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Philosiphie

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Raymond Boudon. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Boudon. Raymond Boudon Principaux travaux Thèse de doctorat, L'analyse mathématique des faits sociaux (1967)À quoi sert la notion de structure ? (1968)L'inégalité des chances (1973) Raymond Boudon est un sociologue français né le à Paris et mort le à Paris. Il est connu pour ses recherches sur la mobilité sociale et l'inégalité des chances ainsi que pour sa défense de l'individualisme méthodologique.

Biographie[modifier | modifier le code] Ancien élève de l’École normale supérieure de la rue d'Ulm, agrégé de philosophie, il enseigne la sociologie à l'université de Bordeaux puis est nommé professeur à l’université Paris IV-Sorbonne. Durant les années 1960, Raymond Boudon part aux États-Unis et collabore avec le sociologue américain Paul Lazarsfeld. Il meurt le 10 avril 2013 à Paris[1]. Œuvre[modifier | modifier le code] Inégalité des chances[modifier | modifier le code] Dans Déclin des valeurs ? Michel Onfray - Découvrez les inédits, les vidéos et les audios du philosophe hédoniste Michel Onfray en un seul blog.

André Comte-Sponville. André Comte-Sponville. Michel Onfray - Découvrez les inédits, les vidéos et les audios du philosophe hédoniste Michel Onfray en un seul blog. L'avenir de l'humanité. Préface 1 Le but de ce texte est de vous proposer une réflexion sur l’évolution de notre société. La seule chose dont on soit certain, est que l’être humain ignore vers quoi il se dirige, quelle forme prendra la société , et quel prix devrons-nous payer pour nos erreurs avant d’y parvenir. Il semble que nous voguions au gré des circonstances, en espérant tous que notre modèle de civilisation s’améliore ; mais à l’évidence personne ne sait exactement quel chemin suivre pour y arriver. notre démarche se rapproche plus d’un tâtonnement à l’aveugle, que du résultat d’un développement rationnel.

Pourquoi un tel manque de clairvoyance ? Au cours des siècles qui ont précédés, nous avons connu le pire au travers de l’esclavage, des génocides, et des guerres incessantes. il ne nous reste plus qu'à découvrir le moyen d'y parvenir, ce qui à priori devrait être aisé puisque aujourd’hui nous savons ce que nous ne voulons plus. Ce progrès apporte un point essentiel. Chapitre 1 Genèse 1.1 Genese 1.03 a 1.28. Michel Onfray ou la détestation du christianisme ? - Chrétiens en débats. Il y a quelques semaines, Michel Onfray présentait sur une station de radio (le 21 octobre dans Un monde d’idées sur France Info, ndlr) sa dernière publication, le Magnétisme des solstices, cinquième volume de son Journal hédoniste (Flammarion).

Le journaliste qui l’interrogeait lui faisait remarquer que ce livre manifestait une véritable détestation du christianisme et transpirait de hargne envers l’Église, alors même que l’influence de celle-ci avait considérablement diminué dans notre pays. Notre philosophe a répondu ceci : « Ce n’est pas parce que les églises sont vides que les têtes sont vidées du christianisme. (…) Dans les tribunaux, dans les hôpitaux, dans les écoles, le schéma chrétien fonctionne encore. Vous n’avez pas de crucifix dans les tribunaux. (…) Sauf qu’on y part du principe que nous sommes libres, que nous avons le choix. Si nous avons un jour violé une petite fille, c’est que nous avions le choix. Nous avons choisi le mal. Une conception chrétienne de la personne. Onfray interviews. Interview comte sponville. André Comte-Sponville : Rien n’est jamais passé ni futur, tout est présent. André Comte-Sponville Ecrivain philosophe, chroniqueur à Psychologies, André Comte-Sponville vient de publier L’Etre-temps (PUF) après La Sagesse des modernes, écrit en collaboration avec Luc Ferry (Robert Laffont).

Le temps Pour une fois, il ne s’agit pas de ce qu’il faut « faire » du temps (l’économiser, en trouver davantage, savoir en perdre…) mais de ce qu’il convient d’en « penser » (le passé, le futur, la nature du présent, la réalité du temps, dont quelques-uns doutent). Attention, cela relève de la métaphysique.

Psychologies : On répète volontiers que le paradoxe du temps perçu est que le passé n’est plus, que le futur n’est pas encore, et que le présent est insaisissable. André Comte-Sponville : Que le passé ne soit plus, que l’avenir ne soit pas encore, ce n’est pas faux : c’est au contraire la stricte vérité, et même leur définition. Accueil - André Comte-Sponville.