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Nouveau scandale financier à Wall Street - Les Echos. L’ancienne otage française, Isabelle Prime, est arrivée en France + VIDEO - Selon "Ouest France" citant l'interprète d'Isabelle Prime, les autorités... Exil fiscal : les départs multipliés par 3 en 5 ans Les expatriations ont bondi de 40% en 2013 chez les hauts revenus. La courbe décolle à... Mistral russes : une dizaine de pays candidats au rachat Une dizaine de pays, dont l’Arabie Saoudite et l’Egypte, seraient intéressés par le rachat... Fin de la prise d’otages dans un hôtel au Mali Les assaillants avaient fait irruption vendredi matin à l’Hôtel Byblos de Sévaré.Les forces... Fortis en correctionnelle: clap première. Dexia annonce de nouvelles pertes au premier semestre.

Dexia, l'ancienne banque des collectivités locales aujourd'hui en cours de démantèlement, a annoncé mercredi 7 août une nouvelle perte nette de 905 millions d'euros au premier semestre, sous l'effet d'importants éléments non-récurrents. Le groupe avait affiché un an plus tôt une perte de 1,166 milliard d'euros, selon les résultats retraités publiés par le groupe dans un communiqué. Dexia précise que les activités conservées au sein du groupe ont limité leurs pertes à 775 millions.

Une perte de 134 millions est due aux activités arrêtées ou en cours de cession. Le groupe veut se rassurer Le produit net bancaire, qui s'apparente au chiffre d'affaires, a été négatif de 522 millions d'euros sur la période, dans la mesure où les recettes tirées de la gestion du portefeuille ont été inférieures aux coûts de refinancement du groupe. Le groupe préfère donc mettre l'accent sur son résultat net récurrent (hors éléments exceptionnels), qui n'est négatif "que" de 364 millions d'euros. (Avec AFP) Bruxelles : 13 banques soupçonnées d’entente illicite, dont la BNP | News360x.

Treize grandes banques, dont la Française BNP-Paribas, sont dans le viseur de Bruxelles depuis ce lundi. La Commission européenne les soupçonne de s’être entendues pour empêcher des établissements concurrents d’opérer sur le marché des produits dérivés de crédit (les fameux credit default swaps en anglais, ou CDS*) ou pour retarder leur entrée sur ce marché. <btn_noimpr> Cette potentielle atteinte au droit de la concurrence leur a valu une mise en garde de la part de la Commission, qui leur a adressé une communication des griefs les invitant à s’expliquer. BNP Paribas est la seule banque française concernée. A ses côtés figurent : - cinq établissements américains : Bank of America Merrill Lynch (la banque d’investissement de Bank of America), Citigoup, Goldman Sachs, JP Morgan et Morgan Stanley - trois Britanniques : Barclays, HSBC et la Royal Bank of Scotland - deux Suisses : Crédit suisse et UBS - une banque allemande : Deutsche Bank.

«Inacceptable» aux yeux de la Commission. JP Morgan prescrit la dictature en Europe. Attention danger , selon Stefan Steinberg dans un billet du World Socialist Web Site, la banque américaine appelle purement et simplement à l'avènement de la dictature en Europe. JPMorgan réclame des régimes autoritaires en Europe Par Stefan Steinberg 19 juin 2013 Dans un document publié à la fin du mois de mai, le géant des banques d’investissement américain JPMorgan Chase réclame l’abrogation des constitutions démocratiques bourgeoises établies après la Seconde Guerre mondiale dans une série de pays européens et la mise en place de régimes autoritaires.

Le document de 16 pages a été réalisé par le groupe Europe Economic Research de JPMorgan et est intitulé « L’ajustement de la zone euro – bilan à mi-parcours. » Le document commence par faire remarquer que la crise de la zone euro a deux dimensions. Le rapport exprime sa satisfaction vis à vis de l’application par l’Union européenne d’un certain nombre de mécanismes financiers visant à garantir les intérêts bancaires.

ICIJ Offshore Leaks Database. L’or chute de 29 %, sa pire performance en trente ans. L’or est tombé de son piédestal en 2013. Après treize années de hausse ininterrompue, les cours du métal précieux ont chuté de 29 % (à 1205,9 dollars l’once), ce qui ne s’était plus vu depuis 1981! Dans son sillage, l’argent a lui plongé de 36 %, à 19,44 dollars l’once. Les signes d’amélioration de la conjoncture mondiale et l’absence d’inflation ont poussé les investisseurs vers des actifs plus risqués et rémunérateurs, comme les actions. Résultat, les fonds placés dans les ETF, des produits financiers adossés à des stocks d’or physique, ont fondu de 33 % l’an dernier. 2014 ne s’annonce pas sous de meilleurs auspices.

«L’once d’or devrait se maintenir autour des 1200 dollars», prévoit Emmanuel Painchault, gérant chez Edmond de Rothschild AM. Pour Goldman Sachs, elle devrait terminer l’année à 1050 dollars. Les autres matières premières ont aussi connu une année 2013 difficile. Le cuivre sous pression. Les Européens ne parviennent pas à trouver un accord sur les banques en faillite. Les ministres des finances européens se sont séparés dans la nuit de vendredi à samedi sans être parvenus à s'entendre sur des règles communes pour renflouer ou liquider les banques en difficulté. Malgré une réunion marathon qui a duré 18 heures, "nous avons manqué de temps" pour rapprocher suffisamment des points de vue encore très éloignés, a déploré le ministre irlandais, Michael Noonan, qui présidait la rencontre à Luxembourg.

D'après son homologue français Pierre Moscovici, les discussions ont toutefois permis d'accomplir "90 % du chemin" et "nous sommes près d'un accord". Une nouvelle réunion a été fixée à mercredi. Les Européens ont d'ores et déjà déterminé qui devra mettre la main à la poche pour sortir de l'ornière les établissements en difficulté : d'abord les actionnaires, puis les créanciers les moins bien assurés, puis le cas échéant les détenteurs d'obligations dits "seniors" et en dernier recours les déposants, au-delà de la somme de 100 000 euros. Pour M. Belfius joue avec la nourriture! | On ne Joue pas avec la Nourriture. Monsieur Clijsters, Je suis client de votre banque depuis plusieurs années. Alors qu’aujourd’hui encore, un milliard de personnes souffrent de la faim dans le monde et qu’en Europe, 18 millions de personnes dépendent de l’aide alimentaire, j’ai été indigné d’apprendre que ma banque commercialisait un produit d’investissement spéculant sur l’évolution des prix des matières premières agricoles.

Le rôle d’une banque est de servir l’économie réelle, il n’est pas de spéculer sur le prix de l’alimentation, ou toute autre ressource alimentaire comme la terre ou l’eau. L’étude du Réseau financement alternatif révèle que le fonds Dexia Fund Commodities enregistré en Belgique spécule sur le prix des matières premières avec un investissement estimé dans les matières agricoles à 24,26 millions d’euros. Je vous demanderai de me tenir personnellement au courant des mesures que vous prendrez en liaison avec mon courrier. Les banques bluffent en toute légalité. Si ce capital est insuffisant, alors elle se retrouve en faillite… ! En principe, selon les règles de prudence en vigueur, une banque ne peut pas prêter plus de 12,5 fois son capital. Cette règle est basée sur le postulat qu’avec 8% de capital par rapport à ses actifs totaux |2|, une banque ne peut pas faire faillite car il est fort probable que ses pertes soient inférieures à 8 % et donc qu’elle pourra y faire face.

Nous allons montrer qu’en réalité, les banques peuvent développer des activités (c’est-à-dire prendre des risques) qui dépassent de très loin ce ratio. Au lieu de 1 / 12,5 (8%), le ratio Fonds propres Fonds propres Capitaux apportés ou laissés par les associés à la disposition d’une entreprise. Une distinction doit être faite entre les fonds propres au sens strict appelés aussi capitaux propres (ou capital dur) et les fonds propres au sens élargi qui comprennent aussi des dettes subordonnées à durée illimitée. /Actifs ne dépasse pas souvent 1/20 (5%). L’effet de levier. 10 leçons pour jeter les banquiers voyous en prison. Faire condamner les responsables de la crise financière : telle est l’ambition de l’Islande depuis quatre ans.

Même Auteur ou Sujet Nomination d’un procureur spécial, investigations sur les crimes économiques, levée du secret bancaire... Quatre ans et une Assemblée Constituante plus tard, l’Islande a retrouvé quelques couleurs. Fin 2012, le taux de chômage – qui dépasse les 8 % en 2009 et 2010 – est redescendu à 4,4 %. Évasion fiscale : comment des banques françaises aident leurs clients.

Et si on arrêtait de payer ! interview de Olivier Bonfond. Pourquoi nos élus ont intérêt à annuler les garanties sur la bad bank de Dexia ? La balle est aujourd’hui dans le camp de nos parlementaires qui peuvent remettre en cause ces garanties en refusant de ratifier le 16 mai prochain les deux arrêtés royaux que le gouvernement a pris en toute illégalité en 2011 et 2012.

Rappelons que ces arrêtés engagent la Belgique à garantir conjointement avec la France et le Luxembourg les dettes de cette bad bank | 1 | pendant près de vingt ans et pour un montant atteignant 85 milliards d’euros (sans compter les intérêts et les accessoires). La part supportée par la Belgique est de 43,7 milliards d’euros, l’équivalent de 25 % du budget de l’État fédéral. Autrement dit, si Dexia ne paie pas ses dettes, les pouvoirs publics doivent les régler à sa place. L’impact sur le budget et la dette de la Belgique serait alors catastrophique avec comme conséquence dramatique le renforcement des mesures d’austérité contre la population. Dexia n’a définitivement pas plus d’avenir.