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Infobésité

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Google m’a supprimé. Quand on fait migrer toute sa vie numérique sur les services Google, avec un compte unique, le jour où il est désactivé, c'est une partie de son existence qui se perd dans le nuage.

Google m’a supprimé

Thomas Monopoly a vu son compte Google, et ceux qu’il avait associés, désactivés du jour au lendemain, sans qu’il ne soit averti. Fâcheuse aventure qu’il raconte ici. Son compte, fermé pour des raisons de violation des conditions d’utilisation, a été réactivé depuis. Artiste, l’auteur a monté une exposition – numérique – il y a trois ans intitulée “L’évolution du sexe” et dans laquelle il avait inséré une photo “à la limité de la légalité“. Qui ne lui appartenait pas. Vous vous réveillez un matin et constatez la disparition de la totalité de votre vie numérique ! Comprendre Facebook (3/3) : L’internet des API, le web des applications. Pour les 500 millions d’utilisateurs de Facebook il semble n’y avoir qu’une manière d’accéder à Facebook : celle de se connecter sur le réseau social pour consulter son mur d’activité (le « NewsFeed »).

Comprendre Facebook (3/3) : L’internet des API, le web des applications

Pourtant, via Facebook Connect, on a déjà vu qu’il y en avait une autre, distante, permettant d’interagir avec les services de Facebook depuis d’autres sites. Il y en a encore une autre, réservée aux services informatiques des sites qui utilisent Facebook. Cet autre accès passe par les API, les interfaces de programmation, c’est-à-dire des jeux de données ouverts qui permettent aux développeurs d’utiliser les services proposés par Facebook et qui sont l’une des clefs du fonctionnement du web 2.0. C’est bien en tout cas dans les interfaces de programmation que se concoctent le web d’aujourd’hui et le web de demain : dans les négociations permettant d’accéder aux services des uns et des autres, dans les mashups de services où la bonne alchimie créera le bon service.

Hubert Guillaud. The Web Is Dead. Long Live the Internet. Two decades after its birth, the World Wide Web is in decline, as simpler, sleeker services — think apps — are less about the searching and more about the getting.

The Web Is Dead. Long Live the Internet

Chris Anderson explains how this new paradigm reflects the inevitable course of capitalism. And Michael Wolff explains why the new breed of media titan is forsaking the Web for more promising (and profitable) pastures. Who’s to Blame: Us As much as we love the open, unfettered Web, we’re abandoning it for simpler, sleeker services that just work. by Chris Anderson You wake up and check your email on your bedside iPad — that’s one app. You’ve spent the day on the Internet — but not on the Web. This is not a trivial distinction. A decade ago, the ascent of the Web browser as the center of the computing world appeared inevitable. But there has always been an alternative path, one that saw the Web as a worthy tool but not the whole toolkit. “Sure, we’ll always have Web pages.

Who’s to Blame: Them Chaos isn’t a business model. Les solutions alternatives contre l'infobésité. L'infobésité est le terme québécois qui désigne la surcharge d'information (information overload en anglais).

Les solutions alternatives contre l'infobésité

Elle décrit la situation d'abondance d'information, mais aussi d'incapacité d’assimilation et de réemploi de l’information, pour l’individu et pour l’organisation, ce qui pourrait avoir des conséquences sur la productivité et l’efficacité. Dans un article paru sur le blog Culture & TIC déjà en 2005, Olivier Thiebaut parlait de l'infobésité comme étant le mal de la société de l'information et le décrivait comme suit : « Qui ne s’est jamais perdu dans la profusion de ses favoris Internet ?

N’a jamais téléchargé en cas de besoin, des études, rapports et autres livres blancs finalement jamais lus ? Recherché sur son disque dur un contenu "mis de côté" sans se souvenir où ni sous quelle forme (mél, document Word, PDF, page html, fichier multimédia) ? Ce sujet suscite beaucoup d'intérêt sur la Toile au point qu'il met aux prises deux tendances. Les solutions technologiques.