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Philosophie

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La voix de Derrida. Le Langage et l'éthique de la parole. Cours Introduction Si l’élément symbolique en général constitue le socle de la culture, le langage est la condition de toute vie humaine et sociale. Il y a une grande différence entre le langage humain et le langage animal. Le cri des animaux exprime un affect, une émotion, parfois il annonce un comportement ou répond à celui d'un congénère. Il y a donc communication. Pourtant ce langage n'est pas articulé en phrases, il n'est donc pas intelligent au sens où il n'exprime pas la pensée logique.

D'autre part les animaux communiquent à l'aide de signaux ayant une signification précise et limitée (sinon unique). L’apparition de la faculté linguistique est un phénomène long, lié à l’évolution de la boite crânienne et aux techniques de fabrication d’outils de l'Homo habilis (plus de 2 millions d'années) jusqu’à l’Homo sapiens beaucoup plus récent : "outils pour la main et langage pour la face sont deux pôles d’un même dispositif" affirme Leroi-Gourhan. 1. 1° La langue est composée de signes. 2.

L'autre Spinoza - Association des Amis de Spinoza. Pages Catégories S'abonner Archives Liberté, multitude et laïcité : le Traité théologico-politique. La décision de soi : le Traité de la réforme de l'entendement. Spinoza en toutes lettres : la Correspondance. La trêve et la concorde : le Traité politique. Les premières volontés : le Court Traité. #varia. Vidéos de la conférence Pascal Séverac – « Les Lumières radicales ont-elles une source hollandaise ? Spinoza et l’admiration de la Nature » | CFC. Untitled Document. Pascal Sévérac : Spinoza. Union et désunion. Le livre de Pascal Sévérac, Spinoza. Union et désunion [1] propose une lecture d’ensemble du philosophe de l’Ethique.

Le sens de l’éthique est de réaliser ces unions qui accroissent la puissance de l’homme : « toute la philosophie de Spinoza peut en effet être lue à travers cette question centrale : comment, étant donné notre situation au monde, modifier notre rapport à nous-mêmes, et aux autres, de telle sorte que nous puissions être plus fermes, plus forts, plus heureux ? » [2]. L’auteur montre comment la philosophie de Spinoza peut être lue comme une recherche de l’union avec le Dieu-Nature ; il spécifie les différentes modalités de cette union et montre en quel sens cette recherche constitue une voie de salut pour l’homme : « la question éthique de la philosophie spinoziste devient ainsi celle de l’union : celle de savoir à quoi et comment nous devons nous unir pour nous sauver.

Puissance de la substance, faiblesse des modes L’être de l’union Rapports entre existence et éternité P. P. Impressions de voyages | Blog de Grégoire Perra. Le rasoir philosophique. Encore une fois sur la "Phénoménologie de l'esprit" Je livre ci-dessous quelques remarques sur les passages numérotés 25 et 26 de la préface de la Phénoménologie de l'esprit . La "Phéno" a la réputation d'être un livre illisible tant sont grandes les difficultés de compréhension en certains passages. Les traductions les plus connues (Hyppolite, Lefebvre, Bourgeois) ont leurs méritent et leurs défauts et il faudrait sans doute lire les 3 versions - et sans doute aussi celles que je ne connais pas.

Il existe également de nombreux commentaires (notamment ceux d'Hyppolite, de Bourgeois ou les éclaircissements qu'apporte J-P. Lefebvre dans l'édition bilingue GF de la "Phéno". Il faut dire quelques mots de l’organisation de cette préface et de ses objectifs. Venons-en à notre extrait. Les premiers mots sont déjà problématiques. « Que « le vrai soit effectif » … : il faut donc que le vrai soit effectif. Le vrai ne peut être effectif que comme système : voilà ce qui explicite l’effectivité du vrai. Qu’est-ce que c’est qu’un système ? A. B. C. Prigogine, Stengers. La science des limites. Information Philosopher - Introduction. Introduction The Information Philosopher has established that quantum mechanics and thermodynamics play a central role in the creation of all things.

This finding has enormous implications for philosophy and metaphysics. Instead of a closed universe that is winding down deterministically from an initial state of high information, we find the universe is open and increasing information indeterministically from an initial state of relatively high entropy and low information. Information is being continuously created in the universe, not least by human beings who are just learning that they are part of the cosmic creative process. An open indeterministic universe with increasing information suggests three testable philosophical ideas: a model for free will and creativity that may satisfy determinists and libertarians a value system based on providential processes in the universe an epistemological explanation of knowledge formation and communication. Man is Free. God is the Good. Philosophie, religion, science et conscience - Dieu, Platon, Darwin et l'avenir. Le statut de la Parole dans la philosophie et les Mystères antiques.

Spinoza.fr › Une lecture continue de l’Ethique de Spinoza. Alkemie - Revue semestrielle francophone de littérature et philosophie. N°106 - Le Silence. N° 106 - Hiver 2012 Thème : Le Silence Sommaire 3e millénaire : Un fil d'Ariane dans les pas du silenceViator : Le silence est une musiqueGangaji : La soumission du mental au silencePaul Pujol : Le silence et le chant de la vieNicole Montinéri : Le silence, espace de la rencontreVimala Thakar : Explorer la dimension du silenceJohn Martin Sahajananda : Le silence ou comment naître à la plénitudeJean-Marc Mantel : Etre silenceMonique Virelaude : La peur et son double : le silenceSerge Pastor : Le Veilleur SilencieuxDavid Ciussi : L'Impensable présence au milieu du silence créateurBetty : L'indéfinissable silencePeter Fenner : Silence naturel et impensabilité profondeDocument : Miguel Molinos : Les trois sortes de silencesRâmana Maharshi : L'enseignement du silenceRudolf Steiner : La voie du silenceApproches de la méditation : La voie de l'épochèTémoin d’éveil : David Anza : La clé de la vieLittérature et Spiritualité : J.

N°106 - Fil d'ariane sur les pas du Silence - Hiver 2012 Le Silence. Pourquoi "Le Labyrinthe" ? (J. D. Morrison) Au naturel la pensée papillonne, digresse, saute du coq à l'âne, revient sur ses pas, piétine, chahute, entrevoit l'avenir et se remémore le passé dans un même magma actuel (actuel, non pas présent), s'emmêle, se retrouve, s'attarde à une anecdote ou un bon mot, paît en estives, s'élance tout à coup comme l'éclair, dans une succession baroque de ralentis et d'accélérés, se plaît à telle (m/n)otion jusqu'à la délectation sans bien savoir au juste pourquoi celle-ci plutôt qu'une autre qu'elle esquive, ce jour-ci plus que de coutume.

Sa structure ordinaire : la ramification "fractale", cette forme paradoxale infinie se déployant in concreto à l'intérieur d'un espace fini ; ainsi le pourtour d'une feuille de fougère, la multitude d'alvéoles pulmonaires, la barrière de corail, l'éponge. La pensée s'épanouit en parfums colorés. La réflexion revient des conclusions ainsi atteintes en rêvassant, au hasard de ces méandres (ou aux méandres du hasard). Une prison, le labyrinthe ? Métaphysique, ontologie, esprit | François LOTH.

Implications philosophiques | Espace de recherche et de diffusion. Expositions à voir. Gustave Doré (1832-1883). L'imaginaire au pouvoir Gustave Doré est sans doute l'un des plus prodigieux artistes du XIXe siècle. A quinze ans à peine, il entame une carrière de caricaturiste puis d'illustrateur professionnel - qui lui vaudra une célébrité internationale - avant d'embrasser tous les domaines de la création : dessin, peinture, aquarelle, gravure, sculpture. L'immense talent de Doré s'investit aussi dans les différents genres, de la satire à l'histoire, livrant tour à tour des tableaux gigantesques et des toiles plus intimes, des aquarelles flamboyantes, des lavis virtuoses, des plumes incisives, des gravures, des illustrations fantasques, ou encore des sculptures baroques, cocasses, monumentales, énigmatiques...

En tant qu'illustrateur, Doré s'est mesuré aux plus grands textes (La Bible, Dante, Rabelais, Perrault, Cervantes, Milton, Shakespeare, Hugo, Balzac, Poe), faisant de lui un véritable passeur de la culture européenne. 18 février - 11 mai 2014. Femmes. Profil de Bernard Dugué | TypePad. Philosophie en France. SEARCHING FOR TRUTH IN CINEMA AND IN LIFE. Actu philosophia. Stefan Beyst: texts on art, music and psychoanalysis. Heidegger en castellano. Editorial Information. La dévaluation philosophique de l'art : Platon – Lettres-et-Arts.net. Si la philosophie est pensée comme recherche de l'être vrai, du fondement, des premiers principes, au moyen de l'intelligence, l'objet d'art qui nous apparaît par la sensibilité est de fait éliminé du champ de la recherche philosophique. La théorie des idées platonicienne, surmontant la désillusion causée par Anaxagore, nous signifie clairement la première que la pensée ne peut penser que de l'intelligible.

Dans ces conditions, l'objet d'art qui se présente avant tout comme un objet sensible se situe bien hors du champ de la philosophie. Pour Platon, cette exclusion prend deux aspects : la constatation du moindre statut ontologique de l'objet d'art et la dévaluation de la sensibilité par laquelle il nous apparaît. L'art en tant qu'objet tout comme la faculté du sujet qui le saisit, sont dévalués. Quelles sont les modalités de cette dévaluation platonicienne de l'art ?

Tout d'abord, elle ne prétend pas se faire passer pour le modèle, elle n'use donc pas de tromperie, de supercherie. Les grands initiés : esquisse de l'histoire secrète des religions : Rama, Krishna, Hermès, Moïse, Orphée, Pythagore, Platon, Jésus (61e édition) / par Edouard Schuré. Aller au contenu. Liens. Parménide. Corinna Coulmas | Accueil. Tertullien-Oeuvres 2: De la Patience (De patientia) [Traduit par E. -A. de Genoude] I. Je le confesse devant le Seigneur notre Dieu, il y a quelque témérité de ma part, pour ne pas dire une sorte d'impudeur, à composer un traité sur la patience, moi qui ne saurais en offrir dans ma personne aucun exemple, puisque je suis un homme dépourvu de tout bien.

Il faudrait cependant, lorsqu'on entreprend l'éloge et la démonstration de quelque vertu, commencer par faire voir qu'on la pratique, et donner à l'enseignement l'autorité de la conduite, de peur que les paroles n'aient à rougir si les actions leur font défaut. Ainsi, infortuné que je suis, toujours brûlant de la fièvre de l'impatience, il faut que je demande par mes |174 soupirs, par mes supplications, par mes instances, la santé de la patience que je n'obtiens pas, surtout quand je considère, dans la contemplation de ma faiblesse, qu'il est difficile à la foi chrétienne et à la doctrine du Seigneur de conserver toute leur vigueur, si la patience ne vient à leur secours.

II. III. IV. V.