background preloader

Finance

Facebook Twitter

Irlande: comment les cadres de l'Anglo Irish Bank ont dupé le gouvernement pour le convaincre de se porter au secours de la banque. Vu sur Express.be Le peuple irlandais qui a sacrifié sa souveraineté et des milliards d’euros, s’est réveillé hier avec la gueule de bois, compte tenu des révélations de l’Independent.

Irlande: comment les cadres de l'Anglo Irish Bank ont dupé le gouvernement pour le convaincre de se porter au secours de la banque

Le journal a publié l’enregistrement sonore d’une conversation téléphonique entre deux cadres de haut niveau de l’Anglo Irish Bank, John Bowe, qui dirigeait le service des marchés de capitaux, et le directeur du département de banque de détail, Peter Fitzgerald. Au cours de la conversation, Bowe, qui a participé aux négociations avec la banque centrale pour le sauvetage de l’Anglo Irish Bank, lui raconte en riant comment l’équipe de direction de la banque a convaincu le gouvernement de se porter à son secours pour des milliards d’euros, n’hésitant pas à employer des chiffres fantaisistes pour s’assurer de son accord (Fitzgerald n’avait pas participé à ces tractations). Sans nouvelles d’Islande : pourquoi ? Si quelqu’un croit qu’il n’y a pas de censure actuellement, qu’il nous dise pourquoi on a tout su au sujet de ce qui se passe en Egypte, en Syrie ou en Libye, et pourquoi les journaux n’ont absolument rien dit sur ce qui se passe en Islande ?

Sans nouvelles d’Islande : pourquoi ?

En Islande, - le peuple a fait démissionner un gouvernement au complet, - les principales banques ont été nationalisées et il a été décidé de ne pas payer la dette contractée par ces dernières auprès de banques de Grande Bretagne et de Hollande, dette générée par leur mauvaise politique financière ; - une assemblée populaire vient d’être créée pour réécrire la Constitution. Et tout cela, pacifiquement. Toute une révolution contre le pouvoir qui a conduit à cette crise. Que se passerait-il si les citoyens européens en prenaient exemple ? La situation économique désastreuse du pays persiste. . - 2010 : le peuple descend à nouveau dans la rue et demande que la loi soit soumise à référendum. Spéculation sur la dette française : la bombe à retardement du binôme Sarkozy/AMF. Alors que la France est dans l’obligation de financer des déficits importants sur le marché dans un contexte difficile puisque la BCE ne peut prêter qu’aux banques privées, l’AMF – Autorité des Marchés Financiers – garant du contrôle des marchés spéculatifs, autorise à partir du 16 avril 2012, un nouvel outil spéculatif: les contrats a terme sur la dette française.

Spéculation sur la dette française : la bombe à retardement du binôme Sarkozy/AMF

Ces « futures » cotés sur l’Eurex, un marché des produits dérivés, permettront de spéculer sur la dette française avec une plus grande flexibilité. Tout « investisseur » pourra désormais acheter ou vendre des Obligations Assimilables du Trésor (OAT) pour des montants colossaux sans nécessairement détenir l’argent réellement. Pour Europe Écologie Les Verts cette libéralisation est totalement inacceptable. A l’évidence, Il s’agit d’une attitude irresponsable, et d’un manquement à la « moralisation » des marchés financiers prônée par le président-candidat Sarkozy.

Pascal DURAND,Porte-parole. Bayrou surtaxe la France. François Bayrou dresse un constat sévère de la situation fiscale de la France.

Bayrou surtaxe la France

Pourtant, d'autres pays de l'Union Européenne possèdent une fiscalité bien plus lourde que l'hexagone, comme le montrent les journalistes de données d'OWNI. Deux jours avant le premier tour, le candidat du Modem est avant-dernier au classement OWNI-i>Télé de crédibilité des six principaux candidats à la présidentielle. Référendum en Islande : seconde torgnole à la finance mondiale. Olafur Ragnar Grimsson, président d’Islande, dans un bureau de vote de Reykjavik, le 9 avril 2011 (Ingolfur Juliusson/Reuters).

Référendum en Islande : seconde torgnole à la finance mondiale

Et paf, seconde torgnole ! Près de 60% de « non » sans condition ! Après une première claque retentissante en mars 2010, nos volcaniques amis islandais ont réitéré par référendum, le samedi 9 avril, à la finance internationale et à leur gouvernement, leur refus de payer les pots cassés de la Grande Crise. Ou plus précisément ceux de la brochette d’imprudents clients anglais et néerlandais lors de la faillite de la banque Icesave en 2008. La population islandaise persiste et signe : pas question d’éponger les pertes d’une banque privée avec des fonds publics. Les cris d’orfraies des (mauvais) perdants Après cette nouvelle dérouillée, plaintes vénéneuses et menaces à peine voilées des perdants : « La pire option a été choisie.

. « Le temps des négociations est passé. . « Vos créances pourries, vous vous les gardez ! Mais repaf ! « On s’en fout de votre aide ! Comprenons-le, diffusons-le, reprenons le pouvoir. Dette française - Vers une explosion de la spéculation ? Les marchés financiers s'organisent-ils pour favoriser la spéculation sur la dette française, à moins d'une semaine de l'élection présidentielle ?

Dette française - Vers une explosion de la spéculation ?

C'est ce que craignent certains candidats alors qu'un opérateur privé allemand, Eurex, a lancé lundi un nouveau produit financier à la Bourse de Francfort : un contrat à terme sur les obligations assimilables du Trésor (OAT) à 10 ans. Après Jean-Luc Mélenchon et Europe Écologie-Les Verts, François Hollande s'en est publiquement ému.