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Facebook, le réseau qu'on aime détester - M Magazine. Les morts de Pukkelpop ? La faute aux pirates bien sûr. Au fil des ans, le piratage a été accusé de bien des maux. Il a été successivement dénoncé pour avoir financé le terrorisme dans le monde, empêché le développement de l'offre légale sur Internet, menacé l'avenir du football ou encore entrainé un chômage de masse, notamment en Europe. Nous pensions avoir tout lu, tout entendu à propos des conséquences du téléchargement illicite sur Internet. Nous nous trompions. Le piratage sur Internet est aussi le responsable indirect du bilan humain lors de drames imprévisibles, comme celui qui a frappé en août dernier le festival de musique Pukkelpop, en Belgique.

Le 18 août dernier, une violente tempête s'est abattue dans la région où se déroule habituellement le festival. Pouvait-on prévoir une telle tempête ? Dans un numéro du Figaro Magazine, signalé par Delphine Dumont sur Twitter, les experts des assurances proposent une autre lecture de l'évènement. Une lecture du drame quelque peu étonnante. Les morts de Pukkelpop ? La faute aux pirates bien sûr. Le Royaume-Uni demande à Google de ne plus référencer les sites de téléchargement illégaux. Google Plus and the Big Picture | The Burnman Experience. Shuu.sh Rates Your Twitter Stream, Shrinks People Who Overtweet. I really wish Twitter (like Plurk) had an option to disable updates from stated individuals. Ie. You can follow people but — if you untick 'updates' next to their name — you won't see any of their updates unless they address you directly.

I dropped somebody (a friend of a friend) last week because they were using Twitter like a chat room and drowning all of the overnight tweets on my timeline, and I still feel guilty about it because they are otherwise an OK, interesting person I would have liked to know a little better. If the aforementioned option existed, I'd have toggled their noise on and off from time to time instead of dropping them altogether. I realise you can toggle the follow button, but if the person has email alerts enabled or their timeline locked, that is spammy and going to annoy. Pourquoi Universal a perdu contre Deezer en référé. Lundi, nous rapportions que la maison de disques Universal Music France a perdu la première manche du procès qui l'oppose à Deezer.

Nous disions alors qu'il "faudra attendre de lire le jugement pour voir si la maison de disques a été déboutée sur une question de fond, ou de procédure". Or à la lecture de l'ordonnance, que nous reproduisons intégralement ci-dessous, la question du vice de procédure est très clairement écartée, puisque la juge s'est focalisée exclusivement sur le fond. Si Universal a perdu contre BlogMusik, qui édite Deezer, c'est paradoxalement pour partie à cause de l'accord des 13 engagements que la maison de disques avait signé en janvier 2011, pour favoriser le développement de l'offre légale.

On se souvient que ces accords avaient été signés du bout des doigts pour éviter le projet de licence obligatoire que Nicolas Sarkozy avait d'abord soutenu, avant de l'enterrer. Chile: ‘Influential’ Twitter Users Have Lunch with the President. On August 24, the same day that CUT workers (Worker’s United Central of Chile) were calling for the first day of a national strike, the president of Chile, Sebastian Piñera (@sebastianpinera), invited 15 influential Twitter users to have lunch in La Moneda -the presidential place- to hear their opinion and to discuss current national issues. According to the people who attended the meeting, the lunch lasted nearly 2 hours. This is the host list published by Cooperativa.cl: One of the guests, lawyer Marcelo Brunet, commented on online paper El Dínamo [es]: …más allá de los contenidos de lo conversado en el almuerzo, me parece interesante analizar el fenómeno de lo que pasó después de éste.

El almuerzo provocó polémica, mucha más de la que, admito, imaginé cuando me invitaron a ella […] Besides the issues discussed at lunch, I think it is interesting to analyze what happened after this. The lunch caused, as a matter of fact, more controversy than the one I expected when they invited me. Hatsune Miku, la diva virtuelle qui électrise le Japon. Hatsune Miku (ceasol/Flickr/CC) Elle a 16 ans, mesure 1m58 pour 42 kg et ses cheveux sont bleu turquoise.

La diva pop est un phénomène national au Japon. Elle fait la couverture des magazines et un million de vidéos d’elle circulent sur le web. Pourtant, Hatsune Miku n’existe pas. La chanteuse est un produit de la société Crypton Future Media. C’est le riverain Jpoppassion qui a attiré notre attention sur le programme de synthèse vocale mis au point depuis 2007, grâce à une technologie de Yamaha corporation, Vocaloïd 2. Moyennant 150 dollars US, le logiciel permet à n’importe qui de composer un tube en utilisant la voix vocaloïd d’Hatsune Miku sur des paroles de chansons. « On ne s’attendait pas à une telle popularité », reconnaît Kanae Muraki, directrice marketing de Crypton Future Media, qui a déjà vendu 70 000 logiciels. Miku, pop star vocaloïd Les fans ont fait le reste. . « A l’origine, il existait trois images d’Hatsune Miku. Première diva participative Pour le PDG de Sony Music Direct : Internet et révolution : une relation difficile à mesurer.

Fhimt.com vous propose de découvrir le monde à travers le réseau de blogueurs de Global Voices et de son édition francophone, très impliquée dans les mouvements en cours. Au moment où le débat est en cours sur le rôle des médias sociaux dans les révolutions qui secouent le Moyen-orient et l’Afrique du nord, une question se pose : jusqu’à quel point l’accès à Internet a permis un rôle déterminant d’ Internet et des médias sociaux dans ces insurrections? En Egypte et en Tunisie, de nombreux observateurs attribuent un rôle important aux réseaux virtuels alors que d’autres remettent en discussion ce facteur ; la plupart d’entre eux se situent au milieu, en reconnaissant le rôle d’Internet tout en restant réalistes sur ses limites.

Sur mon blog personnel, j’ai formulé la question d’une manière un peu différente, en demandant: Le blogueur Andrew Trench a présenté récemment une théorie sur le seuil à partir duquel le taux de pénétration d’Internet commence à compter, en écrivant: Sifry ajoute: Benjamin Bayart: protéger la biodiversité du Net. Benjamin Bayart, président d'un fournisseur d'accès à Internet associatif, est l'un des premiers à avoir alerté sur les dangers de la centralisation d'Internet.

Entretien sur les mécanismes du réseau et la nécessité de le défendre. La neutralité du réseau – soit la garantie que tous les flux seront traités à égalité sur le Net – est peu à peu, et sans doute parce qu’elle est de plus en plus menacée, devenue une question politique et médiatique. Il n’y a plus grand monde pour ne pas savoir ce dont il s’agit, et chacun a compris l’absolue nécessité de la préserver.

Il n’en allait pas tout-à-fait – voire pas du tout – de même il y a quatre ans : la neutralité du réseau était alors l’affaire de quelques geeks politiques, peinant à se faire entendre du grand public. Parmi ces précoces sonneurs d’alerte : Benjamin Bayart. Le président de FDN, plus ancien fournisseur d’accès encore en exercice en France, s’est aussi battu contre Hadopi et pour les logiciels libres. Société du savoir Bien sûr. Le gouvernement de l'Ouzbékistan bloque plusieurs sites Internet d'information | Sympatico.ca Nouvelles.

Plusieurs centaines de milliers de manifestants en Israël pour réclamer des changements sociaux. Microsoft et Ben Ali : Wikileaks confirme les soupçons d’une aide pour la surveillance des citoyens Tunisiens. Reflets.info est un blog d’hacktivistes particulièrement impliqués dans les opérations liées au Printemps arabe. Près de six mois après que l’affaire a été publiée dans Rue89 et savamment étouffée par les services de Microsoft, et à peine une semaine après la promotion de la principale instigatrice (update: disparue des écrans radars depuis), alors DG de Microsoft Tunisie, Salwa Smaoui, l’affaire de l’aide apportée par Microsoft dans l’espionnage de la population tunisienne rebondit grâce à la publication d’un câble Wikileaks issu de l’ambassade américaine de Tunis, qui conclut un long exposé concernant le contrat que nous avions fait fuiter avec le même constat : derrière ce contrat se cache un deal entre le géant de Redmond et le gouvernement de Ben Ali, destiné à espionner la population tunisienne (et accessoirement, à étouffer le logiciel libre).

Petit résumé des faits L’ambassade américaine en remet une couche La suite des révélations de Wikileaks sur Microsoft en Tunisie : Germany Lifts 17-Year Ban on Demon-Blaster Doom | GameLife. No Nazi comparisons? Sounds like something Hitler would say! I have a confession to make. "Godwin's Law" regarding Nazi comparisons has been a staple of online communities for years, but I never connected the idea to Mike Godwin. Godwin was an early Electronic Frontier Foundation (EFF) attorney who played a key role in bringing down the 1996 Communications Decency Act; last year, he served top lawyer for the Wikimedia Foundation and shot off a wonderfully snarky letter (PDF) to the FBI over Wikipedia's use of their seal.

But not until I recently started reading his 1998 book Cyber Rights did I have one of those electric moments of connection: Mike Godwin created Godwin's Law. On the off chance that you've been living under the same rock I have, here's why he did it—and what it might mean for our own online ethical duties.

Find a new rhetorical hammer In 1990, Godwin got fed up with Nazi comparisons on bulletin boards, Usenet newsgroups, and the WELL discussion site. Twenty-one years later, Godwin's success is simple to measure. A duty to remember. Ces entreprises qui aident les dictatures à contrôler leur population. Une entreprise française, filiale de Bull, fournissait des technologies de contrôle des communications à Kadhafi. Et le cas est bien loin d’être isolé. Tous les dictateurs ont acheté leurs technologies de censure à d’importantes entreprises occidentales.

Amesys, filiale du groupe français Bull dont France Telecom possède de nombreuses actions, a vendu à Kadhafi la technologie et la formation permettant de filtrer et censurer l’Internet libyen. C’est ce qu’a révélé le Wall Street Journal. Car il faut bel et bien parler d’armes technologiques, permettant de lire, analyser puis interdire le contenu qui s’échange sur Internet et téléphones. En Iran, Syrie et Bahreïn Amesys n’est pas la seule entreprise à accepter de gagner quelques millions en fournissant les technologies de censure aux dictatures. En Iran, les autorités sont passées maître dans l’art du contrôle des télécommunications grâce à l’association Nokia-Siemens. On sait aussi que c’est cette même alliance qui a opéré au Bahreïn. Oracle's Africa dealings under FBI, SEC, DoJ investigation. High performance access to file storage Oracle is reported to be under investigation by the US authorities for breaking federal anti-bribery laws in Africa. The FBI field office in Washington, fraud prosecutors in the Justice Department's criminal division, and attorneys for the Securities and Exchange Commission (SEC) are reported to be looking into sales of Oracle databases and applications in unnamed Western and Central African countries.

The agencies are examining if Oracle employees or people acting on behalf of the database giant made improper payments to secure deals in the countries, The Wall St Journal said. Under the Foreign Corrupt Practices Act, US companies and staff are not allowed to offer bribes to officials representing foreign governments or employees of state-owned companies. The Wall St Journal does not name its source for the story and Oracle would not comment when contacted by The Reg. Oracle has been in hot water in the past with the US authorities and politicians. Le Pakistan resserre son contrôle du Net.