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Clarisse, Victoire, Théo

Ouvres. Humieres. Les idées, Risque, David Le Breton, Sacrifice. «Le risque, que nos institutions combattent dans de multiples domaines, procure, s’il est librement choisi, une opportunité de vivre à contre-courant, de se ressourcer, d'échapper à l’ennui en intensifiant le rapport à l'instant grâce à une activité enivrante.

Les idées, Risque, David Le Breton, Sacrifice

Il est un chemin de traverse pour reprendre en main une existence livrée au doute, au chaos ou à la monotonie. S’il est contrôlé, il est une manière délibérée de mettre en valeur le meilleur de soi. Lors d’une activité de loisir ou de défi personnel, le risque devient une sorte de réserve où puiser du sens, rehausser un goût de vivre défaillant ou parfois même le retrouver après l'avoir perdu. Il touche des individus socialement bien intégrés mais qui s’efforcent de fuir la routine, la sécurité d’une existence trop bien réglée. Mais d’autres aussi en porte à faux avec le monde, par désarroi intérieur ou déroute économique et qui n’ont rien à perdre. Tpe. Les Thèmes des TPE de première L. Altérité. L'altérité est un concept utilisé dans de nombreuses disciplines comme la philosophie, l'anthropologie, l'ethnologie et la géographie.

Altérité

Il renvoie à ce qui est autre, à ce qui est extérieur à un « soi », à une réalité de référence, qui peut être l'individu, le groupe, la société, la chose, le lieu[1]. Selon Angelo Turco, l'altérité est la « caractéristique de ce qui est autre, de ce qui est extérieur à un « soi » à une réalité de référence : individu, et par extension groupe, société, chose et lieu ». Elle « s'impose à partir de l'expérience » et elle est « la condition de l'autre au regard de soi »[2]. Le mot provient du bas-latin alteritas, qui signifie différence ; l'antonyme d' « altérité » est « identité »[3] ou la reconnaissance de l’autre dans sa différence, aussi bien culturelle que religieuse[4].

Anthropologie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Anthropologie

Traditions anthropologiques[modifier | modifier le code] Il existe diverses traditions anthropologiques antiques, puis modernes (allemande, anglo-saxonne, française, etc). Les plus importantes sont actuellement[réf. nécessaire] l’anthropologie sociale britannique (J.G. Frazer, Bronislaw Malinowski, A.R. Radcliffe-Brown, E.E. Le modèle anglo-saxon est axé sur la multidisciplinarité et divise traditionnellement l’anthropologie en quatre sous-disciplines : En France, les travaux structuralistes de Claude Lévi-Strauss ont exercé une grande influence.

Thématiques de l’anthropologie[modifier | modifier le code] L'humain et la nature[modifier | modifier le code] La discipline anthropologique[modifier | modifier le code] L'anthropologie dans son étude de l'être humain s'intéresse à sa diversité biologique et à sa diversité culturelle d'un point de vue synchronique (contemporain) et diachronique (à travers le temps). Ethnographie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Ethnographie

L’ethnographie est le domaine des sciences sociales qui étudie sur le terrain la culture et le mode de vie de peuples ou milieux sociaux donnés. Cette étude était autrefois cantonnée aux populations dites alors « primitives »[1]. Par la suite son champ s'est étendu à tout peuple ou milieu : l'ethnographie peut par exemple étudier le milieu geek, la pratique de la recherche mathématique, ou encore les jeunes ados néerlandais d'aujourd'hui. Le mot ethnographie est composé du préfixe « ethno » (du grec έθνος, peuple, nation, ethnie) et du suffixe « graphie » (au grec γράφειν, écrire), pour signifier description des peuples.

Histoire[modifier | modifier le code] Le terme est apparu pour la première fois en 1767, dans un livre de Johann Friedrich Schöpperlin (1732-1772)[2]. L'ethnographie sous-entend une enquête de terrain composée de méthodes de retranscription et de suivi d'écriture. Notes et références[modifier | modifier le code] La Littérature et le jeu. La Littérature et le jeu.

La Littérature et le jeu

Textes réunis et présentés par Éric Francalanza ( Eidôlon n°65, Bordeaux3, février 2005. Présentation d'Éric FRANCALANZA consultable en ligne : I - REPRÉSENTATIONS DU JEU (société et morale) Nathalie GRANDEJeu et société galante : Les Jeux servant de préface à Mathilde de Madeleine de Scudéry. Jean-Noël PASCALJouer n'est pas seulement jouer : le jouet et les jeux chez quelques fabulistes des Lumières. Catherine RAMONDAspects et fonctions du jeu dans le roman du XVIIIe siècle. Laurent GIRAUDMorale du jeu et du jouet dans L'Enfant de Jules Vallès. Le dictionnaire superflu du jeu de société à destination des amateurs ralliés à la cause – L'acariâtre. Aujourd'hui, déjà 54 définitions.

Le dictionnaire superflu du jeu de société à destination des amateurs ralliés à la cause – L'acariâtre

Auteur subst. masc. : Nom inscrit sur la boîte. Voir éditeur Boîte. Jeux de société reflètent la société. Jouer. Une étude anthropologique, de Roberte Hamayon, suivie de la préface inédite d’Alain Caillé. Introduction.

Jouer. Une étude anthropologique, de Roberte Hamayon, suivie de la préface inédite d’Alain Caillé

Le « jouer » : un nœud de paradoxes par Roberte Hamayon « The essence of play is paradox itself. »Gregory BATESON, Theory of Play and Fantasy [1].« Je demande qu’un paradoxe soit accepté, toléré et qu’on admette qu’il ne soit pas résolu. »Donald W.