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La presse est morte, vive le journalisme ! L'entrée de la société dans l’ère numérique est vue par certains comme un choc violent, une forme de "destruction créatrice pour le support imprimé en général (livres, archives, journaux, revues...) et pour la presse en particulier, quoique cette vision apparaisse aujourd'hui assez galvaudée car il s'agit globalement d'un phénomène progressif de mutation économique et sociale autant que technologique.

La presse est morte, vive le journalisme !

Dans ce contexte, la question de la pérennité de la presse et du journalisme dans leur forme historique – bien que la période de leur "âge d'or" constitue plus une vue de l'esprit construite de manière rétrospective qu'une pure réalité – est posée par nombre d'analystes, dans un climat d'incertitude et de crainte face aux évolutions combinées de la crise économique, qui touche ce secteur comme tous les autres, et de la "mort" supposée plus ou moins rapide de l'imprimé au sein de nos sociétés touchées par "l'emprise numérique" . Pourquoi la presse régionale va rebondir. La mort des journaux... et d'un certain journalisme? A lire, si vous avez du temps ce week-end, ce (très) long article du New Yorker annonçant la mort des journaux papiers et de leurs modèles: économiques et éditoriaux.

La mort des journaux... et d'un certain journalisme?

La crise est d'abord financière : les revenus des grands journaux s'effondrent aux Etat-Unis. Les rédactions subissent les coupes dans leurs effectifs comme une peau de chagrin. "Pas encore morts" (titre du Guardian à propos de la presse écrite), certes, mais pas loin, "les journaux ont perdu 42% de leur valeur en trois ans", constate Eric Alterman du New Yorker. Moyenne d'âge (en hausse) du lectorat américain : 55 ans. Seuls 19% des 18-34 ans déclarent ouvrir un journal de temps en temps. La crise est également morale :Moins de 20% des Américains déclarent croire la plupart des infos que publient les médias. Les ventes numériques de la presse commencent à compenser la chute du papier ! Les ventes du papier sombrent donc presque inexorablement pour les quotidiens papiers, on ne cesse de le constater (lire également les billets sur les résultats 2012 des quotidiens nationaux et régionaux).

Les ventes numériques de la presse commencent à compenser la chute du papier !

Et qu'en est-il des ventes numériques ? Certains journaux comme Libération ont annoncé leur intention de mettre le paquet de ce côté, mais que représentent aujourd'hui leurs ventes de journaux en ligne ? Livre numérique : cette fois c’est parti et ça va saigner. Cet article a été publié il y a 3 ans 10 mois 14 jours, il est donc possible qu’il ne soit plus à jour.

Livre numérique : cette fois c’est parti et ça va saigner

Les informations proposées sont donc peut-être expirées. Cette fois c’est parti, comme l’explique Hervé Bienvault qui commente l’interview du Pdg d’Hachette dans le Nouvel Obs : Avec l’entrée aujourd’hui du catalogue Hachette sur l’iBookStore d’Apple, Hachette exclut le schéma de rester maître de ses propres fichiers, les déversant massivement sur la plateforme d’Apple. Le modèle déporté est abandonné concernant Apple, on voit mal comment il pourrait en être différemment pour Amazon dans les prochains mois. Ce que Sony (on se rappelle qu’Hachette avait initié l’offre avec la Fnac il y a deux ans) et Amazon (qui faisait le siège des éditeurs depuis aussi longtemps) n’avaient pas pu imposer, Apple a bien réussi à le faire en quelques mois de négociation avec un guichet unique d’entrée.

Quel avenir pour les revues papier ? Evans Library, Texas A&M University (photo Amanda Monteleone : À l’heure actuelle, les revues savantes traditionnelles sont difficiles d’accès, leur prix est trop élevé, leur lectorat parfois trop faible.

Quel avenir pour les revues papier ?

Leur mise en ligne est une chance pour mieux les faire connaître et diffuser la production scientifique, notamment dans le cadre d’une « mondialisation » de la recherche où les effets de concurrence se font de plus en plus sentir. Un récent billet de Michael Clarke sur l’excellent blog Scholarly kitchen (7 décembre 2011) fait un tour détaillé et argumenté de la question de la disparition, à plus ou moins long terme, du support papier pour les revues académiques.

Les éditeurs vont devoir tourner la page. • Devant le nouveau défi que représente le livre électronique, le secteur de l’édition semble mal préparé.

Les éditeurs vont devoir tourner la page

Celui-ci craint de vivre le même cauchemarque les maisons de disques. La nouvelle façon de lire des livres se met en place de façon hésitante. Exploitant une technologie novatrice et reflétant un changement des habitudes de consommation du public, elle transforme radicalement la distribution et l’économie de l’industrie traditionnelle de l’édition. C’est un peu ce qui s’est passé avec le livre de poche, qui a représenté une véritable révolution dans l’industrie du livre des années 1930. Il a permis de mettre la grande littérature à la portée d’un public beaucoup plus vaste. Les ventes des livres numériques ont vraiment décollé en 2009 D’après le cabinet PricewaterhouseCoopers (PWC), les ventes de livres téléchargés dans le monde ont représenté 1,1 milliard de dollars [734 millions d’euros] en 2008, soit 0,9 % des ventes totales d’ouvrages.

Faut-il avoir peur du livre numérique ? Pourquoi le livre électronique peine à s'imposer en France. Un produit semble encore échapper à la frénésie des achats high-tech à l'occasion des fêtes de fin d'année : le livre électronique.

Pourquoi le livre électronique peine à s'imposer en France

Si le Kindle d'Amazon fait déjà un tabac outre-Atlantique, les ventes de lecteurs numériques restent encore marginales dans l'Hexagone. Outre un choix pour le moins restreint, les catalogues de titres disponibles varient en fonction des stratégies adoptées par les éditeurs. L'un d'entre eux, Hachette Livre, revendique près de 65.000 références, mais admet que le marché reste pour l'heure "insignifiant". Selon le Syndicat National de l'Edition (SNE), le livre numérique en France représente un marché estimé entre 30 et 40 millions d'euros, soit 1% du chiffre d'affaires de l'édition.

Comment les éditeurs se préparent à ce nouveau support ? Il faut bien en convenir, rares sont les éditeurs qui acceptent de parler de leur stratégie dans le domaine du livre numérique. De quelle manière ce marché peut-il décoller ? Qu'est-ce qu'un livre à l'heure du numérique ? - La Feuille - Blog LeMonde.fr. Voici le texte de ma présentation livrée au Forum des bibliothèques 2.0 de Montréal.

Qu'est-ce qu'un livre à l'heure du numérique ? - La Feuille - Blog LeMonde.fr

Encore merci pour l'invitation, notamment à Martin Lessard et à la direction des bibliothèques de Montréal... (Silvère exagère un peu). Ca twitte sec ! 1. Qu’est-ce qu’un livre à l’heure du numérique ? Comment le numérique transforme notre rapport au livre et à la lecture. Pourquoi l'ebook ne remplacera jamais les vrais livres. Au cas où vous auriez oublié l'un des intellectuels les plus influents de la fin du XXe siècle, McLuhan était un universitaire, théoricien des médias, surnommé «le grand prêtre de la culture populaire». Il était assez connu pour faire l'objet d'un gag répétitif dans [l'émission humoristique] Laugh-In («Marshall McLuhan, vous faites quoi?») , pour faire une brève apparition dans Annie Hall et être interviewé par Playboy.