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Les Français et la musique : un plébiscite. Publié le mardi 2 février 2010 Version imprimable Pratique Docnews s’est procuré quelques extraits de cette étude qui dévoile le plébiscite des Français pour la musique, et qui confirme ce qui est dans l’air depuis quelques années : la musique est partout ! Il faut cependant prendre ces chiffres à leurs justes valeurs et préciser que cette étude (réalisée par le cabinet Performics pour le compte de Muzitest) a interrogé 2000 Français âgés de 15 à 50 ans par voie de questionnaire Internet (échantillon représentatif de la population française en termes de sexe, d’âge, de CSP, de région, d’habitat et d’écoute de la radio).

Autrement dit, le public interrogé est bien celui le plus susceptible d’être un consommateur de musique qui maîtrise les technologies informatiques. A l’heure où la population française vieillit, cela relativise en partie l’impact des chiffres publiés. Mais une fois cette recontextualisation faite, les chiffres n’en restent pas moins parlants : Les activités en musique. Pourquoi vos fans vous piquent votre musique » Article » OWNImusic, Réflexion, initiative, pratiques. Kyle Bylin explique en quatre points aux artistes pourquoi leurs fans téléchargent leur musique malgré tout l'amour qu'ils leur portent.

Si l’on écoute les arguments autour du partage de fichiers, on peut croire que ceux qui s’y adonnent sont le genre de pourriture prête à jeter mamie avec l’eau du bain ou qui le week-end venu se livre sans états d’âme à la rapine au supermarché du coin (avant de passer au braquage de banque, soyons fous). On sait bien évidemment que tout cela est faux. La plupart des fans qui partagent des fichiers sont comme vous et moi. À ceci près qu’ils ne se doutent pas une seconde que des gars comme nous ont investi beaucoup d’énergie à débattre, à s’opposer, et à essayer de comprendre pourquoi les fans de musique considèrent que celle-ci, le bien le plus précieux que l’on ait, devrait être gratuite. Comment osent-ils seulement tenter de justifier le fait de ne pas rétribuer les musiciens pour leur travail ?

1-Ils ne savent pas qu’il existe d’autres options 2. 3. Music is business. Droit d'auteur.

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Www.youtube.com/v/NJ2nYr3Wlbs&feature=youtube_gdata_player&autoplay=1&rel=0&fs=0&hd=1. Méta-données de la musique : c'est le foutoir. Le business de la musique en ligne est un panier percé. Un gruyère avec bien plus de trous que de fromage. C'est tellement le foutoir qu'une part conséquente des revenus qu'il génère n'est même pas répartie, faute de pouvoir identifier les bons ayant droit en bout de chaîne.

En cause : la pauvreté des méta-données. Le site américain Digital Music News révélait il y a peu que l'organisme de gestion collective américain SoundExchange, en charge de la perception et de la répartition des revenus du streaming non interactif aux États-Unis (webradios et services de radio personnalisée de type Yahoo ou Pandora), était assis fin 2009 sur un trésor de guerre de 200 millions de dollars. Des royautés non répartissables, faute de pouvoir en identifier précisément les ayant droit légitimes, et qui dorment sur des comptes en banque. Le montant de ces « irrépartissables » était de 96,7 millions de dollars fin 2006, de 192,7 millions fin 2007, et de 260 millions mi-2008, indique Digital Music News. Un disque d'or c'est 2.000€ / mois" Pascal Negre Nov 2010.

Pascal Nègre - Point de vue de. Redéfinir les modèles économiques de la musique ? » Article » OWNImusic, Réflexion, initiative, pratiques. A l'heure de l'Hadopi et de la carte musique jeune, la question de la rémunération des artistes demeure entière. Serait-il temps de redéfinir radicalement les modèles économiques de la musique ? Le journaliste Philippe Astor couvre l’actualité de l’industrie musicale plus vite que son ombre et nous le suivons de près. Il s’est spécialisé dans l’impact des nouvelles technologies sur l’économie de la musique et des médias. Se reposant sur les discours des visionnaires américains Seth Godin et Terry McBride, il nous livre ici un bilan de ce qui avait était prédit et nous éclaire sur les étapes à venir. Les conséquences de la rupture technologique liée à la révolution numérique et au développement d’Internet, John Perry Barlow, fondateur de l’Electronic Frontier Foundation et ancien parolier des légendaires Grateful Dead, les résumait déjà en des termes on ne peut plus clairs en 2003 : Les limites de la riposte graduée « Le business du disque était parfait.

Pour Seth Godin: Et si les contenants étaient l’avenir de l’industrie musicale? » Article » OWNI, Digital Journalism. L'industrie musicale continue encore et toujours à se plaindre des "faibles" revenus qu'elle tire des ventes sur internet. Et si c'était les contenants et les interfaces qui représentaient l'avenir économique de la musique ?

Les conséquences de la rupture technologique liée à la révolution numérique et au développement d’Internet, John Perry Barlow, fondateur de l’Electronic Frontier Foundation et ancien parolier des légendaires Grateful Dead, les résumait déjà en des termes on ne peut plus clairs en 2003 : L’énigme à résoudre est la suivante : si nos biens peuvent être reproduits à l’infini et distribués instantanément dans le monde entier sans le moindre coût, sans que nous en ayons connaissance, et sans même que nous en soyons dépossédés, comment pouvons-nous les protéger ? Comment allons-nous être rémunérés pour le travail de notre esprit? Les limites de la riposte graduée « Le business du disque était parfait. Les nouveaux rouages du marketing tribal Pour Seth Godin: The Social Media. Les réseaux sociaux vont révolutionner en profondeur les médias.

Une logique déjà à l'oeuvre, à une échelle qui reste expérimentale, avec Facebook et Twitter. La désagrégation des contenus et leur fragmentation, depuis une dizaine d'années, est le principal moteur de cette évolution. Les médias de masse vivent leurs derniers jours. De nouveaux médias sociaux vont se développer, et l'innovation logicielle sera au cœur du processus. J'édite ma page Facebook comme un vrai média, item pour mes comptes Twitter (@makno, @music_zone), l'un plus personnel, l'autre purement informationnel.

C'est également vrai pour mon profil Spotify, qui agrège des playlists que je choisis de publier et de partager dans un souci de prescription, et d'auto-organisation de ma propre expérience musicale. "Ego-médias" en construction Je tisse moi-même ma toile sur Internet, en m'appuyant sur les fondations que je trouve sur mon passage, comme une araignée. Désagrégation des contenus La fin des mass médias. Musique : pas de véritable reprise avant 2013 ou 2014. Dans le cadre d'un dossier publié ce mois-ci par le magazine professionnel Musique Info (1), deux de mes interlocuteurs se risquent à évoquer des scénarios d'évolution du marché de la musique enregistrée en France sur des bases totalement opposées, mais qui aboutissent peu ou prou à la même conclusion : il n'y aura pas de véritable retour à une croissance durable avant 2013 ou 2014. La légère embellie des ventes de gros de musique enregistrée au premier semestre 2010, annoncée le mois dernier par le SNEP, est-elle synonyme de reprise ?

Dans le cas contraire, à quelle échéance ce redémarrage se profile-t-il ? Quel sera le taux de résistance du marché physique ? Sur quel taux de croissance du numérique peut-on tabler ? Ce sont quelques unes des questions auxquelles tente d'apporter une réponse le dossier publié ce mois-ci dans le magazine professionnel Musique Info. Un scénario extrême, qui pourrait s'accompagner néanmoins d'une forte progression du numérique en parallèle. Hadopi. Deezer. Bienvenue sur MusicBrainz!

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