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28 Septembre

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Christine Boutin en a «ras-le-bol» d'être taxée d'homophobe. Et si l'on élisait le prochain Premier ministre sur le net? - Insolite. Le parc pour hommes est né. [youtube] Mesdames et Messieurs, Ikea prend en compte vos considérations. Nous ne parlons aucunement de vis, meubles, service après-vente ou pièces de rechange.

Non, la firme suédoise a compris que les hommes n’aiment pas le shopping. Même si le résultat est cliché au possible, il faut reconnaître que certains d’entre vous messieurs, seraient plus que ravis de tester le concept de l’Aire de jeux pour hommes. Les femmes profitaient de 30 minutes pour vagabonder sans leur moitié. De deux choses l’une, Ikea n’est pas le magasin idéal pour ce genre de parc. Donc, au-delà des idées reçues, l’initiative est originale et inédite. [Gizmodo] Les Français en ont marre de la pub. Il est bien loin le temps où l'affiche de campagne de François Mitterrand, en 1981, - La Force tranquille-, focalisait les attentions et suscitait les commentaires. 30 ans plus tard et au fil des élections qui ont suivi, la communication politique désespère et rebute les Français. Publiée, comme chaque année, par l'agence Australie et l'institut TNS-Sofres, une vaste étude intitulée Publicité et société donne la mesure de la méfiance de l'opinion manifestée - non seulement à l'égard de la publicité en politique, mais de la publicité en général.

En un an, la proportion de Français jugeant le discours publicitaire efficace et convaincant a chuté de 54% à 44%. Pire, pour la première fois, les publiphobes sont nettement plus nombreux, (37%), que les publiphiles, (12%). "Banale", "agressive", "dangereuse", la publicité est ainsi passée au laminoir. Mondialisation, effets pervers des marchés, agressivité des annonceurs, scandales alimentaires... Une étude allemande définit les critères de l'addiction au Web. 01net le 28/09/11 à 10h59 Surfer sur Internet est devenu une drogue. Tout au moins pour 560 000 Allemands. Une étude menée par deux universités pour le compte du ministère de la Santé a établi que, outre-Rhin, 2,5 millions de personnes avaient un usage « problématique » du réseau, et qu'un demi-million utilisaient la Toile d'une manière excessive, proche de l’addiction. Pour Mechthild Dyckmans, chargée de la mission sur les drogues auprès du ministère et citée par le Berliner Morgenpost, la dépendance à Internet est une maladie.

L’étude a démontré qu’elle provoquait une «diminution du temps de sommeil », une «désocialisation » ou l’apparition de symptômes de sevrage en cas d'arrêt, comme l'« anxiété » ou l'« irritabilité ». Des phénomènes habituellement associés à la toxicomanie ou à l’alcoolisme. Réseaux sociaux et jeux vidéo Les chercheurs ont interrogé 15 023 personnes par téléphone.