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Physiologique

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Transpiration végétale. L'apport de vapeur d'eau qui se condense sur les vêtements, couplé à la consommation de chaleur latente relative au changement d'état de l'eau (environ 600calories par gramme d'eau évaporé), permet de modifier la température dans l'herbe de quelques degrés. La transpiration y est en effet 10 fois plus efficace que l'évaporation du sol[1]. 1) L'eau pénètre dans les racines (passivement) ; elle est guidée vers les tissus du xylème par la bande de Caspari. Un gradient de concentration des solutés dans le xylème conduit à un transport ultérieur passif de l'eau dans les éléments de vaisseaux de la plante. 2) Une fois dans le xylème, les forces d'adhérence et de cohésion[N 1] agissent sur l'eau (capillarité).

Représentation schématique du bilan évapotranspiration/alimentation de la nappe/ruissellement. Le rôle de la transpiration chez les végétaux[modifier | modifier le code] Il est multiple : La transpiration est le moteur principal de la circulation de la sève brute dans le xylème. Évapotranspiration. Les phénomènes d'évaporation et de transpiration étant indissociables au champ, ils ont conduit dans les années 1950 au concept d'évapotranspiration, à son évaluation en hauteur d'eau et à ses mesures[3] ; il est important pour expliquer et quantifier les transferts d'eau dans les écosystèmes, pour calculer les besoins en eau des forêts, cultures agricoles[4] et plus globalement pour la gestion de l'eau des espaces végétalisés naturels ou semi-naturels, ou encore pour estimer l'importance de îlots de chaleur urbains[5], ou les conséquences d'un changement de végétation d'un milieu.

Le processus de l'évapotranspiration[modifier | modifier le code] Évaporation[modifier | modifier le code] L'évaporation de l'eau est le passage progressif de l'état liquide à l'état gazeux. Ce phénomène est donc une vaporisation progressive. Interception des précipitations[modifier | modifier le code] Transpiration végétale[modifier | modifier le code] Facteurs d'influence[modifier | modifier le code] Avec : Avec. La thermorégulation - [Biologie de la peau] De même que la majorité des mammifères, l’être humain est un organisme homéotherme : sa température centrale reste constante quelles que soient les variations du milieu extérieur. Chez l’homme, des valeurs comprises entre 36°C et 37,5°C correspondent aux conditions optimales pour le bon fonctionnement de l’organisme. En effet, les réactions enzymatiques et l’activation des principaux mécanismes intracellulaires surviennent préférentiellement autour de 37°C, température de référence.

Par opposition aux organismes homéothermes, on définit comme poïkilothermes , les animaux dont la température centrale varie en fonction du milieu extérieur. Il s’agit principalement des reptiles et des poissons. Bien que relativement stable, la température centrale subit des variations secondaires à différents facteurs. 1.1. La température centrale augmente en cours de journée pour atteindre son maximum (de plus 0,5 °C) autour de 17 heures (Cabanac et al, 1976). 1.2. 1.3. 1.4. 1.5. 2.1. 2.2. 2.3. 2.4. 3.1. La molécule miraculeuse qui régule la température du corps. Comme vous le savez, la température normale du corps pour tous les êtres humains se situe entre 36,5 et 37 degrés Celsius, ou 96 à 98,6 degrés Fahrenheit.

Mais vous êtes-vous déjà interrogé sur la source de la température de votre corps et sur ce qui la maintient à ce niveau constant? Des systèmes de chauffage central sont généralement utilisés pour garder nos maisons chaudes avec des thermostats qui régulent la température. Le propriétaire réchauffe sa maison en tournant le thermostat au niveau désiré.

Mais qu'est-ce qu’on entend exactement par le système de chauffage central du corps humain? Et comment ce "thermostat" est-il ajusté? Ce sont environ les centaines de milliards (100 000 000 000) de cellules du corps humain qui sont la source de la chaleur du corps. La sécrétion de la thyroxine est un autre miracle de la création. Ce n'est pas seulement le devoir de l'hormone thyroxine qui est tellement si important, mais aussi le niveau auquel elle est secrétée. . « ... ~ Les régulations du corps ~ La régulation de la pression artérielle Notre corps contient près de 5 litres de sang circulant dans des tuyaux. Pour circuler, ce sang a besoin d’être poussé par une pression. La pression artérielle est donc la pression qui règne dans nos vaisseaux. C’est aussi ce que l’on appelle communément la tension.

Si cette pression est trop forte, le tuyau éclate et si elle est trop basse, le sang n’arrive pas jusqu’à notre cerveau. Ces 2 cas pourraient conduire à la mort de la personne. Nous allons essayer de comprendre par quels miracles, notre pression du sang est relativement constante. En réalité, cette pression dépend de 3 facteurs : le rythme du coeur, le volume du sang et le diamètre des vaisseaux. Pour modifier la pression, il suffit donc d’agir sur ces 3 facteurs et ça, notre corps le sait !

Qui le lui a appris ? A) Comment éviter une pression trop forte ? Saviez-vous que le simple fait de baisser notre tête pourrait nous tuer ! Continuons. b) Pour éviter une pression trop basse b) La satiété. FborelcoCOURS PAES App Biophy Hemodynamiques. PhysiologieCirculatoireMarieb. Le coeur2. Physiologie cardiovasculaire. Pompe cardiaque. Pompecardiaque. AerialRespiration. Unbelievable Footage of Exploding Plants. Siphon (anatomie)

Gravure présentant un escargot d'eau douce de Floride (Pomacea paludosa) (siphon en bas à droite). Bivalve veneridé dont les muscles adducteurs ont été sectionnés pour montrer l'anatomie de l'animal, dont la paire de siphons (sur la droite). Dessin d'un veneridé (Venus verrucosa) avec sa paire de siphons (celui du haut inhale, et celui du bas exhale), la coquille et le pied. Les deux siphons d'un mollusque bivalve (Unionidae). Détail du siphon inhalant de l'Unio de l'image précédente. Quatre Panopea generosa, organismes marins dont le siphon forme une sorte de cou pouvant chez cette espèce atteindre un mètre de long. Un siphon est, en anatomie, un organe tubulaire mécanique, plus ou moins long et parfois mobile présent chez certains animaux (notamment les mollusques, les larves de moustiques ou encore les urocordés).

Hormis quelques espèces qui n'en possèdent qu'un, les gastéropodes aquatiques ont généralement deux siphons. L'évolution a doté les mollusques d'une grande variété de siphons.