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Futurs : des grandes visions à la banalité de nos quotidiens. Voilà plusieurs années que le chercheur en ethnographie et design d'interaction, Nicolas Nova (@nicolasnova) se demande où est passé le futur...

Futurs : des grandes visions à la banalité de nos quotidiens

De son travail de programmation des conférences Lift, à son livre sur les Flops technologiques (voir la rencontre avec lui que nous avions organisée à la BPI sur ce sujet)... Il ne cesse de revenir sur cette obsédante question. Et c'est la force de son dernier livre, Futurs ? La panne des imaginaires technologiques, de nous montrer comment les imaginaires technologiques ont glissé des grandes visions d'avenir à la banalité de nos quotidiens. La science-fiction est déjà là Son constat de départ est assez simple. La science-fiction elle-même, nous montre au mieux "une perpétuation des mythes, au pire, une panne des imaginaires", tournant en rond sur ses thèmes : conquête spatiale, intelligence artificielle, augmentation de l'homme...

Nous n'avons plus de futur... seulement sa nostalgie Comme le dit Nicolas Nova : "Le futur est déjà là. Nous sommes au bout du modèle fordiste, il faut passer à un modèle contributif. Bernard Stiegler est philosophe, théoricien de l’évolution des systèmes techniques.

Nous sommes au bout du modèle fordiste, il faut passer à un modèle contributif

Il a découvert les modèles du libre de façon presque accidentelle, en tant que Directeur de l’INA. Initiateur et président du groupe de réflexion philosophique Ars industrialis créé en 2005, il dirige également depuis avril 2006 l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) qu’il a créé au sein du centre Georges-Pompidou. Les modèles ouverts, contributifs et collaboratifs sont de plus en plus nombreux, la contribution s’étend à de nouveaux territoires, comment interprétez-vous cette évolution ? Avant de répondre, il y a un préalable, reconnaître que tous les modèles ne sont pas équivalents. Facebook, c’est contributif, mais par certains aspects, c’est un modèle pire que son équivalent non contributif, je préfère presque TF1. Entretien avec Bernard Friot : La révolution du salaire à vie.

La « société civile organisée » veut changer l’Europe, pas la quitter. Je ne suis pas légitime pour parler au nom de la société civile organisée (associations, ONG, syndicats, réseaux citoyens), mais je le suis un peu plus pour dresser un constat après avoir fait un tour aussi complet que possible des prises de positions de ces organisations en France et en Europe.

La « société civile organisée » veut changer l’Europe, pas la quitter

Le résultat est sans appel et ne va pas faire plaisir à ceux de mes amis, au demeurant peu nombreux, qui défendent la voie de sortie. J’ai accordé une importance particulière à celles de ces organisations qui sont les plus actives, les plus militantes, sur les fronts de la lutte contre la pauvreté et les inégalités, du combat écologique, et de la reprise en main citoyenne de la finance. Je n’en ai pas trouvé UNE SEULE à préférer la voie de sortie à celle de l’intervention transformatrice au sein de l’Union européenne, pour la changer très profondément. J’en ai peut-être loupé certaines. Merci de me le signaler si c’est le cas. Je n’en crois rien. Telle est également ma position actuelle. L’imposture économique, ça continue !/ Steve Keen et Gaël Giraud : « L’économie est semblable à l’astronomie d’avant Copernic »

Le premier récit de Laurent C., un entrepreneur qui « quitte la sécu » : « Si vous avez déjà 32 000 assurés français dans une assurance privée anglaise, cela montre bien l’importance du phénomène. » Le livre numérique de Laurent C. « Je quitte la sécu » est un succès puisqu’il figure en tête des ventes chez son éditeur, Atlantico.

Le premier récit de Laurent C., un entrepreneur qui « quitte la sécu » : « Si vous avez déjà 32 000 assurés français dans une assurance privée anglaise, cela montre bien l’importance du phénomène. »

L’auteur a également trouvé un éditeur « papier » qui publiera cet ouvrage le 25 janvier prochain. Agé de 46 ans, marié et père de 5 enfants, Laurent C. est entrepreneur dans le secteur des technologies de l’information. Il a cofondé successivement une société de services informatiques d’une centaine de collaborateurs, puis un cabinet de conseil comprenant actuellement une vingtaine de consultants. Il tente de sortir du monopole de la sécurité sociale depuis plusieurs mois.

Il raconte son aventure dans son blog et dans ce livre « Je quitte la sécu ». Audio Player Extraits de l’entretien Kernews : Quand on découvre votre histoire, jour après jour, on s’aperçoit qu’il est loin d’être facile de quitter la sécurité sociale. Laurent C. : Exactement. Mais aucune assurance sociale ne fait signer un contrat en France…

Comprendre l’économie contributive en 9 minutes. Simon Lincelles est un membre actif de Ars Industrialis, association « pour une politique industrielle des technologies de l’esprit ».

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Très « nouvelle consommation », cette approche stipule que la performance d’un produit est la seule chose qui m’importe, mais que le posséder ne m’intéresse pas. Entretien avec Etienne Chouard : le pouvoir antisocial de l'argent. Positionnement projet.