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Textes philosophiques et vidéos sur la question de l 'identité

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PhiPhilo: DESCARTES : IDENTITE FORMELLE, IDENTITE OBJECTIVE, IDENTITE PERSONNELLE. Il y a sans doute de commun entre le cartésianisme et le jansénisme une même aspiration au rejet de l'autorité et à l'aspiration au droit de la consience individuelle à fonder à nouveaux frais la légitimité des opérations intellectuelles.

PhiPhilo: DESCARTES : IDENTITE FORMELLE, IDENTITE OBJECTIVE, IDENTITE PERSONNELLE.

A cet égard, la réflexion métaphysique n'échappe évidemment pas à la critique refondatrice. Ce que montre la conception nouvelle de l'attribution prédicative : On appelle concevoir, la simple vue que nous avons des choses qui se présentent à notre esprit [...] sans en former aucun jugement exprès ; et la forme par laquelle nous nous représentons ces choses s'appelle idée. Rue Descartes » Identité, identités. On connaît la critique acide d’Alain Badiou à l’encontre de l’actuelle « idéologie culturaliste et relativiste » supposée selon lui accompagner un processus contemporain partout repérable de « fragmentation en identités fermées ».

Rue Descartes » Identité, identités

De même ironise-t-il sur ces « fausses naïvetés » du cosmopolitisme moderne s’émerveillant de cette « découverte » qu’il y a des histoires enchevêtrées et des cultures différentes en un seul et même individu. Ingénuité ou pas, cette fragmentation s’inscrirait dans la logique d’un marché qui justement s’en nourrit, voire qui réclame cette constante « surrection » d’identités subjectives et territoriales : « Quel devenir inépuisable pour les investissements mercantiles que le surgissement, en forme de communauté revendicative et de prétendue singularité culturelle, des femmes, des homosexuels, des handicapés, des Arabes ! Corps et esprit : l’identité humaine selon Spinoza. 1.1 Coup d’œil sur la substance 1Les difficultés de la théorie cartésienne de la substance tiennent à ce qu’il existe non pas un, mais plusieurs concepts cartésiens de la substance.

Corps et esprit : l’identité humaine selon Spinoza

Ce concept varie selon le genre d’être auquel il s’applique, être infini ou fini, être fini étendu (corps) ou être fini pensant (âme). Même si l’on conteste que les corps singuliers soient de véritables substances, reste que l’étendue en général est une substance, aussi bien que Dieu et les esprits, qu’il faut donc affronter la question de l’unité de la notion de substance, aussi bien entre l’étendue et la pensée qu’entre le fini et l’infini : analogie ou équivocité1, on ne peut échapper à cette alternative. 2Chez Spinoza, il semble qu’au moins une partie de ces difficultés doit disparaître. Texte de Locke. Rester soimeme. Principe d'identité des indiscernables. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Principe d'identité des indiscernables

Aussi nommé principe des indiscernables[1], le principe de l'identité des indiscernables s'exprime symboliquement : (x)(y) [(P)(Px ↔ Py) → (x = y)][3]. Ce qu'on peut lire : pour tout x, pour tout y, si pour tout P, Px est équivalent à Py, alors x est identique à y. Individuation et différence numérique : pourquoi y a -il plusieurs choses? [modifier | modifier le code] Si l’on défend la thèse qu’il existe, dans le monde, des choses particulières, on a besoin d’un principe d’individuation, principe qui devra justifier pourquoi les choses sont plusieurs.

Principe d'identité. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Principe d'identité

Le site philosophique de l'académie de Reims - L'identité personnelle. "Cela posé, pour trouver en quoi consiste l'identité personnelle, il faut voir ce qu'emporte le mot de personne.

Le site philosophique de l'académie de Reims - L'identité personnelle

Identité (philosophie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Identité (philosophie)

ARTE - Philosophie - Identité. Rester soimeme. Identité : Définition philosophique. Un terme souvent mal abordé Presque tout le monde s’interroge un jour sur l’identité.

Identité : Définition philosophique

Sartre et le regard d'autrui - Chemins de Sagesse et de spiritualité. L'identité personnelle. Quelques interrogations. Synthèse. Introduction to Philosophy - Download Free Content from University of New Orleans. Blaise Pascal : Le "moi" Introduction à la Métaphysique. Qu'est-ce qui fait qu'un objet existant à un certain moment est le même qu'un objet existant à un autre moment ?

Introduction à la Métaphysique

Les critères sont-ils les mêmes pour des objets aussi distincts que des amas de matière, des vivants et des personnes ? Ces questions concernant l'identité et l'identité personnelle vont nous occuper au cours de cette dernière leçon. Cette partie de la théorie lockéenne a eu, et continue à avoir, une influence philosophique considérable. Cette influence se mesure au fait qu'en philosophie contemporaine il est usuel de distinguer des positions néo-lockéennes et anti-lockéennes concernant l'identité personnelle.

La discussion par Locke de ces problèmes se trouve en II, xxvii, un long chapitre qui ne figurait pas dans la première édition de l'Essai, mais que Locke a ajouté de manière à répondre à une série de questions de William Molyneux. Dans cette discussion, Locke a la volonté de résoudre un problème théologique. Qui est le « je » qui pense ? Une désillusion narrative ? De Bourdieu à Ricœur en sociologie. Bibliographie ARENDT H., Condition de l’homme moderne, Paris, Calmann-Lévy, 1994 (1961).

Une désillusion narrative ? De Bourdieu à Ricœur en sociologie

BAYART J. -F., L’illusion identitaire, Paris, Fayard, 1996. BOURDIEU P., Esquisse d’une théorie de la pratique. Afficher le sujet - Béatitude et détachement de soi. Nous pouvons maintenant tenter d’éclairer la vie dans l’acquiescentia (ou béatitude) par le « détachement » eckhartien. L’extrait, cité dans le premier post, de l’ouvrage sur Maître Eckhart se terminait en disant que le détachement, selon Eckhart, était posé « comme la condition d’un accomplissement intérieur/extérieur pensé tout entier sous la figure positive de « présence à soi-même/être soi-même ». » On ne voit pas de différence entre un tel « détachement » et l’acquiescentia au sens de Spinoza mais poursuivons la lecture : « Il serait donc erroné de mettre l’accent sur une attitude ascétique ou volontariste qui impliquerait une séparation plus ou moins violente à l’égard du monde naturel et humain ; c’est pourquoi le terme de « détachement » doit être lavé, en l’occurrence, de certaine tendance doloriste dont il s’est chargé principalement au siècle dernier, et ne peut convenir que si on le tient libre de cette tradition.