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Noéline Le Jeune

Les logiques de l'innovation: Approche pluridisciplinaire. Innovation de rupture et rupture technologique. La différence entre l’innovation de rupture et la rupture technologique On confond souvent l’innovation de rupture et la rupture technologique.

Innovation de rupture et rupture technologique

Et pourtant ces notions sont totalement distinctes. Pour clarifier les choses, voici ce qu’il faut retenir : La rupture technologique : C’est une nouvelle technologie qui apporte des performances supérieures en comparaison des technologies existantes. L’innovation de rupture est une innovation qui aboutit à la création d’un nouveau marché, radicalement différent des marchés existants.

Voir aussi:Les points fondamentaux de l’innovation de ruptureL’innovation de rupture est à la portée de tous ! Mes conseils N’attendez pas une rupture technologique pour trouver de nouveaux relais de croissance. Fabrique-moi un mouton. LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Frédéric Joignot On les appelle les "makers" ("ceux qui fabriquent").

Fabrique-moi un mouton

Ce mouvement international de passionnés de high-tech et d'impression 3D prétend réinventer le capitalisme et révolutionner la production des biens de consommation. Il veut en finir avec la standardisation des objets courants, défier l'obsolescence programmée, arrêter les délocalisations, réindustrialiser les villes sans les polluer, relancer l'artisanat. Rien que ça. Leur livre de chevet, sorti en France en novembre 2012, est Makers. Chris Anderson dirige à présent une petite usine de drones et de robots volants à San Diego, Californie. L’impression 3D, l’industrie prend une nouvelle dimension. L'impression 3D recèle un potentiel important, et nombre d'entreprises emploient déjà cette technologie.

L’impression 3D, l’industrie prend une nouvelle dimension

Que leur apporte-t-elle, en quoi l'impression 3D peut se révéler intéressante, et quelles en sont les limites ? L'impression 3D, outil de production flexible Les petites structures, comme les start-up, voient en cette technologie la possibilité de produire des prototypes à moindres frais, aidées en cela par le système de crowdfundig. Le cabinet d'analyse Gartner explique ainsi que « les premiers adeptes peuvent tester les imprimantes 3D en prenant un risque minime de perte de capital ou de temps, en obtenant éventuellement un avantage dans la conception et le délai de commercialisation des produits par rapport à leurs concurrents ». Why 3-D Printing Will Go the Way of Virtual Reality. Update: Tim Maly has published an excellent counterpoint to this post over at the Tech Review Guest blog.

Why 3-D Printing Will Go the Way of Virtual Reality

There is a species of magical thinking practiced by geeks whose experience is computers and electronics—realms of infinite possibility that are purposely constrained from the messiness of the physical world—that is typical of Singularitarianism, mid-90s missives about the promise of virtual reality, and now, 3-D printing. As 3-D printers come within reach of the hobbyist—$1,100 for MakerBot’s Thing-O-Matic—and The Pirate Bay declares “physibles” the next frontier of piracy, I’m seeing usually level-headed thinkers like Clive Thompson and Tim Maly declare that the end of shipping is here and we should all start boning up on Cory Doctorow’s science fiction fantasies of a world in which any object can be rapidly synthesized with a little bit of energy and raw materials.

Let’s start with the mechanism. 3D printing: The printed world. Additive manufacturing: Solid print. INSIDE A LOW-RISE building in a business park at Rock Hill, South Carolina, is a vision of the factory of the future.

Additive manufacturing: Solid print

Several dozen machines are humming away, monitored from a glass-fronted control room by two people looking at computer screens. Some of the machines are the size of a car, others that of a microwave oven, but they all have windows that you can peer into. One is making jewellery, others are producing the plastic grip for an electric drill, the dashboard of a car, an intricate lampshade and a bespoke artificial leg. One is even making parts to build more machines like itself.

3-D Printing Is Spurring a Manufacturing Revolution. Manufacturing: The third industrial revolution. THE first industrial revolution began in Britain in the late 18th century, with the mechanisation of the textile industry.

Manufacturing: The third industrial revolution

Imprimantes 3D : illusoire émancipation par la technologie, par Johan Söderberg. Ce serait la révolution industrielle du XXIe siècle : ce qui devait auparavant être acheté en magasin pourrait désormais être fabriqué chez soi grâce à des outils comme une découpeuse laser, une imprimante 3D, une fraiseuse à commande numérique, etc. (1).

Imprimantes 3D : illusoire émancipation par la technologie, par Johan Söderberg

Ces machines suivent toutes un même principe technologique : guider les mouvements d’un outil mécanique à l’aide d’un logiciel. Les plus célèbres d’entre elles fonctionnent comme des imprimantes, mais en trois dimensions : passage après passage, une buse se déplace sur trois axes et superpose des couches de matière (le plus souvent une résine synthétique) en suivant un modèle numérisé, jusqu’à obtention du volume désiré. De la poignée de porte au vélo, les objets ainsi produits se multiplient. Même si cette technologie suscite un foisonnement de petites entreprises créatives, son développement est essentiellement l’œuvre d’amateurs, qui se définissent comme des makers. Innovation: La révolution de l’impression 3D semble aussi en route en Suisse. Fabrique-moi un mouton. L’imprimante 3D, ce gadget qui change le monde. Imprimante 3D de la marque Makerbot Le salon des techniques de l'information et de la communication (Cebit) se déroule cette semaine à Hanovre en mettant à l'honneur l'économie du partage.

L’imprimante 3D, ce gadget qui change le monde

On entend beaucoup parler de l'émergence de cette économie, mais ce partage croissant de connaissances, de ressources, de contacts, d'échanges ou d'emprunt d'objets peut-il changer le monde ? La fabrique de l’innovation : un monde en mutation (2/4) - Fablab, hackerspace, makerspace : ouvrir et collaborer. Les Fablabs (contraction de « fabrication laboratory », « laboratoire de fabrication » ou « atelier de fabrication » en français) est un atelier ouvert au public et où sont à dispositions de multiples machines-outils assistées par ordinateurs, notamment celle qui constitue la pierre angulaire du dispositif: l’imprimante 3D grâce à laquelle on peut créée une multitude de pièces et donner ainsi naissance à des objets unique.

La fabrique de l’innovation : un monde en mutation (2/4) - Fablab, hackerspace, makerspace : ouvrir et collaborer

Ainsi, n’importe qui – ou presque – peut venir y mener à bien n’importe quel projet –ou presque – en concevant et en réalisant les projets qu’il souhaite. Cette dernière décennie, on a vu s’ouvrir quantité de Fablabs dans le monde : aux USA, en Norvège, en France, mais aussi en Inde, en Egypte, au Kenya, en Afghanistan… C'est tout un maillage d’ateliers qui est en train de voir le jour et qui, prônant une philosophie de la collaboration, du partage, de l’ouverture; renforce les capacités d’inventions de nos sociétés.

La sous-estimation initiale des innovations de rupture, une erreur classique – à propos de l’impression 3D. Les innovations de rupture sont toujours sous-estimées au début.

La sous-estimation initiale des innovations de rupture, une erreur classique – à propos de l’impression 3D

C’est l’une des raisons pour lesquelles elles finissent par surprendre. J’échangeais récemment avec un ami au sujet de l’impression 3D. Pour ceux qui auraient vécu sur Mars ces derniers mois, l’impression 3D, ou fabrication additive, est une nouvelle technologie permettant de fabriquer des objets par addition de gouttelettes de matière et non par assemblage de pièces fabriquées au préalable. La technique existe depuis plusieurs années mais ses progrès récents sont fulgurants et la baisse des prix des imprimantes 3D est importante, au point qu’on puisse désormais en acheter une pour dix mille euros.

Makers – La révolution de l’impression 3D et la seconde mort de Descartes. L’impression 3D et la révolution qu’elle représente n’en finissent pas de susciter des réflexions – Même Le Monde en parle, c’est dire. Mais si on a tendance en général à se focaliser sur "la fabrication à la portée de tous" – qui a indéniablement une portée révolutionnaire, il y a un aspect également très important qui a trait au travail et à sa place dans la société. La révolution de l’impression 3D est la seconde mort de Descartes, voici pourquoi. Je fais ici référence au dernier ouvrage de mon collègue et ami Pierre-Yves Gomez, "Le travail invisible".

Selon lui, la création de valeur due au travail se fait au travers de trois dimensions: la dimension subjective (la réalisation de soi dans le travail), la dimension objective (ce qui est produit par le travail) et la dimension collective (aucun travailleur n’existe et ne crée seul). L’impression 3D est-elle le moteur de la fabrication de demain.