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Conditions de travail

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Www.actmediterranee.fr/medias/Domaines_actions/COMPETENCES/2011_AGIR_SUR_LA_GPEC_VF.pdf. Risques psycho-sociaux - Bilan en demi-teinte pour les accords stress. Risques psycho-sociaux Le bilan qualitatif des accords de prévention du stress dans les entreprises de plus de 1000 salariés révèle un manque de précision des engagements pris par les entreprises. Il reste au ministère du Travail un important travail pédagogique à accomplir avant de voir les entreprises s’emparer réellement de la question des risques psycho-sociaux (RPS). C’est l’enseignement du bilan qualitatif des accords « stress » élaboré par la Direction générale du Travail (DGT), et que le Ministère a présenté le 19 avril au Comité d’orientation des conditions de travail (COCT).

Ce bilan porte sur 234 accords signés entre le 1er décembre 2009 et le 30 octobre 2010 dans les entreprises employant plus de 1000 salariés. Qui veut revenir aux 39 heures? NetPME. Et revoilà les 35 heures ! Quelques mois après la déclaration d’Emmanuel Macron qui, à la veille de sa nomination, plaidait pour que les entreprises puissent déroger aux 35 heures, le débat refait surface. La commission d’enquête parlementaire sur « l’impact de la réduction progressive du temps de travail », mise en place, en juin, sur proposition de l’UDI dresse un bilan positif des lois Aubry. « La réduction du temps de travail est un pacte de responsabilité qui a réussi », avance Barbara Romagnan, la rapporteuse, députée socialiste qui a auditionné, dans un rapport révélé hier, 80 personnalités issues du monde politique, syndical, universitaire, de l’administration et de l’entreprise.« Les lois Aubry ont créé 350 000 emplois et ont ainsi contribué à réduire le chômage.

Il s’agit de la politique en faveur de l’emploi la plus efficace et la moins coûteuse qui ait été conduite depuis les années 70″, poursuit Barbara Romagnan. Pas de remise en cause par les entreprises. Centres de contact et télétravail : et si c’était une bonne idée ? Étant pratiqué par un nombre non négligeable de salariés français au-delà d’un simple après-midi par semaine, le télétravail n’est plus une simple tendance. Et bien que cela semble surprenant, voire pour certains contre-productif, les employés des centres d’appels sont en réalité de parfaits candidats à la pratique du travail à domicile ! Étant pratiqué par un nombre non négligeable de salariés français au-delà d’un simple après-midi par semaine, le télétravail n’est plus une simple tendance.

Et bien que cela semble surprenant, voire pour certains contre-productif, les employés des centres d’appels sont en réalité de parfaits candidats à la pratique du travail à domicile ! Si vous envisagez de permettre aux agents de vos centres de contacts de travailler à distance, voici quelques arguments qui pourraient vous convaincre définitivement de l’intérêt de ce mode de travail, tant pour eux-mêmes que pour les performances de votre centre d’appels. Développer votre réserve de talents. Nouvelle législation sur le burn out : la Belgique ouvre la voie. Pour l’heure, les bonnes pratiques se répandent en Belgique mais aussi en Allemagne, où les entreprises travaillent au bien-être de leurs salariés.

Des exemples à regarder de près puisqu’ils pourraient bientôt inspirer le modèle français. Analyse avec Sabine Bataille, sociologue et auteure de l’ouvrage "Se reconstruire après un burn out"*. Quel est le contenu de cette nouvelle loi en Belgique ? Inscrite dans la continuité de la loi sur le bien-être, cette nouvelle loi oblige l’entreprise à assurer une sécurité physique et mentale à ses employés. Comment cette mesure a-t-elle été accueillie ? En Belgique, le Syndicat Neutre des Indépendants s’est élevé contre cette loi au motif d’une éventuelle conséquence néfaste sur les embauches. Cette loi pourrait-elle inspirer la France ? Les Belges ont globalisé et généralisé leur système législatif avec la prise en compte des problématiques de harcèlement sexuel, de stress, de violence, et l’ont étendu au harcèlement moral et au burn out.

Vie professionnelle, vie privée : le brouillage. Des messages privés échangés au bureau, du travail à terminer le soir chez soi… Le déferlement des écrans connectés a rendu poreuse la frontière entre la sphère privée et professionnelle. L’évolution foudroyante des techniques de communication a-t-elle mis en danger notre vie privée ? Est-ce un hasard si les entreprises les plus emblématiques du monde globalisé, les fameuses GAFA (Google, Apple, etc.), ont annoncé qu’elles financeraient des assurances santé incluant le prélèvement d’ovocytes pour celles de leurs salariées qui désirent retarder le moment d’avoir des enfants ?

Soft paternalism hurlent certains qui y voient l’exemple même de la mort de la vie privée menacée par un corporate Big Brother prêt à tout pour maximiser la productivité de ses salariés. Curieuse évolution répondront d’autres, conscients des efforts historiques menés par le capitalisme pour faire exister une vie privée inaliénable. Droits de l'homme : les entreprises responsables des sous-traitants ? Mieux comprendre le burn-out - Actualité Weka. Le burn-out se traduit par un « épuisement physique, émotionnel et mental qui résulte d’un investissement prolongé dans des situations de travail exigeantes sur le plan émotionnel ». Il s’agit d’un processus de dégradation du rapport subjectif au travail à travers trois dimensions : l’épuisement émotionnel, psychique et physique (avoir le sentiment d’être totalement vidé de ses ressources), le cynisme (l’attitude de l’individu devient négative, dure, détachée, vis-à-vis de son travail et des personnes) et la dévalorisation de soi (perte de l’accomplissement personnel).

Le syndrome d’épuisement professionnel est à la fois une érosion de l’engagement (en réaction à l’épuisement), une érosion des sentiments (à mesure que le cynisme s’installe) et une érosion de l’adéquation entre le poste et le travailleur (vécue comme une crise personnelle). Les causes du burn-out Le syndrome d’épuisement professionnel provient de la rencontre entre un individu et une situation de travail dégradée.

Bilan CT 2012. Risques psychosociaux. Ce qu’il faut retenir - Risques. Sous l’effet des mutations du monde du travail telles que la complexité grandissante des tâches, la réduction des temps de repos, l’individualisation du travail ou encore les exigences accrues de la clientèle, la prise en compte des risques psychosociaux est devenue incontournable. Les risques psychosociaux (RPS) correspondent à des situations de travail où sont présents, combinés ou non : du stress : déséquilibre entre la perception qu’une personne a des contraintes de son environnement de travail et la perception qu’elle a de ses propres ressources pour y faire face ; des violences internes commises au sein de l’entreprise par des salariés : harcèlement moral ou sexuel, conflits exacerbés entre des personnes ou entre des équipes ; des violences externes commises sur des salariés par des personnes externes à l’entreprise (insultes, menaces, agressions…).

Ce sont des risques qui peuvent être induits par l’activité elle-même ou générés par l’organisation et les relations de travail.