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MONDE : Les manifestantes chiliennes dans la ligne de mire de la police. « Rentre à la maison t’occuper des enfants » Lidice Cruz, membre d’un Observatoire des droits humains, s’improvise la porte-parole des victimes : « Les filles se font toucher l’entre-jambe, peloter les seins, on les force à enlever leurs habits, elles se font insulter.

MONDE : Les manifestantes chiliennes dans la ligne de mire de la police

‘Rentre à la maison t’occuper des enfants’, lancent certains policiers. Les femmes qui subissent ces violences sont toutes jeunes, elles ont peur d’être persécutées par les carabineros si jamais elles les dénoncent. Alors que la répression violente des manifestations est du domaine public, ce phénomène est à peine en train d’être connu ». L’observatoire auquel Lidice appartient est tout récent. Les parents se mobilisent Aux plaintes des étudiants, des associations féministes et des associations de défense des droits de l’homme se sont ajoutées celles des parents et des familles. . « Depuis que certains médias ont commencé à parler de cette situation, les parents ont commencé à manifester. Compétitivité à prix d’or. Affiches. Jump to navigation Affiches Format source: Format PDF: campdeformation_1.pdf Fichiers source: campdeformation_1.xcf_.7z Format Internet: Lire la suite de Camp de formation sogéécom Affiche_AG_30janvier_B_S.pdf Affiche_AG_30janvier_B_S.xcf_.7z Lire la suite de Affiche Baine grèvecarré.pdf affiche grève générale.7z Lire la suite de grève rouge comme un carré Conférence.pdf Tract conférence.zip Lire la suite de Affiche conférence austérité Bière et discussion.pdf Tract austérité.zip Lire la suite de Affiche bière et débat austérité Luttes-autochtones.pdf BetDautochtones.7z Lire la suite de Bière et débats - Luttes autochtones Inkscape Affiche formation.pdf Affiche formation.zip Lire la suite de Journée d'information Photoshop Manif Terminus Longueuil.7z Lire la suite de Affiche manif austérité Longueuil cafeetudiant.pdf.

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Des raisons de s'indigner. Peu importe le ton sur lequel le message est scandé, les étudiants, qui ont promis de camper devant les bureaux de la ministre de l'Éducation, n'entendent pas ranger leurs pancartes et leurs porte-voix.

Des raisons de s'indigner

Ils ont bien des raisons de s'indigner. «L'éducation est un droit». Voilà qui sonne comme un principe de la Révolution tranquille délavé par le temps - certains diront «dépassé». Car il y a à peine 50 ans, l'éducation était perçue comme un luxe au Québec. Seule une toute petite élite y avait accès. On peut débattre longtemps de comptabilité et du «qui devrait financer quoi et comment».

En 1959, moins de 4% de la population québécoise avait la chance de fréquenter une école professionnelle ou l'université. Si on considère vraiment que l'éducation est un droit, il faut s'assurer que ce droit soit accessible, sinon cela demeure un privilège. On sait que la grande majorité des étudiants doivent déjà travailler en plus d'étudier à plein temps. Les frais de scolarité: une ignominie ! Les étudiants ont raison de se plaindre de l'augmentation de leurs frais de scolarité : 500$ par année pour les prochains cinq ans, c'est rien de moins qu'une aberration.

Les frais de scolarité: une ignominie !

Quelles familles de la classe moyenne et quelles familles vivant sous le seuil de la pauvreté seront désormais en mesure de permettre à leurs enfants de terminer des études de plus en plus spécialisées, donc de plus en plus longues ? La ministre de l'Éducation a beau nous dire que les prêts et bourses seront augmentés en proportion de ces nouveaux frais scolaires, il ne s'agit là que de la poudre aux yeux: une majorité d'étudiants sortiront de l'université si endettés, qu'il leur faudra mettre des années à rembourser le gouvernement, avec les conséquences qu'on devine déjà: des difficultés financières qui risquent de mettre en péril l'établissement de notre jeunesse, l'envie de fonder foyer et famille, au détriment de la solidarité sociale.

Il me semble qu'on en est toujours là aujourd'hui.