background preloader

Mots

Facebook Twitter

Paroles La Chanson De Craonne par Chansons Populaires. Quand au bout d´huit jours, le r´pos terminé, On va r´prendre les tranchées, Notre place est si utile Que sans nous on prend la pile.

Paroles La Chanson De Craonne par Chansons Populaires

Mais c´est bien fini, on en a assez, Personn´ ne veut plus marcher, Et le coeur bien gros, comm´ dans un sanglot On dit adieu aux civ´lots. Même sans tambour, même sans trompette, On s´en va là haut en baissant la tête. Adieu la vie, adieu l´amour, Adieu toutes les femmes. Août 1914, la mobilisation générale. Le 1er août 1914, l’ordre de mobilisation générale est décrété en France.

Août 1914, la mobilisation générale

Tous les Français soumis aux obligations de la conscription universelle masculine en vigueur doivent donc quitter leur foyer et revêtir l’uniforme. Retour sur un processus d’une ampleur jusque-là inconnue. Qui est mobilisé ? Tous les Français soumis aux obligations militaires de la conscription. Au 1er août 1914, c’est la loi dite « des trois ans » qui en définit le cadre. La période de réserve terminée, le citoyen est versé dans l’armée territoriale. Aux premiers jours d’août, ce sont donc environ trois millions cinq cent mille Français et quatre millions d’Allemands qui sont mobilisés. Le trait commun à ces armées mobilisées tient surtout à la jeunesse de leurs unités d’active. PartiPris.info » Le glorieux passé de l’austérité 1 – 1918-1925 : Dette, inflation et dogmatisme monétaire. Le 28 juin 1919, cinq ans jour pour jour après l’attentat de Sarajevo, les représentants des États vainqueurs de la première guerre mondiale se retrouvent dans la galerie des glaces du château de Versailles pour signer le traité du même nom.

PartiPris.info » Le glorieux passé de l’austérité 1 – 1918-1925 : Dette, inflation et dogmatisme monétaire

La guerre finie, les difficultés commencent. Et en particulier les difficultés économiques. La première question qui se pose est bien sûr celle de la reconstruction. Des pays entiers sont dévastés, des villages rasés, des villes en ruine. Dans une Europe encore très agricole, des milliers de kilomètres carrés de terres arables ont été rendus incultivables par le labourage intensif des obus. Comment reconstruire ? Pour payer ses dettes, la France demande réparation. « L’Allemagne paiera », exige Clémenceau. Troisième et dernière difficulté de l’après-guerre : les désordres monétaires et financiers. PartiPris.info » Le glorieux passé de l’austérité 1 – 1918-1925 : Dette, inflation et dogmatisme monétaire.

Tardi et la grande guerre. L’exposition phare du 41e Festival est aussi un événement d’actualité : Tardi et la Grande Guerre donne le coup d’envoi des commémorations du centenaire de 14-18, tout en célébrant l’un des plus grands auteurs de la bande dessinée contemporaine. © JacquesTardi - Casterman Hanté depuis toujours, à travers son histoire familiale et son parcours d’artiste, par la dimension effroyable de la Guerre de 1914 – 1918, cette « Grande Guerre » qui devait être la « Der des der » pour tout ceux qui l’avaient vécue dans leur chair ou même seulement approchée, Jacques Tardi a commencé voilà presque quarante ans à en faire la matière d’une partie significative de son oeuvre.

Tardi et la grande guerre

Son intérêt pour le sujet ne s’est jamais démenti depuis. Unanimement salués par les historiens pour la justesse du témoignage et la rigueur de la représentation, ses albums C’était la guerre des tranchées ou plus récemment Putain de guerre ! Paroles La Guerre De 14-18 par Georges Brassens. Depuis que l'homme écrit l'Histoire, Depuis qu'il bataille à coeur joie Entre mille et une guerr's notoires, Si j'étais t'nu de faire un choix, A l'encontre du vieil Homère, Je déclarerais tout de suit' : "Moi, mon colon, cell' que j'préfère, C'est la guerr' de quatorz'-dix-huit !

Paroles La Guerre De 14-18 par Georges Brassens

" Est-ce à dire que je méprise Les nobles guerres de jadis, Que je m' souci’ comm' d'un' cerise De celle de soixante-dix ? Au contrair', je la révère Et lui donne un satisfecit, Mais, mon colon, cell' que j'préfère, C'est la guerr' de quatorz'-dix-huit ! Je sais que les guerriers de Sparte Plantaient pas leurs epé’s dans l'eau, Que les grognards de Bonaparte Tiraient pas leur poudre aux moineaux...

Lettres de poilus. Dans cet article nous allons publier, toutes les semaines, des lettres de poilus qui nous ont marquées.

Lettres de poilus

Léon Hugon a été blessé le 9 septembre 1914 par un éclat d’obus pendant la première bataille de la Marne. Puis,il fût envoyé à l’hôpital de Tulle où il mourut du tétanos le 22 septembre 1914. Tulles,le 18 septembre 1914. Bien chère Sylvanie, Je ne peux pas m’empêcher de te dire que je suis dans une très mauvaise position,je souffre le martyr,j’avais bien raison de te dire avant de partir qu’il valait mieux être mort que d’être blessé,au moins blessé comme moi.

Toute la jambe est pleine d’éclats d’obus et l’os est fracturé. Bon Dieu,que je souffre ! Je ne sais pas quand est-ce qu’on me fera l’opération. Il me tarde bien de quitter et qu’on en finisse d’un côté ou de l’autre.