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Austérité : le grand mensonge. Christine Lagarde, directrice du FMI en conférence à Washington - FLIGG ALYSON/SIPAUSA/SIPA Au bout de combien d’erreurs d’analyses, les experts – économiques en l’occurrence – sont-ils discrédités, délégitimés, rayés de la carte ? En d’autres termes, combien de fois faut-il démontrer qu’ils se fourvoient pour que leurs études ne fassent plus autorité, pour que leurs travaux ne servent plus de dogme infaillible à telle ou telle chapelle politique ? Bref, pour qu’ils ne puissent plus se prévaloir du titre d’expert ?

C’est bien ainsi qu’il convient désormais de poser la question. Voici quelques mois, les plus grands experts du Fonds Monétaire International (FMI) avaient admis s’être trompés : leurs travaux avaient sous-estimé l’impact récessionniste des politiques d’austérité, surtout quand celles-ci sont menées à forte intensité au même moment dans plusieurs pays d’une même zone géographique. Le campus d'Harvard - FLIGG ALYSON/SIPAUSA/SIPA. Une erreur dans une étude sur l’austérité dégomme les idées reçues. L’erreur à 1500 milliards:la lutte contre l'inflation est-elle allée trop loin. Atlantico : Un article paru dans The Economist, "The death of inflation" (voir ici) explique que "dans une étude menée depuis les années 1960 sur 21 pays riches, le FMI démontre que l'évolution du chômage (et ses conséquences en termes de salaires, de demande..., ndlr) influence désormais moins fortement l'inflation que par le passé".

Le lien entre l'inflation, l'emploi et plus généralement l'économie réelle serait plus faible qu'auparavant. La lutte contre l'inflation est-elle devenue obsolète ? Simone Wapler : L’inflation est la hausse de la quantité de monnaie, sous toutes ses formes, qui vient chasser les biens et services fournis par une économie. Il est admis dans les manuels d’économie que l’inflation provoque une hausse généralisée des prix des biens et services. L’inflation monétaire a été exportée dans les pays dits émergents dans lesquels des biens et services étaient produits à moindre coût, puis importés dans les pays émetteurs de monnaie. Paul De Grauwe: "La théorie derrière l'austérité n'a plus de sens"

Quelles suite dans la politique ? Les trois économistes américains insistent sur le fait que " les erreurs des recherches de Reinhart et Rogoff devraient nous pousser à réévaluer la pertinence des politiques d’austérité et leur application en Europe et aux Etats-Unis ". Paul De Grauwe, poursuit en disant qu'en récession, "pour un euro économisé, on perd un euro et demi de croissance, augmentant ainsi sans cesse la proportion de la dette. L'austérité va elle-même dans le mur". Dans la même lignée, il "espère qu’on se rendra enfin compte que l’austérité est une mesure contre-productive dans une économie en récession". Etienne de Callataÿ, chef économiste à la banque Degroof est moins catégorique "l’austérité ne devrait pas consister à supprimer massivement et aveuglément des dépenses mais être pratiquée de manière plus réfléchie : en faisant payer les gros capitaux par exemple, ou en diminuant les dépenses inutiles en cas de crise".

FMI - austérité : erreurs en chaîne. Une erreur dans l’étude phare américaine sur l’austérité dégomme les idées reçues. La nouvelle a de quoi redonner le sourire aux Indignés. Après l’erreur de calcul du Fonds monétaire international (FMI) sur les multiplicateurs budgétaires révélée en janvier, une nouvelle polémique de nature économétrique ébranle à nouveau la crédibilité d’une institution prestigieuse.

L’article incriminé s’intitule « Croissance en période de dette » (« Growth in a Time of Debt » .pdf), il a été publié en 2010 par deux économistes réputés de Harvard et ancien cadres du FMI, Carmen Reinhart et Kenneth Rogoff, et, s’appuyant sur des données collectées entre 1946 et 2009, il démontre que la croissance s’est révélée sensiblement inférieure dans les pays dont la dette publique dépassait 90 % du PIB. Or une équipe d’économistes est récemment parvenue à répliquer cette étude, et il s’avère que leurs conclusions diffèrent largement de celles de Reinhart et Rogoff.

Des résultats fortement divergents 90 %, un seuil quasi psychologique dans. La grosse boulette du FMI: L’austérité m’a tueR… | | Extimité | Ce que Je pense |.. Oh la boulette! Énorme! Vont-ils rembourser? C’est suffisamment grave pour que les pays concernés demandent réparation. Le Fonds Monétaire international (FMI) s’est royalement planté dans ses prévisions et dans l’application des programmes d’austérité dans les pays touchés par la crise.

La Grèce, l’Espagne, la France etc… ont été contraints d’appliquer des recommandations économiques basées sur des études économétriques erronées. L’information ne fait pas encore l’effet d’une bombe, c’est curieux. Rue89 en parle, la source (en anglais) est sans équivoque. Oui, la Grèce, l’Espagne et les autres victimes peuvent en témoigner. Au delà de l’erreur économétrique (Forestcast Error), c’est toute une vision (droitière) de l’économie qui aujourd’hui est remise en cause. Mon ami Krugman disait: les coupes budgétaires retardent la reprise.Les pays qui ont le plus réduit leurs dépenses publiques sont ceux qui ont connu des baisses de la production les plus aiguës. Partage sans modération via > Les ravages de l’austérité ? Une « simple » erreur de modèle du FMI.

MAIS POURQUOI DONC les coupes dans les dépenses publiques recommandées par les institutions financières ne semblent rien régler à la crise ? Pourquoi les prévisions de croissance restent-elles en berne ? Parce que le FMI s’est trompé. C’est la conclusion de deux économistes du... FMI, Olivier Blanchard et Daniel Leigh, dans un document d’une quarantaine de pages publié en ce début d’année. Ils le reconnaissent sans fard : la modélisation mathématique utilisée par le FMI pour établir ses prévisions de croissance en fonction des coupes budgétaires est erronée ! Le mécanisme est celui-ci : quand le FMI préconise une baisse de 100 dans les dépenses publiques (ou une hausse de 100 dans l’imposition), il est censé en découler une baisse de 50 en matière de croissance du PIB.

Bien sûr, les deux économistes précisent en préambule qu’ils ne s’expriment pas au nom de leur institution et que leur étude n’engageait qu’eux. Le FMI n’a pas à proprement parlé commis d’erreur de calcul. Arnaud Devillard. Lien dette publique-récession : une étude influente truffée de "graves erreurs" Une étude influente signé en 2010 par deux économistes de renom et qui concluait qu'une dette élevée dans les pays riches s'accompagnait nécessairement d'une récession était truffée de "graves erreurs", selon les travaux récents de trois universitaires américains. "Cette étude a été abondamment citée pour appuyer l'idée que la dette publique était la question du jour.

Mais leurs auteurs ont commis de graves erreurs", a affirmé mercredi l'un de ces universitaires, Michael Ash, professeur d'économie à l'université Amherst du Massachusetts. L'étude controversée est l'oeuvre de deux économistes de Harvard, Carmen Reinhart et Kenneth Rogoff, ancien chef économiste du Fonds monétaire international entre 2001 et 2003. Dans leurs travaux publiés en 2010, ils avaient conclu que les périodes où la dette publique des pays riches avait dépassé 90 % de leur produit intérieur brut correspondaient, en moyenne, à des récessions de l'ordre de - 0,1 %. Erreur dans une étude sur l'austérité : "ça fait désordre" Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Anna Villechenon L'affaire prend des airs de scandale. Les conclusions d'un article, "Croissance en période de dette" ("Growth in a Time of Debt"), publié en 2010 par deux économistes réputés de Harvard et ancien cadres du FMI, Carmen Reinhart et Kenneth Rogoff ("R & R"), ont été remises en question par un trio de l'Université du Massachusetts (UMass) Amherst – ce qui est loin d'être rare, comme le rappelle le New York Times.

L'article original démontrait que le taux de croissance d'un pays est corrélé négativement à son endettement public, dès lors que celui-ci dépasse la barre des 90 % du PIB. Or, leurs confrères de l'UMass Amherst, Thomas Herndon, Michael Ash et Robert Pollin parviennent, avec les mêmes données, à un résultat différent : le seuil des 90 % n'a dans leurs conclusions aucune signification particulière, et ils ne trouvent qu'une très faible corrélation entre croissance du PIB et endettement. Les «erreurs de calcul» du FMI – Prise de tête – La chronique de Normand Baillargeon. Une petite énigme pour commencer. Linda a 31 ans. Elle est célibataire, s’exprime avec facilité, est très brillante. Elle a étudié la philosophie à l’université. Durant ses études, elle a milité contre diverses formes de discrimination et pour la justice sociale.

Elle a également pris part à plusieurs manifestations contre le nucléaire. Laquelle des deux propositions suivantes est la plus probable? A) Linda est caissière dans une banque. b) Linda est caissière dans une banque et milite activement dans le mouvement féministe. La théorie économique classique pose comme acteurs des Homo œconomicus rationnels et calculateurs cherchant à maximiser leurs préférences: nous. Ce dernier mot lâché, on sait avec certitude que cette idée est peu plausible, sinon comme simplification et idéalisation théorique! La petite énigme au début de ce texte en fournit un exemple – j’y reviens plus loin.

Un certain optimisme est sain, certes; mais poussé trop loin, il est irrationnel et peut devenir dangereux. Le Fmi le confirme : l'austérité était une erreur de calcul. Source : L'Humanité C'est un rapport étonnant, un mea culpa chiffré et analysé, que deux éminents économistes du FMI ont publié. Il dit clairement que l'austérité est une erreur. La faute à la mauvaise conception d'un modèle informatique de prédiction économique. Ils justifient globalement d'avoir plongé 26 pays dans une mortelle crise austéritaire par une erreur de modèle mathématique. Ces économistes sont restés persuadés que leur domaine est une science dure, donc qu'on peut prédire et démontrer avec des équations. Et ils se sont éminemment trompés. Ils reconnaissent ainsi dès l'introduction que leur modèle n'a pas pu prévoir ni le niveau des taux d'intérêts ni l'effet de l'austérité sur la consommation intérieure.

Pardon pour les morts, c'était une erreur de calcul "Forecast Error of ? Une erreur qui ne sert pas de leçon Si reconnaître l'erreur, ou plutôt ouvrir les yeux et se confronter à la réalité, reste une avancée pour le FMI, l'institution ne tire pas les leçons de son erreur. Anticapitalisme - Les erreurs de calcul du FMI. Une petite énigme pour commencerLinda a trente et un ans. Elle est célibataire, s’exprime avec facilité, est très brillante. Elle a étudié la philosophie à l’université. Durant ses études, elle a milité contre diverses formes de discrimination et pour la justice sociale.

Elle a également pris part à plusieurs manifestations contre le nucléaire.Laquelle des deux propositions suivantes est la plus probable ? A) Linda est caissière dans une banque.b) Linda est caissière dans une banque et milite activement dans le mouvement féministe.La théorie économique classique pose comme acteurs des Homo œconomicus rationnels et calculateurs cherchant à maximiser leurs préférences : nous.Ce dernier mot lâché, on sait avec certitude que cette idée est peu plausible, sinon comme simplification et idéalisation théorique ! Qu’en déduire ? Une erreur dans une étude sur l'austérité dégomme les idées reçues -- Enfant de la Société. La nouvelle a de quoi redonner le sourire aux Indignés.

Après l'erreur de calcul du Fonds monétaire international (FMI) sur les multiplicateurs budgétaires révélée en janvier, une nouvelle polémique de nature économétrique ébranle à nouveau la crédibilité d'une institution prestigieuse. L'article incriminé s'intitule "Croissance en période de dette" ("Growth in a Time of Debt" .pdf), il a été publié en 2010 par deux économistes réputés de Harvard et ancien cadres du FMI, Carmen Reinhart et Kenneth Rogoff, et, s'appuyant sur des données collectées entre 1946 et 2009, il démontre que la croissance s'est révélée sensiblement inférieure dans les pays dont la dette publique dépassait 90 % du PIB. Or une équipe d'économistes est récemment parvenue à répliquer cette étude, et il s'avère que leurs conclusions diffèrent largement de celles de Reinhart et Rogoff.

Des résultats fortement divergents 90 %, un seuil quasi psychologique. Les politiques d'austérité tiennent-elles à une erreur sur Excel? L’un des articles économiques les plus cités ces dernières années par les partisans de l’austérité est-il fondé sur une erreur de calcul sur Excel? La polémique fait rage sur dans les médias économiques américains depuis vingt-quatre heures et cible les travaux de Carmen Reinhart et Kenneth Rogoff, deux économistes d'Harvard auteurs ces dernières années d'un essai remarqué sur la crise financière (Cette fois, c'est différent. Huit siècles de folie financière) et qui ont occupé de hautes responsabilités au sein du FMI.

En cause, un article qu'ils ont publié en 2010, «Growth in a Time of Debt», qui, à partir de statistiques de la période 1946-2009, faisait état d’une croissance bien plus basse dans les pays dont la dette publique dépasse 90% du PIB —pour situer, c'est le niveau qu'a dépassé la France fin 2012. 2 points de croissance en moins Conclusion de Herndon, Ash et Pollin: «Les résultats de Reinhart et Rogoff ont servi de rempart soutenant les politiques d’austérité. Publicité. Le FMI se trompe (encore) sur l'austérité. Deux économistes du FMI affirment que l’institution s’est trompé dans sa méthodologie pour calculer l’impact de l’austérité.

L’occasion pour eux d’appliquer la même méthodologie erronée pour à nouveau de mauvais conseils ! Par Baptiste Créteur. Deux économistes du FMI, Olivier Blanchard et Daniel Leigh, l’affirment : le FMI s’est trompé sur l’austérité, qui serait encore plus destructrice de croissance et d’emploi que prévu.

Que les politiques d’austérité soient mauvaises pour la croissance et l’emploi, c’est désormais admis par la plupart des économistes. Mais qu’elles le soient encore plus qu’on ne le pensait, c’est ce qu’ont découvert deux d’entre eux, et pas les moindres : Olivier Blanchard, un Français chef économiste au FMI, et Daniel Leigh, économiste dans la même institution. Selon eux, l’utilisation d’un mauvais coefficient de calcul a débouché sur une sous-estimation des effets négatifs de l’austérité en Europe.

Lire aussi : L’erreur du FMI. XEnvoyer cet article par e-mail Nouveau ! Pas le temps de lire cet article ? Classez le dans vos favoris en cliquant sur l’étoile. Vous pourrez le lire ultérieurement (ordinateur, tablette, mobile) en cliquant sur « votre compte » Fermer Mea culpa L’organisation a gravement sous-estimé l’impact de la rigueur budgétaire sur la croissance Voilà une erreur qui ne devrait pas contribuer à redorer le blason du FMI. Une question de coefficient Le sujet ressemble de prime abord à une problématique pour spécialistes en mal de controverse.

L’air de rien, la révision opérée par les experts de l’organisation internationale est d’une portée considérable : si le nouveau chiffrage du FMI est exact cela signifie, à coups de milliards d’euros, que les politiques de rigueur menées en Europe du sud notamment n’ont aucun chance d’aboutir au résultat escompté, celui de diminuer les déficits et donc de sortir ces pays de l’ornière, sauf au prix d’efforts complètement hors de portée.

Par Philippe Plassart. L’incroyable erreur des experts du FMI. Erreur du FMI : suites. Les études économiques du FMI, utilisées par les partisans du traité européen de stabilité, étaient bidon. Quand le FMI avoue s'être trompé sur les effets de l'austérité. Bulletin du FMI : L’inflation va sans doute rester stable,d’après les conclusions d’une étude du FMI. Le « traqueur de croissance » du FMI : déprimant pour la France | Rue89 Eco. Une erreur dans une étude sur l’austérité dégomme les idées reçues. Les études économiques du FMI, utilisées par les partisans du traité européen de stabilité, étaient bidon. L’erreur du FMI.