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Pouvoir d'achat

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La gestion du budget familial - Enfance Famille. "J'ai peur... Mon pouvoir d'achat n'arrête pas de baisser" SMIC: augmentation "très probable" d'environ 2% au 1er juillet, selon Christine Lagarde - Social. Super Pouvoir d'Achat (la chanson du dimanche s02e11) Benoist Apparu enjolive le pouvoir d’achat des Français - Les décodeurs - Blog LeMonde.fr. Ce qu'il a dit Invité de RMC et BFM TV mardi 18 avril, Benoist Apparu, secrétaire d'Etat chargé du logement, a affirmé : "Je voudrais surtout rappeler une chose sur le pouvoir d'achat.

Benoist Apparu enjolive le pouvoir d’achat des Français - Les décodeurs - Blog LeMonde.fr

Je sais que ceux qui vont m'entendre, et notamment je pense à ceux qui ont perdu un emploi, qui sont au chômage ou qui traversent des difficultés auront du mal à entendre cette formule-là. Mais oui, le pouvoir d'achat augmente en France de façon continue depuis que Nicolas Sarkozy a été élu président de la République. " Pourquoi c'est plutôt faux 1. Le seul indicateur qui correspond à l'affirmation de Benoist Apparu est le "pouvoir d'achat du revenu disponible brut", fourni par l'Insee (voir la fiche de l'Insee en PDF). 2. L'Insee calcule également le pouvoir d'achat du revenu disponible brut par ménage, qui prend en compte l'évolution de la démographie. 3.

La crise économique qui est intervenue en 2008 est en grande partie responsable de la baisse du pouvoir d'achat cette année-là. 4. Alexandre Pouchard. BFMTV : Bourdin 2012 - Benoist Apparu. Pourquoi a-t-on l'impression que le pouvoir d'achat baisse? Retrouvez tous nos articles de la rubrique L'explication ici Grèves pour les salaires, projet d’une prime de 1.000 euros versée par les entreprises distribuant des dividendes en hausse: le pouvoir d’achat, tube de la dernière campagne présidentielle et du début du quinquennat (et, incidemment, des chansonniers internet de La Chanson du Dimanche), est de retour dans le débat public à l’orée de la campagne 2012.

Pourquoi a-t-on l'impression que le pouvoir d'achat baisse?

Avec l’idée dans l’opposition qu’il sera un des principaux angles d’attaque contre la majorité… Officiellement, selon les chiffres de l’Insee, il a pourtant augmenté de 6,4% en quatre ans (+3,1% en 2007, +0,4% en 2008, +1,6% en 2009, +1,2% en 2010) et n’a d’ailleurs jamais baissé d’une année sur l’autre depuis 1984. Plus de gâteau, mais plus de convives La baguette plus importante que l'abonnement mobile L’impression d’une baisse du pouvoir d’achat des ménages vient également de la hausse de certains prix plus médiatisés ou quotidiens que d’autres (l’essence, l’alimentation…).

"Mesurer le pouvoir d'achat", Ph. Moati, R. Rochefort. Dimanche 27 janvier 2008 7 27 /01 /Jan /2008 10:47 - Publié dans : Actualité Rapport du Conseil d'Analyse Economique, n° 73, janvier 2008.

"Mesurer le pouvoir d'achat", Ph. Moati, R. Rochefort

Notre rapport sur la mesure du pouvoir d'achat vient enfin d'être mis en ligne sur le site du Conseil d'Analyse Economique. La version papier devrait être publiée par La Documentation Française le 31 janvier 2008. Télécharger le rapport : cliquer ici Résumé : L’écart important qui s’est installé dans les années récentes entre l’évolution du pouvoir d’achat mesurée par les chiffres officiels, et la perception qu’en ont les ménages, perdure – et ce davantage en France que dans les autres pays de la zone euro.

Aussi est-il urgent et essentiel de comprendre ce décalage entre le « mesuré » et le « ressenti » sur un sujet qui est au premier rang des préoccupations des Français. Quelle part de cet écart résulte de biais de perception ? Forts de leur analyse de cet écart, Philippe Moati et Robert Rochefort proposent : Indicateur - En mars 2011, hausse des prix à la consommation : +0,8 % Évolution mensuelle : +0,8 % ; variation annuelle : +2,0 % En mars 2011, l’indice des prix à la consommation (IPC) est en hausse de 0,8 %, après une augmentation de 0,5 % en février.

Indicateur - En mars 2011, hausse des prix à la consommation : +0,8 %

Sur un an, il s’accroît de 2,0 % (+1,7 % en février). Hors tabac, l’indice est également en hausse de 0,8 % en mars (+1,9 % sur un an). Corrigé des variations saisonnières (CVS), l’IPC augmente de 0,5 % (+2,0 % sur un an). L’accroissement des prix au mois de mars provient, en grande partie, de l’augmentation des prix des produits manufacturés liée notamment à la fin des soldes d’hiver, mais aussi aux fortes hausses de prix des produits pétroliers et alimentaires. Forte augmentation saisonnière des prix des produits manufacturés.