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Élection Iran : contestations et médias sociaux

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Iran : les manifestants veulent croire à la révolu. Des Iranien, à Francfort, en Allemagne, demandent où sont passés leurs votes (Johannes Eisele/Reuters).

Iran : les manifestants veulent croire à la révolu

Ce mardi, plusieurs milliers de personnes manifestent leur soutien à Mahmoud Ahmadinejad. En face, les anti-Ahmadinejad ne se démobilisent pas. En dépit d’un appel de Mir Hossein Moussavi à rester chez soi, des milliers de personnes sont actuellement rassemblées dans les rues de Téhéran. Ci-dessous, une vidéo de la manifestation du 16 juin du personnel de l’hôpital de Téhéran, en grève contre les violences à l’encontre des manifestants.

(Voir la vidéo) Iran : une élection qui n'en est pas une. Gardiens de la Révolution islamique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le corps des Gardiens de la révolution islamique (en persan : سپاه پاسداران انقلاب اسلامى, Sepah-e Pasdaran-e Enghelāb-e Eslami), souvent appelé Gardiens de la Révolution (abrégé GRI) ou Sepah-e Pasdaran - fréquemment abrégé en Pasdaran - est une organisation paramilitaire de la République islamique d'Iran dépendant directement du Guide de la révolution, le chef de l'état iranien. L'organisation est placée sur la liste officielle des organisations terroristes des États-Unis[1]. Description du corps des Pasdaran[modifier | modifier le code] Le Sepah-e Pasdaran est séparé de l'armée iranienne régulière et lui est parallèle.

Ils sont très bien équipés avec leur propre marine, armée de l'air et forces terrestres. Des efforts récents ont été faits afin de créer un commandement conjoint entre l'armée régulière et les gardiens de la révolution, mais ils ont été limités par leur nature et n'ont pas eu d'impact significatif. Basij. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Basij

L'emblème des Basidj. Niruyeh Moghavemat Basij (« Force de mobilisation de la résistance ») couramment appelé Bassidj (aussi transcrit Basij, le mot persan بسيج signifiant « mobilisé ») est une force paramilitaire iranienne qui a été fondée par l'ayatollah Khomeini en novembre 1979 afin de fournir des jeunes volontaires populaires aux troupes d'élite dans la guerre Iran-Irak. Les Basij sont actuellement une branche des Gardiens de la Révolution islamique. Un membre de cette force est appelé un Bassidji. Présentation[modifier | modifier le code] Les Bassidjis sont des gens chargés de la sécurité intérieure et extérieure de l'Iran. Pasdaran - Iranian Revolutionary Guard Corps (IRCG) Iran : le dessous des cartes électorales - La vie des idées. La socio-démographe Marie Ladier-Fouladi présente les cartes électorales qu’elle a construites à partir des résultats officiels des scrutins présidentiels de 2005 et de 2009.

Iran : le dessous des cartes électorales - La vie des idées

L’analyse comparée de ces documents apporte, sinon les preuves, du moins les indices de la fraude commise par la faction fondamentaliste du pouvoir pour assurer la réélection de Mahmoud Ahmadinejad. Marie Ladier-Fouladi, socio-démographe et chercheuse au CNRS, étudie la cartographie électorale de la République islamique depuis plusieurs années. Les fondements des luttes de pouvoir en Iran. La lutte au sommet dans les cercles dirigeants iraniens oppose deux factions ayant des conceptions radicalement différentes de la République Islamique, selon Muhammad Sahimi. D’un côté, les héritiers de Khomeiny, défenseurs d’une théocratie constitutionnelle, et de l’autre, appuyés par les Gardiens de la Révolution, des fondamentalistes que Khatami (*) qualifie de « traditionalistes à la pensée courte, restés à l’âge de pierre. » Pour ces disciples de l’ayatollah Mesbah Yazdi, « peu importe ce que les gens pensent.

Ce sont des moutons ignorants ». Par Muhammad Sahimi, Antiwar, 24 juin 2009. Robert Fisk : La Bataille pour la République Islamique. Le régime est beaucoup plus inquiet que ce que le Dirigeant Suprême n’avait suggéré vendredi dernier, en menaçant aussi sérieusement l’opposition (epa)Maintenant que le Dirigeant Suprême iranien, Ali Khamenei, a serré les coudes avec son président officiellement élu, Mahmoud Ahmadinejad, l’existence même du régime islamique peut désormais être ouvertement remise en question dans une nation qui n’a jamais été autant divisée, entre les réformistes et ceux qui insistent pour maintenir l’intégrité de la révolution de 1979.

Robert Fisk : La Bataille pour la République Islamique

Elections iran. Iran: la révolution Twitter n'a pas eu lieu. Je manifeste mon enthousiasme personnel à l’égard de Twitter des dizaines de fois par jour en postant mes propres tweets (messages courts), en lisant une grande partie des messages publiés par mes 72 contacts et en renvoyant des tweets à n’en plus finir.

Iran: la révolution Twitter n'a pas eu lieu

Toutefois, mon engouement pour Twitter connaît une limite: contrairement à mes collègues journalistes fans des nouvelles technologie, j’ai trouvé que ce site a fait beaucoup de bruit, mais a donné peu de clés pour comprendre l’explosion sociale qui secoue l’Iran. Je ne dis pas qu’il n’y a aucun renseignement pertinent dans le lot, mais seulement que mon filtre intellectuel n’est pas assez fin pour retenir les informations fiables à propos de l’Iran. Sur MotherJones.com, Kevin Drum explique qu’avant de plier le genou devant le pouvoir révolutionnaire de Twitter, il faut se rappeler que les manifestations massives et authentiques ont existé avant Twitter ou même Internet. Mais ne prenez pas Morozov pour un ennemi irréductible de Twitter. The Revolution Will Be Twittered - The Atlantic Politics Channel. The Twitter Revolution. One of Andrew Sullivan's readers writes:

The Twitter Revolution

So You Say You Want a Twitter Revolution? - The Plank. More on Twitter and protests in Tehran. So back to cyber-protests in Tehran!

More on Twitter and protests in Tehran

One of the most discussed online initiatives of the last 24 hours has been a campaign to change users' Twitter location to Tehran. This has been done in order to confuse the authorities about the real users tweeting from Tehran and thus make it safer for them to continue operating. Nice in theory, but I am not sure it works in practice. The Iranian authorities already have lists of probably a hundred sensitive bloggers and Twitter users that could snatch easily; I don't think they would go after those who have just started doing this. I don't think it's the lack of knowledge that prevents them from doing this; it's a combination of political factors. However, this confusion over locations would also make it next to impossible to elucidate Twitter's actual role in fueling and sustaining protests in Tehran. Another downside here is the ability to aggregate the voices of those who are physically in Tehran. Moldova's Twitter revolution is NOT a myth. Iran : Tempête de protestations après l'élection.

Des milliers de personnes ont manifesté à Téhéran, Machhad et d'autres grandes villes iraniennes pour protester contre la victoire proclamée du président Mahmoud Ahmadinejad à l'élection présidentielle iranienne qui a eu lieu vendredi.

Iran : Tempête de protestations après l'élection

Deux candidats réformateurs et leurs partisans affirment que des fraudes électorales ont eu lieu. Mir Hussein Moussavi, le principal challenger de Ahmadinejad a déclaré que les résultats du scrutin, proclamé par des “responsables des élections qui ne sont pas dignes de confiance”, revèle “l'affaiblissement des piliers sur lesquels repose le système sacré” en Iran et “le pouvoir de l'autoritarisme et de la tyrannie.” Des scènes de violences dans les rues ont été filmées et les vidéos sont sur YouTube. Une manifestation, dans la rue Valiasr à Téhéran, à laquelle ont pris part des milliers de personnes, scandant de slogans contre le gouvernement d'Ahmadinejad.

Les manifestants s’opposent à Khamenei. Un jour après que l'ayatollah Ali Khamenei, Guide suprême de la République islamique d'Iran, a condamné les manifestations [en anglais comme tous le liens de ce billet] et a mis en garde les dirigeants de l'opposition de ne pas descendre dans les rues, des milliers de personnes ont manifesté à Téhéran.

Les manifestants s’opposent à Khamenei

Le mouvement a été suivi dans plusieurs villes du pays où les manifestants ont ignoré l'ordre de l'ayatollah Khamenei et exprimé leur colère contre les résultats de l'élection présidentielle du 12 juin. Des affrontements ont eu lieu avec les forces de l'ordre iraniennes qui ont fait usage de gaz lacrymogènes et de canons à eau pour les disperser. Au moins 19 personnes ont été tuées à Téhéran. Voici une vidéo qui montre des personnes essayant d'empêcher les forces de l'ordre d'avancer à Téhéran: et celle d'une manifestation, à Téhéran également :

Les paradoxes de la “Révolution Twitter” en Iran. L'auteur du présent billet a écrit précédemment sur l'utilisation des technologies de médias sociaux dans la campagne électorale de l'élection présidentielle de 2009 en Iran [en anglais, comme tous les blogs cités].

Les paradoxes de la “Révolution Twitter” en Iran

DDOS attacks on Iran's web-sites: what a stupid idea! Bringing Down Iran's State-Run Media. “Where is My Vote?”: Iranian Expats Organize Online. Engaging in Iran: The Contested Election, Twitter, and the Respo. Iran's Protests: Why Twitter Is the Medium of the Movement - TIM. Social Networks Spread Defiance Online. Twitter: Iran Election Conflict Demonstrates Its Power. In what is quite possibly the most spot-on comment about Twitter that BoomTown has heard thus far, Harvard University Professor Jonathan Zittrain said: “It is easy for Twitter feeds to be echoed everywhere else in the world.

Iran, citizen media and media attention. It’s been an interesting few days for people who study social media. As the protests over election results have continued in Iran, and Iranian authorities have prevented most mainstream journalists from reporting on events, there’s been a great deal of focus on social media tools, which have become very important for sharing events on the ground in Iran with audiences around the world. I, like many of my friends at the Berkman Center and Global Voices, have spent much of the past two days on the phone with reporters, fielding questions about: Follow The Developments In Iran Like A CIA Analyst - The Atlanti. I've overdone this metaphor, but I really do see the panoply of sources we have about Iran as an intelligence service to the masses.

We've got reliable Humint -- on the ground sources. The Revolution Will NOT Be Twittered. Chaos prevails as protesters, police clash in Iranian capital - Chaos prevails as protesters, police clash in Iranian capital - Chaos prevails as protesters, police clash in Iranian capital - Chaos prevails as protesters, police clash in Iranian capital - Grg.jpg. Nous sommes tous des Iraniens ! ...sur Twitter - Numerama. (fhashemi, CC BY #Iranelection) Depuis l'élection présidentielle en Iran le 12 juin dernier, les évènements prennent une tournure pour le moins inattendue. dans ce grand pays du Moyen-Orient En effet, si le scrutin a été largement remporté par le président sortant, l'ineffable Mahmoud Ahmadinejad, de nombreuses voix s'élèvent pour dénoncer une fraude massive, affectant la sincérité des résultats finaux.

En effet, selon les chiffres officiels Ahmadinejad aurait remporté 63% des voix, pour une participation assez élevée (85%). Le principal opposant, Mir Hossein Moussavi, s'est joint au concert de protestations, mais pour un temps seulement. Le lendemain de l'élection, la plupart des responsables réformateurs et de nombreux partisans de l'ancien premier ministre ont été arrêtés par les autorités.

Evidemment, pour étouffer la contestation grandissante, décision a été prise de bloquer les communications téléphoniques d'une part, et de filtrer drastiquement le web iranien. Le citoyen iranien, seule source d'information - International - Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Antonin Sabot A Téhéran, de nombreux journaux paraissent avec des pages blanches coupées par la censure. Les rares journalistes étrangers qui sont restés sur place n'ont eu le droit de sortir que pour couvrir les discours du guide suprême Khamenei.

"Personne n'a de bureau à Téhéran – ou s'ils en ont un les mesures gouvernementales l'ont rendu inopérant", note l'analyste des médias Jeff Jarvis à propos de la difficulté de couvrir les événements en Iran. Il a donc fallu trouver d'autres sources d'information que les reporteurs et les fils d'agence pour donner corps au soulèvement de l'opposition iranienne. Incapables d'avoir un contact physique avec l'événement et ses témoins, les journalistes se sont tournés vers les habitants de Téhéran par Internet, via les réseaux sociaux et les sites de partage de vidéos, Twitter et Youtube en tête. La chaîne satellitaire américaine CNN s'est aussi beaucoup servie de documents fournis par des amateurs. Du bon usage de Twitter dans le nouvel écosystème de l'informati.

Comment les médias, et d’autres, peuvent-ils et doivent-ils ajouter de la valeur au nouvel écosystème de l’information qui est utilisé dans la couverture de l’Iran ? Ou tournez la question autrement : le New York Times continue d’expliquer à quel point il est onéreux d’avoir un bureau à Bagdad et dans quel pétrin il serait sans ce bureau.

Mais à Téhéran, aucun média n’a de bureau (et pour ceux qui en ont, il a été rendu inutilisable par un décret gouvernemental). Ainsi, nous n’avons pas d’autre choix que de remplacer ce bureau par des gens, par des témoins autorisés à partager ce qu’ils voient. Twitter et Facebook passés au tamis Le New York Times, le Guardian et Andrew Sullivan, pour en nommer trois, font un travail impressionnant avec leurs blogs en direct, passant au tamis Twitter, Facebook, YouTube et des blogs, essayant d’ajouter autant de contextualisation et de mises en garde qu’ils le peuvent. Les médias doivent constituer leurs réseaux de témoins. Global Voices en Français » Les paradoxes de la “Révolution Twit.

Dear CNN, Please Check Twitter for News About Iran. 22/23 Khordad Protests in Iran : un album. The hottest videos on the internet right now. Iran Unrest - twazzup twitter search. Twitterers Posting From Inside Iran. Iran Parliament to Debate Death Penalty for Bloggers.