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Le Mécanisme européen de stabilité

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L’austérité à marche forcée... 10 choses que vous devez savoir sur le Pacte budgétaire. Le 1er mars 2012, 25 chefs d’État et de gouvernements ont signé un nouveau traité [1], qui devrait entrer en vigueur au début de l’année 2013. Ce Pacte budgétaire a été conçu dans l’urgence, et sous de très mauvais auspices : ses promoteurs avaient initialement prévu de l’adopter sous forme de modification des traités existants, mais le véto de la Grande-Bretagne, lors du Conseil européen du 9 décembre, les a obligés à créer un nouveau Traité ad hoc.

Cette procédure permettait en outre une adoption plus « souple » et « simple », c’est-à-dire qu’elle garantissait moins d’« interférences » liées à tout débat public et démocratique, en adoptant un traité de l’Union européenne qui n’en était pas vraiment un. Ce Pacte budgétaire a pour vocation à obliger les États signataires à appliquer des politiques budgétaires très strictes via un renforcement des règles et contrôles. Entre autres, les dénommés « déficits structurels » devront rester sous la limite de 0,5% du PIB. Pourquoi maintenant ? 1. Les Européens veulent un référendum sur le nouveau traité. Le MES n'est pas un mécanisme de solidarité européen. Le Monde.fr | | Par Claude Debons, Jacques Généreux, Janette Habel, Jean-Marie Harribey, Pierre Khalfa, Marie-Christine Vergiat et Francis Wurtz Dans un point de vue publié dans Le Monde du 25 février ("Mécanisme européen de stabilité : la bourde historique de la gauche"), des députés européens écologistes et des économistes proches d'eux s'en prennent à ceux qui, à gauche, se sont opposés au Mécanisme européen de stabilité (MES).

Le MES n'est pas un mécanisme de solidarité européen

Passons sur l'outrance rhétorique qui consiste à comparer cette opposition à celle des députés de droite sur la loi Veil instaurant le droit à l'avortement et venons-en au fait. Le MES serait "un premier pas vers une Europe fédérale avec son propre Trésor public et un budget conséquent". Au-delà du fait qu'il faudrait discuter précisément des fondements d'une telle Europe fédérale, s'il s'agissait d'"un fonds solidaire", comme ils l'affirment, s'opposer au MES serait effectivement "une bourde historique".

MES, le nouveau dictateur européen. Le coup d'état du 21 février. Pour rappel : - : traité sur l’Union européenne, première partie du traité de Lisbonne - : traité sur le fonctionnement de l’Union européenne, deuxième partie du traité de Lisbonne - : réunion des Chefs d’Etat et de gouvernement Le mardi 21 février, à la demande du gouvernement, l’Assemblée nationale examinera en procédure d’urgence deux projets de loi : - le projet de loi ratifiant la décision du Conseil européen de modifier l’article 136 du TFUE - le projet de loi ratifiant le traité instituant le Mécanisme européen de stabilité (MES) Ce qui se prépare dans un silence scandaleux alors que ces projets devraient être au cœur des débats dans toute la presse, va au-delà de tout ce qu’on a connu jusqu’ici, au niveau européen, en matière d’abandon de souveraineté, de recul démocratique et d’opacité.

Pour s’en rendre compte, il faut savoir ce qu’est le MES et de quelle procédure on use pour le faire adopter. Membres du MES Capital souscrit (EUR) Allemagne 190 024 800 000 France 142 701 300 000 Or, MES, TSCG… l’Europe du pire ! Les élections départementales sont marquées par un profond rejet de la politique gouvernementale.

MES, TSCG… l’Europe du pire !

Cela se » Par le Front de gauche thématique « antiracismes » La montée du racisme et de la xénophobie à » SOMMAIRE Faim et climat, urgence politique O.G.M, les conséquences de la nouvelle réglementation européenne Vous » Communiqué du Front de gauche, Paris, 7 janvier 2015 L’attentat meurtrier contre Charlie-Hebdo nous frappe » Le Front de gauche medias, Paris, le 18 décembre 2014 Les propos tenus par Eric Zemmour » Vous avez manqué…

Homer Simpson ne comprend rien à la nouvelle Europe, et vous ?