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Psychologie

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«Ma fille se trouve laide et grosse» | Alexandre Vigneault | Société. Le TDAH sur les bancs d’école: un don devenu vice. Connexion Isabelle Sokolnicka 15 novembre 2014 Société / Science et technologieLe TDAH sur les bancs d’école: un don devenu vice Photo : Annik MH De Carufel Le Devoir D’après le chercheur Scott Barry Kaufman, lorsqu’on dit à un enfant qu’il souffre du TDAH, donc d’impulsivité, d’inattention et d’hyperactivité, on lui colle une étiquette qui le stigmatise tout au long de son parcours scolaire. « Je sympathise avec les individus qui ont des difficultés d’apprentissage », dit M. Kaufman, qui a lui-même reçu un diagnostic de trouble auditif lorsqu’il était enfant. « On dit à ces enfants-là qu’ils ne réussiront pas », ajoute le chercheur, qui a terminé son doctorat en psychologie cognitive à l’Université Yale en 2009. M. Ils s’ennuient à l’école Face à un système standardisé, axé sur la conformité, M.

En outre, nous n’utilisons pas les bons outils pour détecter la créativité et l’intelligence chez les personnes atteintes du TDAH. Catalyser le potentiel créatif du TDAH Site complet. Capacité d’attention: comment améliorer celle de notre enfant? | Psychologie et jeunes enfants. Il a toujours la bougeotte? Il n’arrive pas à jouer plus de dix minutes au même jeu? Il est dans la lune? Il est facilement dérangé par ce qui se passe tout autour de lui?

Bref, votre enfant a de la difficulté à rester concentré. C’est normal, mais – surtout - ça s’apprend! Rester concentré est une aptitude à développer chez notre enfant. Voici des trucs pour aider vos enfants à rester plus concentrés et à développer leur capacité à fixer leur attention. Autour de son intérêt Dès qu’il est petit, selon ses intérêts et ses passions, amenez votre enfant à concentrer son attention toujours un petit peu plus longtemps. Limiter les excitants Le bruit (la télévision, la radio, les bruits dans une classe, etc.) perturbe souvent les enfants. Gestion du temps Les enfants ont besoin de repères dans le temps. Une chose à la fois Apprenez aux enfants à faire une chose après l’autre ce qui évite de s’éparpiller et de ne plus être concentré. Lui créer une bulle Être le gardien de son attention À lire. Le manque de reconnaissance mine le moral des troupes | Nathalie Côté, collaboration spéciale | CV.

«La reconnaissance est un besoin fondamental pour tous les êtres humains, rappelle Julie Carignan, psychologue chez SPB psychologie organisationnelle. Pour se développer et s'améliorer, un employé a besoin de rétroactions.» Or, certains patrons hésitent à complimenter leurs travailleurs par crainte que cela leur monte à la tête. D'autres ne prennent tout simplement pas le temps ou mettent seulement l'accent sur ce qui va mal. Finalement, certaines personnes ont moins besoin de reconnaissance et ont tendance à en donner peu.

Mais, quelle que soit la raison, les conséquences peuvent être importantes sur le moral des troupes. Santé mentale en jeu Récemment, un groupe de chercheurs de l'Université Laval a d'ailleurs démontré un lien entre un déséquilibre effort-reconnaissance et une hausse des congés pour des raisons de santé mentale. «Ce n'est pas anodin, tranche Ruth Ndjaboue, l'une des chercheuses. L'art de la reconnaissance La reconnaissance devrait idéalement se faire sur trois plans: Jeux vidéo : moins d'une heure par jour pour des ados équilibrés. Photo : IS/iStock Les jeunes qui jouent à des jeux vidéo moins d'une heure par jour sont plus équilibrés que les autres, tandis que les adolescents qui jouent à des jeux plus adultes sont ensuite plus susceptibles d'adopter des comportements à risque, démontrent deux nouvelles études.

La première étude a été réalisée par des chercheurs de l'université britannique Oxford et est publiée dans les pages du journal médical Pediatrics. Elle conclut que les jeunes qui jouent moins d'une heure par jour sont les plus susceptibles d'être bien socialisés et de se déclarer heureux. Ces jeunes semblaient aussi moins à même de connaître des problèmes dans leurs relations interpersonnelles ou de souffrir d'hyperactivité. Les chercheurs préviennent toutefois que les effets (positifs ou négatifs) des jeux vidéo est très petit comparativement à des facteurs comme l'environnement familial, les relations nouées à l'école et le confort matériel dont profitent les enfants.

Les vertus de l'oisiveté | SILVIA GALIPEAU | Famille. On le sait, plusieurs recherches ont déjà démontré l'importance du jeu libre, contrairement aux activités structurées, dans le développement des compétences sociales, l'imagination, la débrouillardise, l'autonomie, même la confiance en soi des petits. Or, voilà qu'une toute première enquête s'attaque à l'impact de l'ensemble des activités non structurées, que ce soit les pique-niques, les fêtes, ou même le simple fait de regarder la télé, sur le contrôle cognitif des enfants. Le quoi ? Le contrôle cognitif, ou encore les fonctions cognitives ou exécutives du cerveau, celles-là mêmes qui permettent, ou non, d'adapter notre comportement à un environnement changeant. « Le contrôle cognitif, c'est ce qui nous permet d'atteindre nos objectifs. » - Jane Barker, étudiante au doctorat en psychologie à l'Université du Colorado Sans contrôle cognitif, le comportement demeure rigide et inflexible, systématique et instinctif.

Vous nous voyez venir ? Et qui sont ces enfants, précisément ? La surprotection des enfants : calamité ou devoir? | Médium large. Art de vivre La surprotection des enfants : calamité ou devoir? Le lundi 28 juillet 2014 Les parents surveillent-ils et protègent-ils davantage leurs enfants qu'avant? Trouble d'apprentissage, anxiété, paresse, peur, trouble du comportement, les enfants « surcouvés » sont-ils à risque? Et les « hyperparents » courent-ils droit vers l'épuisement? Nos invités font le tour de la question de l'hyperparentalité et de la surprotection des enfants, qui est devenue la norme dans notre société. Créer un compte. L'influence du rang familial sur la personnalité | Médium large. Les bébés n’apprennent pas de n’importe qui. Connexion Marie Lambert-Chan 19 avril 2014 Société / ÉducationLes bébés n’apprennent pas de n’importe qui Photo : Annik MH De Carufel - Le Devoir Selon les travaux de la professeure Diane Poulin-Dubois, les bambins sont capables, dès 14 mois, d’identifier les informations factices, ce qui influe sur la confiance qu’ils accordent à leur interlocuteur et leur inclination à apprendre de cette même personne.

Les espèces animales ont différentes façons d’apprendre. Développement cognitif Plusieurs spécialistes du développement cognitif à travers le monde se demandent si les enfants sont, dès la naissance, crédules ou sceptiques. . « La recherche sur ce qu’on appelle l’apprentissage sélectif — comment l’enfant décide d’accorder foi à un individu pour apprendre de lui — a débuté il y a une dizaine d’années, déclare la spécialiste. L’une des premières études dans ce domaine consistait à présenter aux enfants deux adultes en possession d’un objet familier comme un crayon. Les bébés ne sont pas dupes. L'intimidation augmente les risques d'incidents psychotiques | Santé. Les chercheurs des universités de Warwick et Bristol ont étudié une cohorte d'enfants britanniques de leur naissance jusqu'à l'âge de 18 ans. Ils ont découvert que tous ceux qui ont été touchés par l'intimidation - qu'il s'agisse des intimidateurs eux-mêmes, des enfants intimidés systématiquement ou même des enfants intimidés occasionnellement - présentaient un risque accru d'épisodes psychotiques.

Les épisodes psychotiques peuvent décrire une multitude de problèmes, des hallucinations auditives et visuelles jusqu'à la paranoïa. Le professeur Dieter Wolke, de l'université de Warwick, a expliqué qu'il faut éradiquer le mythe selon lequel l'intimidation est un rite de passage inoffensif. Il s'agit plutôt d'un problèmes dont les répercussions seront ressenties à long terme et qui peut avoir un impact grave sur la santé mentale. Il a ajouté qu'il faut intervenir le plus tôt possible, dès l'école primaire, pour prévenir de telles conséquences à long terme. Psychologie: ralentir, pour mieux vivre | Olivia Lévy | Santé. L'auteur a enquêté dans différents endroits du monde, écoles, entreprises, hôpitaux, usines, prisons, pour découvrir qu'il y a des solutions à nos problèmes. Selon lui, devant les difficultés, il faut savoir prendre du recul, admettre ses erreurs et opter pour des solutions lentes à long terme. Dans un monde où tout va trop vite, nous nous sommes arrêtés le temps d'une rencontre avec un père de famille qui est heureux d'avoir ralenti et qui, grâce à cela, voit la vie avec beaucoup plus d'optimisme.

Quel a été l'élément déclencheur de votre premier livre, Éloge de la lenteur, qui est un succès mondial? Avant d'écrire mon premier livre, ma vie était une véritable course contre la montre. Même les moments intimes avec mes enfants devaient se faire rapidement. Vous proposez des solutions lentes à long terme pour régler les problèmes de notre société. Oui. La pression est omniprésente. Avez-vous vraiment ralenti? Oui et c'est un grand soulagement! J'aime beaucoup ce paradoxe. «Merci.» Lettre à toi, qui iras à l’école à reculons. À l’aube de la rentrée, j’ai une pensée pour toi, fille ou garçon, enfant du primaire ou ado du secondaire. Toi à qui l’idée d’une nouvelle année scolaire n’apporte pas curiosité et excitation, mais angoisse et découragement. C’est que, tu te souviens de ta dernière année scolaire, des précédentes aussi peut-être. Il se peut que même ton été, dans ton quartier, ait entretenu ton anxiété.

Ton envie de passer inaperçu (e). De te fondre à la couleur des murs… On parle de plus en plus d’intimidation un peu partout. Tu ne sais pas trop si c’est ce que tu subis. Ce n’est pas que tu ne veuilles pas apprendre, faire tes devoirs ou que tu n’as pas envie de participer à des activités parascolaires. Mais comment anticiper l’avenir, quand parfois, tu n’as même plus la force de traverser le présent? Peut-être t’en fais-tu trop, te dis-tu parfois. Il doit bien y avoir une bonne raison au fait que tu ne sois pas « populaire » et qu’on ne t’adresse paroles et regards que pour rire de toi. xxxxx. Les dérives alcooliques prévisibles dès la maternelle? | Enfants.

«On n'entre pas dans l'adolescence vierge de tout; on dispose d'expériences de vie que l'on porte en soi, qui datent du plus jeune âge», explique Danielle Dick, psychologue de l'université Virginia Commonwealth aux États-Unis, co-auteur de l'étude. «C'est une des tentatives les plus complètes pour comprendre les signes précurseurs de la consommation d'alcool à l'adolescence dans une grande cohorte épidémiologique, dès les premières années de vie».

Le professeur Dick et son équipe ont utilisé des données statistiques britanniques comprenant des chiffres sur des enfants nés entre avril 1991 et décembre 1992. On nota les caractéristiques de tempérament à six mois puis tous les ans jusqu'à la sixième année de 6504 garçons et 6143 filles. On enregistra par la suite la consommation et les problèmes d'alcool à l'âge de 15 ans et demi. Cette étude est parue en ligne récemment dans la revue Alcoholism: Clinical and Experimental Research.

Les optimistes gèrent mieux le stress, c’est confirmé. Photo : iStockphoto Les personnes optimistes gèrent mieux le stress que celles qui sont de natures plus pessimistes, montre une étude québécoise. Si la chose peut paraître une évidence, elle n'avait pas été confirmée scientifiquement. C'est ce que viennent de faire des chercheurs de l'Université Concordia, qui ont établi un lien concluant entre l'optimisme et la réponse biologique au stress. En fait, leurs travaux ont permis de mieux comprendre la façon dont optimistes et pessimistes gèrent respectivement le stress en établissant non pas une comparaison entre eux, mais une comparaison avec eux-mêmes.

Les résultats obtenus par Carsten Wrosch et Joelle Jobin du département de psychologie révèlent que le cortisol, communément appelé l'« hormone de stress », a tendance à demeurer plus stable chez ceux qui sont dotés d'une personnalité plus positive. Le saviez-vous? Explications Ensuite, les niveaux de stress de chaque personne ont été comparés au taux moyen de cette même personne. Des «anges» à Lac-Mégantic pour soulager la détresse | Daphné Cameron | Tragédie à Lac-Mégantic.

Il est 10h30, à la polyvalente de Montignac. Ariane Le Blanc et Guylaine Bouchard entrent dans une salle anonyme, devenue leur nouveau quartier général. Elles ne se connaissent pas. La première est une travailleuse sociale de la région de Sherbrooke, l'autre vient de Longueuil. Aujourd'hui, les deux femmes feront équipe. C'est l'heure du «dispatch». Le chaos Ariane et Guylaine héritent de la zone 1, qui entoure l'église de la ville.

Ariane Le Blanc, 30 ans, est arrivée à Lac-Mégantic au premier jour de la tragédie. Les deux intervenantes commencent leur journée à l'église. Les deux femmes s'arrêtent chez le fleuriste, puis à la brasserie, où un pompier se confie à elles quelques minutes. «Le travail d'aujourd'hui consiste à faire du repérage, ajoute Guylaine. Les intervenants psychosociaux sont sur le terrain à toute heure du jour et de la nuit. Ils resteront sur le terrain au moins jusqu'à la fin du mois de juillet. La méchanceté : cette inavouable part de l'humain | Les chemins de travers. Société La méchanceté : cette inavouable part de l'humain Le dimanche 14 juillet 2013 Certains croient qu'elle est en chacun de nous et qu'on choisit d'y résister ou non. D'autres, qu'elle est folie, mal auquel on succombe par blessure. Puis, il y a ceux qui parviennent à lui donner un visage rationnel.

Créer un compte. Détresse psychologique chez les étudiants | L'été du monde (national) L'effet néfaste de l'enfant favori | Laurie Richard | Famille. Dans l'étude de Jennifer Jenkins, professeure au département de psychologie de l'Université de Toronto, publiée dans le journal Child Development de février, on parle de l'adoption d'un «comportement parental différentiel» pour décrire le phénomène. Il se produit lorsqu'un enfant reçoit plus ou moins de réactions négatives ou positives de la part d'un parent qu'un autre membre de la même fratrie.

L'étude a été menée auprès de 400 familles de deux à quatre enfants âgés en moyenne de deux à cinq ans. Elle a été davantage axée sur les mères, et basée sur beaucoup d'observations; on ne s'est donc pas contenté de considérer les réponses rapportées par les parents eux-mêmes lors de sondages. «Je pense que tous les parents veulent se croire aussi égalitaires qu'ils le disent», souligne André Plamondon, stagiaire postdoctoral au laboratoire du Dr Jenkins.

Mais ce n'est pas le cas. Pas toujours négatif «C'est pas juste!» Une dérogation pour entrer à l'école plus tôt? | Nathalie Côté, collaboration spéciale | Enfants. Allée de l'enfance - L'enfant et l'estime de soi. L'humain peine à prévoir les changements dans sa vie, selon Science | Jean-François Cliche | Science.

Des services professionnels nettement insuffisants ! Do early father–infant interactions predict the onset of externalising behaviours in young children? Findings from a longitudinal cohort study - Ramchandani - 2012 - Journal of Child Psychology and Psychiatry. De l'importance du père pour son fils | Science. Trouble bipolaire. Des enfants bipolaires | L'été du monde. The Impact of Social Media on Children, Adolescents, and Families. Facebook, Facebook, dis-moi qui est la plus populaire? | La sphère. Diagnostiquer le TOC chez les jeunes | L'après-midi porte conseil. Les effets collatéraux du conflit sur la santé psychologique des étudiants | Maisonneuve en direct. Le revers de la timidité | L'après-midi porte conseil.

Dormir comme un bébé, pas si évident | L'après-midi porte conseil. La détresse psychologique des jeunes | Désautels. De l'importance de la réceptivité des parents | Science. Le retour de l'attachement | L'après-midi porte conseil. Psychologie à deux vitesses | Points de vue. Centre d'évaluation neuropsychologique et d'orientation pédagogique (CENOP), au service des enfants atteints de troubles d'apprentissage ou de comportement.

Ordre des psychoéducateurs et psychoéducatrices du Québec.