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Philosophie/Economie/Politique. Sciences humaines et sociales/ philosophie. Jacques Bouveresse. LA FEMINITE d'Alain BADIOU. Vincent Descombes. Ludwig Wittgenstein. Stanley Cavell. Hilary Putman. Saul Kripke. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Saul Kripke. Pour les articles homonymes, voir Kripke. Il a eu une grande influence dans de nombreux domaines, depuis la logique jusqu’à la philosophie du langage. La sémantique de Kripke, utilisée en logique modale et pour la sémantique des mondes possibles, est nommée d'après lui. Une grande partie de ses travaux ne sont pas publiés, ou n'existent que sous la forme d'enregistrements et de manuscrits circulant de manière restreinte. Il est considéré, au début du XXIe siècle, comme l'un des philosophes vivants les plus importants.

Œuvre[modifier | modifier le code] Kripke est surtout connu pour quatre contributions en philosophie : en logique modale ;la nouvelle théorie de la référence directe, dans Naming and Necessity, conférences à Princeton en 1972 ;une interprétation controversée de Wittgenstein ;une nouvelle théorie de la vérité. Logique modale[modifier | modifier le code] Naming and Necessity[modifier | modifier le code] Stanley Cavell, Emerson, Nietzsche, Wittgenstein : Le Perfectionnisme (philosophique) LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX! Quand la conscience est-elle apparue ? Cette question peut s’appliquer autant à l’échelle des espèces qu’à l’échelle de la vie d’un individu. Dans le premier cas la question devient « quelles sont les espèces animales douées d’une forme de conscience ? ». Et dans le deuxième cas « quand, durant son développement, un foetus, un bébé ou un enfant humain devient-il conscient ?

Nous allons nous intéresser ici à la première question, celle des origines phylogénétiques de la conscience, une question intimement liée aux fonctions possibles des phénomènes conscients. Une chose semble tout d’abord assez certaine, c’est que la conscience est adaptative au moins quand on la considère dans le sens minimal de l’éveil. Ensuite certains, comme , soutiennent que l’émergence de la conscience est un processus graduel dans la mesure où il a suivi l’accroissement de l’encéphale durant l’évolution et donc la taille et le nombre croissant des assemblées de neurones. Philosophie de l'esprit. Le brûlot anti-matérialiste de Thomas Nagel. Thomas Nagel est un philosophe américain de grande réputation dont les diverses contributions, en particulier en philosophie morale et politique mais aussi dans le champ de la philosophie de l’esprit, ont marqué les débats contemporains. Parmi ces apports on pense au célèbre article, devenu un classique, "Quel effet cela fait d’être une chauve-souris ?

" (1974) dans lequel le philosophe tente de montrer les limites de l’enquête scientifique matérialiste face au caractère subjectif des phénomènes de la conscience. Cette position philosophique, dite "antiréductionniste", consiste à soutenir que les états mentaux ne sont pas identiques à des états physiques et qu’un projet neurobiologique de "réduction" psychophysique est invraisemblable. Selon Nagel, le problème de la relation du corps et de l’esprit n’est sur la voie d’aucune résolution et cet échec marque une défaillance bien plus large encore qui englobe notre compréhension du cosmos lui-même et de son histoire.

Plus j’étudie le cerveau, moins je suis matérialiste par John Eccles. Extrait des cahiers sciences du Figaro Magazine « Le cerveau peut-il comprendre le cerveau? »1982 Nous considérons comme allant de soi le fait que notre esprit agisse sur notre cerveau pour lui commander un mouvement voulu. La plupart des philosophes, des psychologues, et des neurophysiologistes rejettent pourtant cette évidence de bon sens. Ils affirment de manière dogmatique que ne faisant pas partie du monde matériel les événements mentaux comme la pensée et la préparation d’une action ne peuvent causer de changements nulle part dans le monde. L’esprit, un « fantôme » dans le cerveau ? Ceux qui disent cela croient que toutes nos actions dépendent complètement du cerveau bien que nous ayons le sentiment que c’est la pensée ou le désir qui contrôle nos actions volontaires.

Ces matérialistes affirment que les événements neurologiques qui ont lieu lors de tous les mouvements volontaires concourent à cette impression fausse. Rien ne dépasse l’action d’un être humain Sir John Eccles J. Psychanalyse. Alain Badiou - L'immanence des vérités (16/01/13)