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GOUVERNANCE DES BIENS COMMUNS ELINOR OSTROM note de lecture La G

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1 - GOUVERNANCE DES BIENS COMMUNS ELINOR OSTROM CHAPITRE 1 - La Garde Guérin. NOTES DE LECTURE (Chap. 1) Ces notes relèvent de la lecture de la traduction française en 2010 de la Gouvernance des biens communs d’Élinor OSTROM , prix Nobel d’économie 2009.

1 - GOUVERNANCE DES BIENS COMMUNS ELINOR OSTROM CHAPITRE 1 - La Garde Guérin

L’œuvre originale date de 1990, cette analyse ne tient pas compte de l’évolution de sa pensée depuis 20 ans. . « Nous pouvons observer, dans le monde, que ni l’État ni le marché ne réussissent à permettre aux individus une utilisation productive à long terme des systèmes de ressources naturelles. Il est possible que nous ne disposions pas encore des outils ou modèles intellectuels nécessaires à la compréhension de l’éventail des problèmes associés à la gouvernance et à la gestion des systèmes de ressources naturelles, et des raisons pour lesquelles certaines collectivités semblent fonctionner dans certaines configurations et pas d’autres.» Trois modèles influents : · La tragédie des bien communs · Le jeu du dilemme du prisonnier · La logique de l’action collective L’utilisation métaphorique des modèles Un défi. 3 - GOUVERNANCE DES BIENS COMMUNS ÉLINOR OSTROM CHAPITRE 3 - La Garde Guérin. Ces notes relèvent de la lecture de la traduction française en 2010 de la Gouvernance des biens communs d’Élinor OSTROM[1], prix Nobel d’économie 2009.

3 - GOUVERNANCE DES BIENS COMMUNS ÉLINOR OSTROM CHAPITRE 3 - La Garde Guérin

Réalisons que l’œuvre originale date de 1990, donc qu’il pourra être reproché à cette analyse de ne pas tenir compte de l’évolution de la pensée depuis 20 ans[2]. Mises au point (1) Le présent travail m’attire assez souvent des remarques sur la « productivité » des processus de mise en valeur des biens communs. Indépendamment du sens féérique fatal du mot (qui le vide de valeur sémantique sûre et de tout sens technique possible), prendre le bénéfice à très court terme comme grille d’analyse de l’efficacité économique de l’action humaine aboutit à éliminer du raisonnement global les processus à cycle plus long (ou plus court) que le cycle annuel.

. (2) Dans son intervention à Montpellier, le 20 juin 2011, OSTROM a insisté sur la définition robuste des limites de l'ensemble des appropriateurs ; à côté des limites de la ressource. 2 - GOUVERNANCE DES BIENS COMMUNS ÉLINOR OSTROM CHAPITRE 2 - La Garde Guérin. Ces notes relèvent de la lecture de la traduction française en 2010 de la Gouvernance des biens communs d’Élinor OSTROM[1], prix Nobel d’économie 2009.

2 - GOUVERNANCE DES BIENS COMMUNS ÉLINOR OSTROM CHAPITRE 2 - La Garde Guérin

Réalisons que l’œuvre originale date de 1990, donc qu’il pourra être reproché à cette analyse de ne pas tenir compte de l’évolution de la pensée depuis 20 ans[2]. GOUVERNANCE DES BIENS COMMUNS (chap. II) Chercheur en politologie, OSTROM propose une approche institutionnelle[3] de la gouvernance des biens communs ; (approche caractérisée par son accord avec les théories économiques néolibérales[4]). Cette approche présente l’avantage d’exiger l’analyse exhaustive[5] du champ de la recherche, en particulier, de la complexité née des interactions entre toutes les variables, qualitatives et quantitatives. Ainsi les (1) institutions organisant les biens communs apparaissent comme une modalité intéressante entre les (2) institutions organisant les biens publics et (3) celles organisant les biens privés. La situation de ressource commune :