyse le caractère universel de cette transformation sociale comme résultat des politiques économiques néolibérales mises en oeuvre depuis le milieu des années 1970. Le libéralisme régulé des « trente glorieuses » fonctionnait sur la base redistributive du compromis fordiste au Nord et du clientélisme nationaliste au Sud.

Puis la crise des années 1970 et l'implosion du bloc soviétique changèrent la donne, et le capitalisme s'orienta vers la financiarisation et la dérégulation. Économie et développement durable dans les discours de la production territoriale. 1 Mots étudiés utilisés par les acteurs : aménagement industriel ; développement durable ; environnem (...) 2 Rapport Brundtland, 1989, « Notre avenir à tous », Commission mondiale sur l’environnement et le dé (...) 1L’abondance des discours traduisant la prise en compte des contraintes liées au respect de l’environnement dans le développement n’est plus aujourd’hui à démontrer1.

Point focal de ce discours, la notion de développement durable constitue un passage obligé, tant dans le langage scientifique que dans celui de l’action politique et administrative, pour aborder la question des interactions de l’homme et de son environnement. C’est au niveau international que s’est forgé le contenu de l’expression, notamment avec le rapport Brundtland : « Le développement soutenable (durable), c’est s’efforcer de répondre aux besoins du présent sans compromettre la capacité de satisfaire ceux des générations futures »2. 3 À défaut d’une définition précise de la notion, M. 6 O.

Ratouis et M. La nouvelle écologie politique – Economie et développement humain. Grenelle Environnement. Pour les articles homonymes, voir Grenelle. Le logo du Grenelle de l'environnement. Le Grenelle Environnement (souvent appelé Grenelle de l'environnement) est un ensemble de rencontres politiques organisées en France en septembre et décembre 2007, visant à prendre des décisions à long terme en matière d'environnement et de développement durable, en particulier pour restaurer la biodiversité par la mise en place d'une trame verte et bleue et de schémas régionaux de cohérence écologique, tout en diminuant les émissions de gaz à effet de serre et en améliorant l'efficience énergétique.

Initiative du président de la République Nicolas Sarkozy, à la suite des engagements pris lors de la campagne électorale de 2007, le Grenelle Environnement sera principalement conduit par le ministre de l'écologie, Jean-Louis Borloo. Les actions du Grenelle font l'objet d'un tableau de bord[1]. Historique[modifier | modifier le code] Un « Grenelle de la mer » a aussi complété le dispositif. Ces groupes étaient : Pour une politique climatique globale, Blocages et ouvertures. Géographie culturelle, économie politique et écologie- Alain Lipietz. Votre référence : [1996j-fr]" Géographie culturelle, économie et écologie, " Géographie, Economie et Société, Vol 2, N°2, 2000. En anglais " Cultural Geography, Political Economy and Ecology ", International Seminar Space, Inequalities and Differences : From " Radical " to " Cultural " Formulations, 27-31 Août, Milos (Gr).

Published (slightly shortened) in European Planing Studies, Vol.7, N°1, 1999. (art. 377). Géographie, Économie et Société, Vol 2, N°2 Géographie culturelle, économie politique et écologie Dans les années soixante-dix - quatre-vingt, une pléiade de géographes anglo-saxons d’inspiration marxiste, féministe ou régulationniste se fit connaître dans un cercle nettement plus large que la géographie universitaire.

Ces géographes s’auto-désignèrent comme ’radicaux’ en un sens qui évoquait tout autant leur positionnement politique que leur approche méthodologique : l’enracinement de la géographie dans l’économie politique critique. 1. Voici où je veux en venir : Economie et politiques de l'environnement: Principe de précaution - Critères ... - Hervé Devillé. Nicholas Georgescu-Roegen, pour une révolution bioéconomique.