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Phishing

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Des exemples de phishing (hameçonnage, filoutage) Le phishing (ou hameçonnage, filoutage) passe par le spam.

Des exemples de phishing (hameçonnage, filoutage)

Il s'agit le plus souvent d'arnaquer financièrement les internautes naïfs. Il peut aussi s'agir de récupérer les identifiants (login et mots de passe) d'autres internautes naïfs pour envoyer du spam depuis une adresse réelle via plate-forme de courrier saine. Enfin, il peut s'agir aussi de comptes sur des plate-formes en ligne comme Facebook ou des sites de jeu en ligne (poker…). Pour cela, des campagnes de spam sont mises en place. Les messages envoyés massivement aux victimes potentielles ressemblent en tous points avec ceux émanant d'administrations ou d'entreprises et incitent le lecteur à cliquer sur un lien souvent trafiqué (i. e. le lien affiché n'est pas le lien réel).

Pour éviter le phishing, suivez ces instructions ; pour lutter contre, consultez cette autre page. Orange Voici un exemple réel de phishing (hameçonnage) reçu par un utilisateur : Cliquons néanmoins (uniquement à titre d'exemple, à ne pas faire chez soi !) Résultats Google Recherche d'images correspondant à. Bulletin de Kaspersky sur la sécurité 2012. Spam en 2012. Chiffres de l'année La part des messages non sollicités dans le courrier a atteint une moyenne de 72,1 %.La part de messages de phishing a atteint 0,02 % du trafic de messagerie total.La part des messages contenant des pièces jointes malveillantes a représenté 3,4 % du trafic de messagerie.

Bulletin de Kaspersky sur la sécurité 2012. Spam en 2012

Tendances de l'année 2012 Réduction de la part de courrier indésirable Le volume de courrier indésirable a diminué tout au long de l'année. Sur l'ensemble de l'année, la part de courrier indésirable a atteint une moyenne de 72,1 %, soit un recul de 8,2 % par rapport à 2011. Part du courrier indésirable dans le trafic de messagerie Ce n'est pas la première fois qu'on peut observer un tel recul constant et significatif de la part de courrier indésirable.

La cause principale de la réduction du volume de messages non sollicités dans le courrier est l'amélioration des niveaux de protection contre ce fléau. Le principe DKIM est apparu en 2006, mais il s'est répandu assez lentement. Phishing (hameçonnage ou filoutage) Le phishing. Le mail (rédigé en langue anglaise ou française) usurpe l'identité d'une entreprise (banque, site de commerce électronique, etc.) et invite les internautes à se connecter en ligne par le biais d'un lien hypertexte.

Le phishing

Il leurs est demandé de mettre à jour des informations les concernant sur un site Web factice, copie conforme du site original, en prétextant par exemple une mise à jour du service, une intervention du support technique, etc. Dans la mesure où les adresses électroniques sont collectées au hasard sur Internet, le message a généralement peu de chance d’aboutir puisque l'internaute n'est peut être pas client de la banque dont semble provenir le courriel.

Mais sur la quantité des messages envoyés, il arrive que le destinataire soit effectivement client de cet organisme. Ainsi, par le biais du formulaire, les pirates réussissent à obtenir les identifiants et mots de passe des internautes, leurs données personnelles ou bancaires (numéro de client, numéro de compte en banque, etc.). Circulation de courriers électroniques frauduleux. Le phishing ou technique du "hameçonnage" a pour objectif de tromper les internautes afin de leur escroquer des sommes d’argent.

Circulation de courriers électroniques frauduleux

Il consiste en l’envoi de messages (courriers électroniques) usurpant l’identité d’administrations ou de grands organismes et demandant à l’internaute de fournir des informations personnelles, notamment un numéro de carte bancaire. Ces courriers électroniques peuvent se présenter comme des messages provenant de l’administration fiscale. Le message est très souvent à l’entête ou à la signature de la Direction générale des finances publiques ou du Ministère du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l’Etat. Il demande aux usagers de fournir leur numéro de carte bancaire ou de compléter leurs coordonnées personnelles. Le destinataire est le plus souvent invité à se connecter à un formulaire en ligne, imitant le site www.impots.gouv.fr, ceci en vue d'obtenir un remboursement d'impôt.

Ces courriers sont des faux.