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Violence

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Société: «Barbarie inouïe» dans une école secondaire. ASBESTOS – Un élève de l'école secondaire L'Escale, à Asbestos, s’est fait tabasser la semaine dernière dans l’enceinte de l’établissement. Son bourreau aurait été payé pour agir. Outrée par tant de violence, une amie de la victime a dénoncé ce qu’elle qualifie de «barbarie inouïe» dans une lettre envoyée au journal Les Actualités. Nina Warnock-Marceau y relate les faits dont elle a été témoin le 24 mars dernier. «L'attaquant dans cette histoire s'est fait payer par un groupe d'élèves pour "casser la gueule" de la victime. «Oui, vous avez bien lu, un contrat a été passé sur un élève de L'Escale et ce contrat a été mené à terme devant d'innombrables spectateurs qui en redemandaient.» La direction était apparemment au courant de ces menaces et elle avait rencontré un élève qu’elle soupçonnait, sans pouvoir pour autant le prouver.

Elle poursuit également son enquête pour identifier tous les élèves qui ont été mêlés à cette histoire et comprendre les raisons de leur geste. La SQ mène son enquête à l'école L'Escale | Isabelle Pion | Estrie. La mère d'un élève a porté plainte à la SQ, vendredi dernier, parce que son fils a été rué de coups par un autre jeune homme. Or, certaines informations laissent croire qu'un groupe de jeunes aurait payé le présumé agresseur pour s'en prendre à la victime.

L'enquête doit permettre d'identifier le noyau de jeunes qui aurait été impliqué. Le présumé agresseur, pour sa part, devait faire l'objet d'une suspension d'au moins trois jours et possiblement d'autres mesures. Du côté de la SQ, on indique que l'enquête se poursuit; des rencontres ont eu lieu à l'école lundi. À la suite de ce qui s'est passé, la directrice générale adjointe de la CSS, Édith Pelletier, a rencontré les intervenants concernés.

«On va mettre en place une stratégie pour parler aux élèves de l'école», fait-elle valoir. Cet épisode de violence a été dénoncé par une élève de l'Escale, Nina Warnock-Marceau. A l’école des enfants heureux… ou presque. Loin d’un bilan statistique issu de l’administration, cette enquête s’intéresse avant tout au ressenti des enfants à l'école. Son auteur, Eric Debarbieux, chercheur et directeur de l’Observatoire international de la violence scolaire, s’est associé à Georges Fotinos, ancien inspecteur général de l’Education Nationale et membre du Conseil d’administration de l’Unicef France, pour mener ce travail, ainsi qu'à une équipe de chercheurs issus de sept universités françaises. Un espace d’épanouissement pour la très grande majorité... Tantôt fantasmée, tantôt niée, la violence scolaire en primaire n’avait jusqu’à maintenant jamais été explorée de manière aussi approfondie. Compte tenu de l’importance de l’école primaire dans la construction et le développement des enfants, il était primordial pour l’Unicef France de prendre l’initiative de cette étude. ...et un lieu de souffrance pour une importante minorité Un outil de travail pour l’Unicef France.

Edupax. Allô 119.