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Le web m'a tuer... Le gros mensonge de la presse papier. C'est un tableau plein de chiffres pas très sexy, comme seule l'administration sait si bien en produire.

Le web m'a tuer... Le gros mensonge de la presse papier.

Neuf pages de la direction générale des médias et de l'industrie culturelle (à consulter intégralement plus bas) sous la férule de son chef de bureau, M. Frédéric Gaston. Mais neuf pages qui mettent un sacré coup dans l'aile des discours d'une majorité de journalistes travaillant dans ce que l'on nomme parfois pudiquement "la presse traditionnelle", c'est-à-dire la presse quotidienne, nationale et régionale. Une presse qui va mal, on le sait, on le répète. Une presse mise en danger par internet et son information gratuite, on le sait, on le répète aussi… Et bien non. Si l'on regarde de près les chiffres et les courbes de M. En 1945, les quotidiens nationaux, alors au nombre de 26, tiraient 4,6 millions d'exemplaires chaque jour. En 1996, les troupes se sont encore un peu clairsemées sur le champs de bataille. En 2001, 17% des foyers français sont équipés. Le site du New York Times veut relever le niveau du débat des lecteurs, Médias.

De gaulle à propos des journalistes « Scientifix's Blog. “Peyrefitte, je vous supplie de ne pas traiter les journalistes avec trop de considération.

De gaulle à propos des journalistes « Scientifix's Blog

Quand une difficulté surgit, il faut absolument que cette faune prenne le parti de l’étranger, contre le parti de la nation dont ils se prétendent pourtant les porte-parole. Impossible d’imaginer une pareille bassesse – et en même temps une pareille inconscience de la bassesse. Vos journalistes ont en commun avec la bourgeoisie française d’avoir perdu tout sentiment de fierté nationale. Pour pouvoir continuer à dîner en ville, la bourgeoisie accepterait n’importe quel abaissement de la nation. Déjà en 40, elle était derrière Pétain, car il lui permettait de continuer à dîner en ville malgré le désastre national. De Gaulle, cité par Peyrefitte Pour la petite histoire, le Monde s’appelait avant le Temps et a dû changer de nom à la Libération après avoir, disons, vanté les bienfaits de l’immigration allemande sous l’Occupation.

Par Derville Like this: Like Loading... Le New York Times sauvé par internet. On l'annonçait mort en 2009, mais le New York Times a survécu à la crise de la presse.

Le New York Times sauvé par internet

Mieux, le titre semble avoir trouvé un modèle économique durable grâce à sa version en ligne. Tous les matins, la Une du New York Times est plus prompte que n’importe quelle autre source d’information à déterminer quelles vont être les informations majeures dans les prochaines vingt-quatre heures. Seth Mnookin n’a pas toujours été un défenseur du Times mais il connaît l’importance du journal.

Je ne dis pas que c’est forcément le meilleur, mais c’est en tout cas le plus important. Et s’il ne croit pas à la mort très prochaine du journal, cet ancien collaborateur du Times se garde bien de s’avancer sur le long terme. Les choses ont changé, quand on regarde la dernière décennie, on se dit que l’avenir est quand même très incertain. Souvent évoquée depuis 2009, la mort du Times aurait de nombreuses conséquences pour le monde de la presse.

Journal référence. Petite leçon de journalisme signée “The Guardian” WikiLeaks : les américains critiquent la presse française. Le quotidien Le Monde a publié quelques unes des données fournies par WikiLeaks sur les 251 287 documents confidentiels de la diplomatie américaine diffusés sur Internet.

WikiLeaks : les américains critiquent la presse française

Pourtant, l’un d’entre eux, très critique sur la presse française, n’a pas été retenu. Comme l’a relevé Olivier Fraysse sur Twitter, l’image des médias français est loin d’être bonne outre-atlantique : « Les grands journalistes sont souvent issus des mêmes écoles élitistes que de nombreux chefs de gouvernement. Ces journalistes considèrent que leur premier devoir n’est pas nécessairement de surveiller le pouvoir en place. Nombre d’entre eux se considèrent plutôt comme des intellectuels préférant analyser les événements et influencer les lecteurs plutôt que reporter des faits ».

Mais les critiques ne s’arrêtent pas là et vont jusqu’à souligner la composition du paysage médiatique français.