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Oliviermarineper

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Thème : DE L'INDIVIDU A L'ACTEUR - stmg. De l’individu à l’acteur.. Présentation Michel VIGNOLLES et Fabienne KEROULAS Deux questions de gestion assez simples et pourtant ambitieuses. 1ère question comment un individu devient-il acteur dans une organisation ? - Les caractéristiques des individus, leurs relations et leurs modes d’action. La psychologie sociale, analyse des comportements et la socialisation. 2ème question : l’activité humaine constitue-t-elle une charge ou une ressource pour l’organisation ?

- Lien entre emploi et productivité, individu charge et production. Présentation d’axes de travail sur la 2ème question : (Dans une première partie on a démontré comment on est passé de l’individu à l’acteur de l’organisation) L’objectif de ce thème est de montrer aux élèves que l’activité humaine constitue à la fois pour l’organisation : - une ressource qu’il faut préserver, évaluer et rétribuer - une charge qu’il faut évaluer et maîtriser Forte transversalité en droit et management -> question de la progression parallèle ?

I. 1. 2. La relation d'autorité employeur-employé. Notes On notera que, pour Coase, la relation d’autorité intrafirme se traduit par un commandement de l’employeur sur ses employés : l’employeur est celui qui donne des ordres à ses employés. Herbert Simon, en 1951, reprendra ce point de vue. Nous suivrons pour notre part, dans ce texte, cette problématique. En revanche, les théories plus modernes de la relation d’autorité s’écartent du principe de commandement pour aboutir à des conceptions floues de l’autorité. Trois courants bien établis le composent (Brousseau et Glachant [2000]) : la théorie des coûts de transaction, la théorie des droits de propriété et la théorie des incitations. À l’exception notable de Kenneth Arrow, qui consacre de longs développements à l’autorité et au commandement qui lui est associé dans son ouvrage Les limites de l’organisation [1976] (1974).

Voir notamment le survey de Baudry et Tinel [2003]. Voir Baudry et Tinel, op. cit. C’est le cas dans la théorie des droits de propriété (Hart [1995]). La culture d’entreprise, épisode 1 / 2. La culture d’entreprise est un thème très à la mode dans le monde des affaires. Qu’est-ce que la culture d’entreprise ? Pourquoi et comment la renforcer ? C’est ce que nous allons voir dans ce premier épisode de notre série en deux volets. Par le passé, culture d’entreprise a toujours plutôt rimé avec rigidité. On pense notamment aux grandes entreprises telles que Ford ou Toyota, symboles de la culture d’entreprise au XXe siècle mais surtout synonymes de routine et de monotonie. Aujourd’hui, notamment grâce au succès de compagnies à très forte culture d’entreprise, elle est devenue synonyme de performance.

Tout d’abord, qu’est-ce que la culture d’entreprise ? En effet, plusieurs études prouvent l’existence de liens entre culture d’entreprise et performance : lorsque les employés ont le sentiment d’appartenir à un groupe, ils adoptent des attitudes très favorables à la performance de l’entreprise car sa réussite leur tient à cœur. Sentiment d’appartenance - version imprimable. " L'être humain a besoin d'appartenir à un groupe, de s'associer à autrui, de sentir qu 'il est rattaché à un réseau relationnel. Le sentiment d'appartenance nourrit l'estime de soi sociale (ou valeur que l'on se donne dans un groupe). L'estime de soi sociale se développe lorsque l'élève prend conscience qu'il est important pour son enseignant et pour les autres élèves de sa classe. L'élève se sent alors impliqué dans un réseau relationnel, une "niche sociale" à laquelle il s'identifie.

Le sentiment d'appartenance devient l'antidote au sentiment de solitude. Le sentiment d'appartenance se développe grâce à l'éclatement de l'égocentrisme et par l'adoption de rôles et de responsabilités qui contribuent au bon fonctionnement du groupe. " L’appartenance sociale est une aspiration essentielle de l’humain. Moyens proposés par l’École Murielle Dumont (consulter site web en référence) pour favoriser le sentiment d’appartenance : Faire participer les jeunes à des activités collectives.

Sept idées reçues sur les jeunes et la politique. Les jeunes et la politique ? Chaque scrutin est l'occasion d'évoquer leur abstention, particulièrement élevée. Et puis... pas grand-chose. L'association nationale des conseils d’enfants et de jeunes (Anacej), qui regroupe des communes dotées d'un conseil municipal des jeunes, a commandé une double enquête sur le vote des nouvelles générations, à l'issue des élections municipales de mars et après les élections européennes de mai. Un millier de jeunes entre 18 et 25 ans, et autant de 15-17 ans, ont répondu à un long questionnaire. Idée reçue n°1 : les jeunes s'abstiennent, mais ils voteront en vieillissant « C'est une idée très répandue, et fausse : l'abstention des jeunes est générationnelle.

Idée reçue n°2 : les jeunes ne s'intéressent pas à la politique. « Certains expriment du désintérêt. Mais ceux qui votent témoignent que le sentiment dominant, dans les discussions avec les jeunes abstentionnistes, est le sentiment de déception. . « C'est une illusion d'optique. “Comme une fille” ! la nouvelle campagne choc qui veut casser tous les stéréotypes féminins.

Définitinion: Stéréotype. Dessins illustrant l'« Indigenous races of the earth » (1857) de Josiah C. Nott et George Gliddon. Exemples de stéréotypes concernant les femmes et les Italiens. Stéréotype fondé, sur les Pays-Bas : des moulins et des vélos. En sciences humaines, un stéréotype désigne l'image habituellement admise et véhiculée d'un sujet dans un cadre de référence donné ; cette image peut être négative, positive ou autre, mais elle est souvent caricaturale.

Psychologie[modifier | modifier le code] Définition et caractéristiques[modifier | modifier le code] En psychologie sociale, un stéréotype est : une croyance qu’une personne entretient au sujet des caractéristiques des membres d’un exogroupe ;une généralisation touchant un groupe de personnes et les différenciant des autres. Selon Jacques-Philippe Leyens, les stéréotypes se définissent comme des « théories implicites de personnalité que partage l'ensemble des membres d'un groupe à propos de l'ensemble des membres d'un autre groupe ou du sien propre »[2].

Comment un individu devient-il acteur dans une organisation ? - Réviser le cours - Sciences de gestion - Première STMG. L'individu, qui possède des caractéristiques propres, devient un acteur au sein de l'organisation par les relations formelles et informelles qu'il établit dans son activité de travail. Il communique et interagit donc en permanence, en cherchant non seulement à affirmer son individualité mais également à s'inscrire dans l'action collective.

C'est en partie de cette tension que naissent les phénomènes relationnels au sein des organisations. 1. Les différents éléments influençant le comportement de l'individu La personnalité Il s'agit de l'ensemble des caractéristiques spécifiques d'un individu. Les émotions On distingue six émotions de base : la peur, la joie, le dégoût, la colère, la surprise et la tristesse. La perception La perception est le processus par lequel l'individu interprète et donne une signification aux sensations ressenties par l'intermédiaire de ses cinq sens (la vue, l'ouïe, l'odorat, le goût, le toucher). Le lien entre attitude et comportement 2. 3. 4. 5. À retenir. Communication non verbale : ces gestes qui vous trahissent - Articles - Bien-être.

Votre interlocuteur vous inonde de paroles ou, au contraire, se fait discret. Comment cerner la personne qui se trouve devant vous? Est-elle honnête avec vous? Comment se sent-elle? Plusieurs signes ne mentent pas lorsque vient le temps de découvrir les véritables sentiments de votre interlocuteur. Et il ne pourra rien faire pour les dissimuler.

Même les plus grands manipulateurs laisseront transparaître leurs véritables intentions face à un observateur attentif. En fait, la communication passe par le langage, mais aussi par de petits gestes révélateurs, posés inconsciemment. Le mensonge En observant votre interlocuteur, vous serez en mesure de déterminer s'il dit la vérité ou s'il ment. Le menteur Il aura tendance à dissimuler son visage; Ses narines frémiront légèrement; Il clignera plus rapidement des yeux; Ses yeux fixeront un point vers la droite. L'honnête La gêne Il n'y a pas que le rouge aux joues qui trahit la gêne. Le gêné Le type à l'aise Par contre, s'il est à l'aise... L'ennui. Génération Y, mode d'emploi.

Oui, elle a dit non. Combien de fois? "Deux ou trois", quelque chose comme ça. Du haut de ses 29 ans, Morgane a refusé "deux ou trois CDI". Oui, vous avez bien lu, et peut-être avez-vous frémi, visualisant déjà des conseillers de Pôle emploi attiser un bûcher pour rôtir cette sorcière des temps modernes. "C'est vrai que ça va à l'encontre de tout ce qu'on entend, reconnaît cette journaliste indépendante qui gagne (bien) sa vie en travaillant pour le Web et la radio, et en proposant ses services pour créer des sites. Une révolution douce est en marche et son nom de code est Y. "Gagner moins bien ma vie et être heureuse" Leur première exigence? Les "Yers" ont également dans leur panoplie un certain goût pour la prise de risque, ne craignant ni les remises en question, ni l'instabilité, ni les chemins de traverse. Une insatisfaction partagée par beaucoup de salariés De quoi faire fantasmer tous les salariés? La génération X friande d'outils virtuels pour communiquer.

Naviguer d'un média à un autre pour communiquer est loin d'être le privilège de la génération Y : leurs aînés ont aussi complètement assimilé le fait de passer de l'un à l'autre en permanence pour dialoguer. Les jeunes générations sont loin d'être les seules à avoir complètement assimilé les modes de communication virtuelle à leur quotidien. D'après une étude menée chaque année par l'université du Michigan, les adultes de la génération X, tout du moins ceux en fin de trentaine, entrent autant en contact avec leurs proches, leur famille ou leurs collègues et contacts professionnels via des modes de communication électroniques, comme le mail, les médias sociaux, les messageries instantanées, les webcam...

Pour les chiffres, en un mois, les plus de 3000 adultes ayant répondu au sondage* ont annoncé avoir entamé une moyenne de 75 contacts ou discussions en face-à-face, contre 74 via des solutions virtuelles. Une question d'habitudes socio-professionnelles. Communication interpersonnelle. La culture d’entreprise : à quoi ça sert ?

Si Carrefour peut être comparé à Auchan, H&M à Zara, ou encore la Macif à la Matmut, ces entreprises sont pourtant différentes et uniques par leur culture, et ce principe s’applique à toutes les organisations quel que soit leur secteur d’activité ou leur taille. Qu’appelle-t-on culture d’entreprise ? En quoi est-elle si importante ?

Eléments de réponse. Zoom sur les composantes de la culture d’entreprise La culture de l’entreprise, aussi appelée culture organisationnelle, se résume en un ensemble d’éléments qui définissent son fonctionnement, son identité, son esprit unique par rapport à ses concurrents. Elle repose sur plusieurs composantes informelles partagées par l’ensemble des collaborateurs. Il s’agit entre autre des valeurs communes (éthique, convivialité, respect de l’environnement, sens de l’engagement…), des rites, des codes vestimentaires et de langage, des méthodes de travail, ou des faits marquants liés à l’entreprise. Intérêt de la culture d’entreprise À propos de l'auteur.

Sciences économiques et sociales - Des individus aux groupes sociaux. Fiche-séance 2 : Les types de groupes sociaux - deux heures Activité 1 : Etude de document (objectif : distinguer groupes primaires et groupes secondaires) Document 1 Le sociologue américain Charles Horton Cooley a proposé en 1909 dans Social Organisation une distinction très importante entre groupes primaires et groupes secondaires. Les groupes primaires, qui sont généralement de petite taille, sontdéfinis comme des groupes de face à face ou dominent les rapports interpersonnels.

Les groupes secondaires, généralement de taille plus grande, sont caractérisés par des relations plus superficielles, reposant principalement sur des bases utilitaires [...]. Dictionnaire de sociologie, Jean Etienne et alii, page 135, collection Initial, Hatier , 1995 Questions : Donnez des illustrations de relations fondées sur des « bases utilitaires ». Services rendus par un syndicat à un de ses membres, relations entre employeur et salarié. Qu'est ce que le contrôle social ? Activité 2 : Document 2- Document 1- Les émotions au travail: ennemies à combattre ou énergie à exploiter? [Express yourself]Joie, peur, tristesse, colère, surprise, dégoût... Les émotions ont-elles droit de cité dans nos entreprises? A l'évidence trop peu. L'entreprise est souvent le lieu où l'homme au travail se doit d'être sérieux, en totale maîtrise de ce qu'il ressent. Ressentir de l'émotion et le montrer est un signe de faiblesse que l'on préfère cacher, voire refouler, plutôt que de ternir l'image de l'homme fort ou de la femme forte qui résiste à tout, avale toutes les couleuvres, est capable de résister à tous les stress.

Je me souviens d'un ancien chef dont le leitmotiv était "Don't get emotional! " Nous avons souvent une vision morale, voire moraliste, sur l'émotion. Serions-nous toujours en vie sans les émotions? Cette vision morale sur les émotions peut s'expliquer par la confusion fréquente entre l'émotion ressentie et ce que nous en faisons. Une autre raison qui explique cette mise au placard des émotions au travail est la formation donnée aux managers et dirigeants.