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La multiplication des emprunts à l'anglais | Médium large. Portail linguistique du Canada | Language Portal of Canada. Bolduc renonce à un programme «mur à mur» Connexion Marco Bélair-Cirino 20 juin 2014 Société / ÉducationBolduc renonce à un programme «mur à mur» Photo : Jacques Boissinot La Presse canadienne Le ministre de l’Éducation, Yves Bolduc, rejette l’idée d’implanter un programme d’enseignement intensif de l’anglais « mur à mur » dans les écoles primaires québécoises. Il s’est dit favorable jeudi à la mise sur pied « progressive » et « structurée » d’un programme d’anglais intensif obligatoire pour « le plus grand nombre possible d’élèves de la 5e et de la 6e année du primaire ». Mais, rejetant le « dogmatisme », M. Selon M. La maîtrise de l’anglais est plus qu’un « atout » pour les Québécois, a-t-il soutenu. « Être capable de communiquer dans les deux langues, surtout au Québec, je pense que c’est un atout, et quant à moi, c’est pratiquement une obligation. 20 nouvelles classes de maternelle temps plein M.

Un tableau blanc par classe M. Site complet. Le français supplanté par l'anglais à l'école | Points de vue. Dans son édition du 22 avril 2014, le quotidien Le Soleil nous apprenait que le ministère de l'Éducation venait de publier une liste orthographique de quelque 2700 mots pour compléter le programme de français, langue première du primaire. Cette liste doit servir d'outil de référence à l'intention des enseignants en indiquant quels mots devraient être appris chaque année de l'école primaire.

Ce genre d'outil pédagogique n'avait malheureusement pas été renouvelé depuis plusieurs années. Il aurait dû être mis à la disposition des enseignants bien avant. Ceux-ci le réclamaient depuis longtemps afin d'assurer une meilleure organisation de l'enseignement de l'orthographe à l'intérieur d'un même niveau et entre les différents niveaux du primaire. C'est un outil relativement facile à construire grâce aux nombreuses études qui nous renseignent sur la fréquence des mots en français ainsi que sur leur degré de difficulté orthographique. Temps réduit pour le français Obsession de l'anglais. L’anglais intensif, en avant toute! Anglais intensif : pensez aux conditions des profs, dit le syndicat | Annie Mathieu.

Ces derniers ont fortement réagi à l'article du Soleil de mardi qui révélait que les commissions scolaires étaient satisfaites des performances des élèves inscrits au programme puisqu'ils réussissaient aussi bien en mathématiques et en français, ou sinon même mieux, que leurs camarades du programme régulier. Celles-ci laissaient également entendre qu'elles comptaient augmenter leur offre et promouvoir les classes d'anglais intensif. «Les projets particuliers doivent être élaborés avec la participation des enseignants.

Est-ce que l'on tient compte de leur réalité? Est-ce qu'on a évalué les besoins des enfants en difficulté?» S'interroge la présidente de la Fédération des syndicats de l'enseignement, Josée Scalabrini. Un tout autre portrait M. Les syndicats assurent qu'ils sont loin d'être contre l'enseignement intensif de la langue de Shakespeare mais croient qu'il faut trouver un modèle qui convient au milieu. L'anglais intensif porte fruit à Québec | Annie Mathieu. «Ça se trouve à contredire le discours global à l'effet que cela [l'anglais intensif] nuit. Chez nous, ça ne semble pas être le cas», se réjouit le secrétaire général de la commission scolaire des Premières-Seigneuries, Jean-François Parent. Dans les huit établissements de cette commission scolaire où le programme est offert, cela fait trois ans qu'aux épreuves ministérielles de français et de mathématiques, les élèves en anglais intensif obtiennent de meilleures notes que ceux du régulier.

Par exemple, en juin 2013, la moyenne à l'examen de français de ces derniers était de 77,7 % contre 78,5 % pour ceux ayant choisi de pousser plus loin leur connaissance de la langue de Shakespeare. Le portrait est similaire en mathématiques où ceux-ci ont performé avec une moyenne de 79,4 % tandis que les autres élèves ont obtenu 77,8 %. «C'est des résultats encourageants, ça nous incite à intensifier notre programme d'anglais dans plus d'écoles dans les prochaines années», affirme M. Anglais intensif - La dévolution aux conseils d’établissement est raisonnable et pertinente. Ainsi, la ministre de l’Éducation, Mme Marie Malavoy, entend confier au conseil de chaque établissement de chaque école la décision d’implanter ou non un programme d’anglais intensif en 6e année du primaire. Cette décision apparaît raisonnable et pertinente. Sur le plan des principes d’organisation pédagogique, elle s’inscrit dans un mouvement international largement répandu : la décentralisation est préférable à la centralisation, en vue, notamment, de favoriser la réussite scolaire.

Du reste, la décision est conforme à l’esprit de la Loi sur l’instruction publique de 1997 adoptée sous l’impulsion de Pauline Marois, à l’époque ministre de l’Éducation. Sur le plan pratique, cette mesure n’est pas une totale innovation. Un beau risque ! Cette délégation aux conseils d’établissement constitue un « beau risque ». Certes, les enseignants et enseignantes qui siègent aux conseils d’établissement agissent à titre de professionnels. Frontières ouvertes. Sur le langage. Centre d'information. — Afin d’établir une approche équilibrée et respectueuse des milieux dans l’enseignement de l’anglais, la ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport, M me Marie Malavoy, a annoncé aujourd’hui que le gouvernement levait l’exigence, pour toutes les écoles primaires francophones du Québec, d’offrir en 6 e année l’enseignement intensif de l’anglais, langue seconde, d’ici 2015-2016. « Notre gouvernement est ferme quant à l’objectif, mais souple quant aux moyens.

Par cet assouplissement, nous voulons nous assurer que chaque école pourra mettre sur pied des projets respectant ses caractéristiques », a déclaré la ministre Malavoy. Les élèves devraient, à la fin du secondaire, être capables de se faire comprendre facilement par un interlocuteur anglophone en s’exprimant avec aisance et de le comprendre sans difficulté. L’amélioration de la maîtrise de l’anglais, langue seconde, doit devenir un projet porté par chaque équipe-école. Bilinguisme et haute fonction publique | Point du jour. Anglais intensif en 6e année: Québec renoncera aux cours obligatoires | Denis Lessard | Politique québécoise. Le souhait du gouvernement est toujours qu'à cette dernière année du primaire, les élèves puissent avoir accès à un apprentissage intensif de l'anglais. Mais, confie-t-on, on s'est vite rendu compte que la voie proposée par le gouvernement Charest ne pourrait être appliquée faute de ressources.

L'objectif demeure que les jeunes puissent pouvoir s'exprimer en anglais à la fin du secondaire, mais pour y arriver, la ministre Marie Malavoy ne voudra pas de formule «mur à mur». L'obligation de fournir des cours d'anglais intensif en sixième année avait généré de nombreuses objections pratiques et logistiques. Par exemple, dans une école où on trouve trois classes de sixième année, comment se partager le professeur d'anglais qui travaille sur deux semestres alors qu'il y a trois groupes?

Les nombreux élèves bilingues des écoles de Montréal soulèvent d'autres contraintes. Pas question, toutefois, de décaler les efforts d'enseignement de l'anglais prévu pour la sixième année vers le secondaire. Les classes d'anglais intensif se multiplient | Daphnée Dion-Viens. À la commission scolaire de la Capitale, il y aura à l'automne deux fois plus d'écoles qui vont offrir l'anglais intensif en sixième année. Sept nouvelles écoles primaires ont décidé d'aller de l'avant pour la rentrée. Il s'agit des écoles de Château-d'Eau, de l'Aventure, de la Chaumière, de l'Escabelle, du Val-Joli, Jules-Émond et Saint-Claude. Parmi elles, certaines ont décidé d'opter pour la formule moitié-moitié (une demi-année consacrée à l'anglais intensif et l'autre demi-année consacrée aux matières de bases), alors que d'autres écoles ont choisi une formule réduite où seulement le tiers de l'année est consacré à l'anglais intensif.

Puisque sept autres écoles offrent déjà l'anglais intensif cette année, la commission scolaire de la Capitale comptera donc à la rentrée 14 écoles primaires qui offriront le programme. Pression des parents M. L'anglais à l'école financé par le fédéral. L'enseignement intensif de l'anglais au primaire est financé à coup de dizaines de millions $ par Ottawa dans le but de promouvoir le bilinguisme. Patrimoine Canada aura versé 73,6 millions$ au gouvernement du Québec pour soutenir l'enseignement de l'anglais langue seconde de 2009-2010 à 2012-2013. Depuis 2003, le gouvernement fédéral poursuit un plan d'action lancé par les libéraux de Jean Chrétien dont l'objectif est notamment de doubler le nombre de jeunes Canadiens bilingues sur une période de 10 ans.

L'échéance du plan parrainé à l'époque par l'ex-ministre Stéphane Dion est donc l'année 2013. «Le gouvernement du Québec reçoit du fédéral du financement pour l'apprentissage de l'anglais langue seconde», soutient M. Dion, député libéral de Saint-Laurent-Cartierville à la Chambre des communes. Lobby de la SPEAQ Le ministère de l'Éducation s'est largement inspiré de ce Guide, produit en 2003, pour implanter son programme d'anglais intensif destiné aux élèves de 6e année. Une mesure illégale. Le programme d'anglais intensif menacé. La Fédération des comités de parents du Québec (FCPQ) est sur ses gardes avec l'arrivée au pouvoir d'un nouveau gouvernement qui menace de stopper l'implantation du programme d'anglais intensif. «Le gouvernement ne peut pas aller à l'encontre de la volonté des parents.

Nous, on reste vigilants», a dit Gaston Rioux, président de la FCPQ, mardi. Avec la rentrée, plusieurs écoles du Québec sont en pleine réorganisation des programmes en vue de l'implantation de l'anglais intensif à compter de l'an prochain. Lors des élections, les propos du député de Jonquière, Sylvain Gaudreault, selon qui le Parti québécois mettrait un frein au programme, suscitent de l'incertitude. «On est en réorganisation de la progression des apprentissages pour les élèves de 5e et 6e années dans une quinzaine d'écoles», a souligné Marie-Hélène Dion, porte-parole de la Commission scolaire de la Capitale. L'incertitude règne «Pour ceux dont l'organisation est complétée, ça démarre cette année.

L'anglais prend-il trop de place dans nos vies? | Dimanche magazine. Forum de la langue française - Claude Hagège s’oppose à l’enseignement intensif de l’anglais. Spécialiste mondialement reconnu de l’enseignement des langues secondes, le linguiste français Claude Hagège, qui intervenait hier au Forum mondial de la langue française à Québec, estime que l’enseignement intensif de l’anglais en sixième année est « inacceptable ». Selon ce partisan du multilinguisme, la décision du gouvernement de Jean Charest qui devrait toucher 20 % des classes dès l’an prochain viole l’esprit de la loi 101. « C’est une mesure absolument inacceptable parce qu’elle crée un grave danger d’américanisation des élèves québécois, dit-il. La loi 101, qui fait du français la langue unique et nationale du Québec, est violée par cette disposition. » Selon lui, l’effet sera particulièrement néfaste sur les immigrés. « L’une des raisons principales de la loi 101, c’était l’intégration des immigrés.

Si les immigrés sont maintenant anglicisés, alors la loi 101 perd tout contenu. » « En guerre » Michaëlle Jean, candidate à l’OIF? Site complet. L'anglais à géométrie variable | Marc Allard. À moins d'avis contraire, cette école de l'arrondissement de Saint-Jean-Chrysostome continuera dans la même voie en septembre, même si le ministère de l'Éducation, des Loisirs et du Sport (MELS) avait au départ ciblé la sixième année pour imposer l'anglais intensif dans toutes les écoles du Québec d'ici quatre ans. Au troisième cycle du primaire (cinquième et sixième année), estime la directrice de l'école, Lucie Jutras, «plus on fait ça tôt, mieux c'est». Le MELS ne semble pas s'y opposer. Alors qu'il privilégiait une formule unique au départ - en sixième année, cinq mois en anglais, cinq mois pour les autres matières -, il laisse maintenant aux écoles le soin de choisir ce qui leur convient, pourvu qu'elles respectent certaines balises.

«Il n'y a pas d'imposition de modèle», résume la porte-parole du MELS, Esther Chouinard. Dès septembre Les autres modèles sont acceptés s'ils satisfont au nombre d'heures et à la concentration de l'enseignement. M. Enseignants inquiets. Une maîtrise 100% en anglais. L'École des hautes études commerciales (HEC) offrira dès septembre une maîtrise totalement en anglais. Existant déjà en français sous l'appellation «maîtrise ès sciences en logistique», une mouture de ce programme de 2e cycle sera désormais offerte uniquement en anglais à quelque 30 nouveaux étudiants sous le nom «Global Supply Chain Management». «L'offrir en anglais, ça risque d'attirer plus d'étudiants étrangers. Il y a beaucoup de demandes venant de Chine et d'Inde. Ce n'est pas inintéressant, ça nous crée une belle diversité à l'intérieur de l'école», a expliqué Kathleen Grant, directrice des communications aux HEC.

Cette nouvelle maîtrise en anglais, qui s'ajoute au MBA 100 % anglais déjà existant, permettra chaque année à une centaine d'étudiants de décrocher un diplôme universitaire sans avoir suivi un seul cours en français. Dès septembre prochain, ce baccalauréat bilingue sera offert à cinq groupes d'étudiants, contre neuf pour celui en français et deux pour le trilingue. Anglais intensif en 6e année: les parents ont des réserves. Lundi, c'était au tour de la Fédération des comités de parents d'émettre de sérieuses réserves sur le projet qui doit entrer en vigueur graduellement au cours des prochaines années.

Québec prévoit que les élèves de 6e année devront donc, par exemple, assimiler la matière de toute l'année scolaire durant un semestre, puis consacrer tout l'autre semestre exclusivement à l'apprentissage de l'anglais, à raison de 400 heures au total. Il pourrait y avoir d'autres modèles retenus. Sur le principe, la fédération se dit en faveur de la décision, mais elle tient à ce que son application soit modulée selon les besoins de chaque école. Elle note que certaines écoles pourraient avoir besoin de quelques années pour implanter cette nouvelle façon de fonctionner. Les comités de parents estiment que Québec doit faire preuve de souplesse pour assurer le succès de ce changement majeur. Et ils souhaitent que Québec évalue le programme après trois ans, pour voir s'il répond aux attentes. Anglais en 6e année: le PQ réclame la suspension du programme | Martin Ouellet | Politique québécoise.

L'opposition officielle a joint sa voix jeudi à celles de la Fédération des syndicats de l'enseignement (FSE-CSQ) et de la Fédération autonome de l'enseignement (FAE). Inquiètes des conséquences de ce programme «mur à mur» sur les élèves en difficulté d'apprentissage, les deux principaux syndicats d'enseignants ont quitté la table de travail sur l'implantation du projet. Le porte-parole péquiste en matière d'éducation, Sylvain Gaudreault, reproche à la ministre Beauchamp de «ne pas avoir toutes les réponses sur les impacts de l'anglais intensif sur la réussite des élèves».

À cause du manque de préparation et de consultation, le gouvernement Charest est en voie d'hypothéquer la mise en place du programme, a accusé le député de Jonquière. Selon M. Gaudreault, la ministre doit «suspendre l'application universelle du programme», le temps d'obtenir «une image réaliste et complète» des impacts de l'apprentissage intensif de l'anglais sur les élèves, surtout ceux vivant des difficultés. Publications.

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