background preloader

Culture société

Facebook Twitter

Changelin III : le vrai monde - Le blog de jeanne-a-debats. Je m’appelle Jeanne-A Debats, je suis écrivain de science-fiction et professeur, je suis également la mère qu’un adolescent autiste de 15 ans, « scolarisé » dans le Gers.

Changelin III : le vrai monde - Le blog de jeanne-a-debats

J'écris afin de donner un éclairage de fond concernant la prise en charge des enfants autistes, non pas telle qu’elle est décrite, mais telle qu’elle est vécue. Enfin, scolarisé, mon fils, l’était plus ou moins, 8 heures par semaine au collège Carnot à Auch, Gers, en ULIS. Cependant tout roulait bon an mal an, et l’enfant était censément accueilli jusqu’en juillet par décision de la MDPH (maison départementale du handicap). Son Aide à l’intégration (AVSI) était une personne volontaire et déterminée, avec laquelle l’enfant avait réussi à établir une relation de confiance indispensable pour ce type d’enfant particulièrement fragile, et elle menait notre projet d’intégration en ImPro de main de maître ainsi que le projet personnalisé de l'enfant au sein de son collège.

Pas de réponse claire. L'homosexualité, un crime dans de nombreux pays d'Afrique et du Moyen-Orient. Avoir 30 ans aujourd’hui : le livre qui se demande où « est passé tout le fric » « Toto, 30 ans » de Samuel Lévêque Je m’appelle Anthony, et j’ai 30 ans.

Avoir 30 ans aujourd’hui : le livre qui se demande où « est passé tout le fric »

Inutile de dire que lorsqu’un livre intitulé « Toto, 30 ans » (titre inspiré d’une chanson d’Alain Souchon) me tombe dans les mains, j’estime avoir le devoir d’en effectuer la lecture. A travers cet opuscule, qui a plus des allures de pamphlet hesselien que de véritable ouvrage (avec couverture cartonnée, tranche et tout et tout), l’auteur, Samuel Lévêque, s’adresse aux générations précédentes et tente de retranscrire son itinéraire de jeune trentenaire. Et il faut bien le dire, à la lecture de ce récit, on se sent moins seul. « Le dos et l’ego brisés » Issu d’une classe moyenne, l’auteur nous explique avoir eu la chance d’avoir toujours été tiré par le haut grâce à ses parents. Djihad en Syrie : à Berlin des pères apprennent à parler avec leurs fils.

Kazim Erdogan dirige l’une des séances de travail hebdomadaires du groupe de pères, au siège de l’association Aufbruch Neukölln, dans le quartier de Neukölln à Berlin.

Djihad en Syrie : à Berlin des pères apprennent à parler avec leurs fils

(A. Bilgenius/D.R.) Kazim Erdogan est catégorique : « Jamais mes filles n’iraient faire le djihad en Syrie. » Ce travailleur social est arrivé en Allemagne il y a exactement 40 ans. Dans un allemand impeccable, il se remémore son arrivée à la gare de Munich : « J’avais l’impression d’avoir 3 ans car je ne parlais pas la langue. » Ses deux filles ont aujourd’hui 21 et 24 ans, et il ne rate pas une occasion de parler avec elles de « résolution non-violente des conflits et des conséquences de la guerre », sait-on jamais. Bien qu’une vingtaine d’Allemandes aient déjà sauté le pas en se rendant en Syrie, les hommes seraient plus susceptibles de céder aux sirènes du djihad, « car dans la culture musulmane, ils sont élevés comme des héros, des sultans depuis le plus jeune âge », affirme Kazim Erdogan. Pourquoi des pères ?

Oui un nom à particule. Non pas une catho d’extrême droite. Cher journal qui me tient tant à cœur, que je lis tous les jours, qui est le seul à qui je fais à peu près confiance, je te sais capable de présenter au maximum les diversités françaises, y compris celles qui sont le plus éloignées de ta ligne éditoriale.

Oui un nom à particule. Non pas une catho d’extrême droite

Making of Au courrier ce mercredi, cet e-mail dissonant. J’ai eu envie de le publier tel quel. Mathieu Deslandes Mais quand même parfois, ras-le-bol. Je fais partie de ce groupe qui est ignoré des médias, de l’Eglise, et de tous, car il ne rentre pas dans ces cases si faciles à remplir par des clichés éculés. Je suis pour l’IVG Je viens d’une famille qui existe en France depuis plus de 500 ans. Ellen Page, c’est moche de crever d’envie face à ton coming out. Tribune Chère Ellen, tu permets que je t’appelle Ellen ?

Ellen Page, c’est moche de crever d’envie face à ton coming out

Après tout, j’ai passé un certain temps à insulter ton avatar virtuel, je suppose que ça remplace les présentations et les politesses. Tu sais Ellen, je crois que je suis jaloux de toi. Pas parce que tu es une actrice hollywoodienne, pas parce que tu as joué dans « Juno » ou que tu es mignonne. « Bonjour, vous avez des livres pour pervertir l’esprit des enfants ? » Sommes-nous revenus à l’âge des autodafés? Les autodafés sont littéralement des actes de foi, consistant à bruler en place publique des hommes ou des objets impies.

Sommes-nous revenus à l’âge des autodafés?

Si la pratique est courante sous l’Inquisition, elle l’est aussi à l’époque des totalitarismes. On qualifie aujourd’hui ces évènements de «moments de honte». Pourtant, certaines personnes restent encore persuadées qu’il faille juger l’impact des livres sur la santé morale des lecteurs. Le 9 février dernier, Jean-François Copé, interrogé par le Grand Jury, RTL, LCI et le Figaro, faisait part de son indignation face à la présence de livres de littérature jeunesse traitant de la question du genre.