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Les Hydropathes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le journal du club. Une du numéro 4 (1879). Les Hydropathes est un club littéraire parisien, fondé par le poète et romancier Émile Goudeau, et qui a existé entre 1878 et 1880 puis, de façon éphémère en 1884. Histoire du club[modifier | modifier le code] Après la guerre de 1870, il se créa à Paris de nombreux clubs littéraires dont la longévité et l'importance furent extrêmement variées. Le club fut créé par Émile Goudeau le 11 octobre 1878. On peut également penser qu'il s'agit d'un jeu de mot sur le nom du fondateur : Goudeau, c'est-à-dire « goût d'eau », pour des gens qui n'aiment pas beaucoup l'eau… cela donne « hydropathes » : - Pourquoi votre société a-t-elle pris le nom d'Hydropathe ? - Parce qu'elle a Goudeau, et tient ses séances à l'hôtel Boileau[2]. Hydropathes, chantons en cœur La noble chanson des liqueurs. « Nous étions, en ce temps-là, un groupe jeune, composé d'artistes, de poètes, d'étudiants.

. ↑ a et b cf. Maurice Sachs. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Maurice Sachs, né Maurice Ettinghausen le à Paris et tué le en Allemagne, est un écrivain français. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Maurice Sachs naît à Paris le 16 septembre 1906 dans une famille d'origine juive mais irréligieuse, anticléricale et républicaine. Son père, Herbert Ettinghausen, abandonne le domicile conjugal et divorce en 1912. André Gide le recommande à Jean Paulhan qui lui confie la direction d'une collection de romans d'aventure, publiée par Gallimard. Collaboration[modifier | modifier le code] En 1940, Maurice Sachs anime sur Radio Mondial une émission de propagande, destinée à convaincre les États-Unis d'entrer en guerre contre l'Allemagne et les nazis l'inscrivent sur la liste des propagandistes antifascistes à arrêter.

La fin[modifier | modifier le code] En avril 1945, devant l'avance des troupes alliées, les prisonniers du camp sont évacués vers Kiel pour y être libérés. L’homme qui ne reconnaît pas les visages. "Aussi loin que je me souvienne, je n'ai jamais été capable de faire la différence entre les personnes à l'aide de leur visage. " L'auteur de cette surprenante confession s'appelle David Fine. Ce gastro-entérologue britannique, aujourd'hui âgé de 60 ans, est un homme qui ne reconnaît pas les visages. "Il m'a fallu au moins trente ans pour m'apercevoir que ma reconnaissance faciale était inférieure à la moyenne et dix à quinze ans de plus pour comprendre que, dans la perception de la plupart des gens, les visages des individus sont uniques.

J'avais presque 50 ans quand j'ai entendu pour la première fois entendu parler de "prosopagnosie" et ce trouble m'a finalement été diagnostiqué à l'âge de 53 ans. " La prosopagnosie est la difficulté ou l'incapacité à reconnaître ses congénères par leur visage. Elle est soit congénitale, soit consécutive à un accident touchant le cerveau. En grandissant, David Fine perfectionne et diversifie ses techniques d'identification des autres. L'Homme qui prenait sa femme pour un chapeau. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Homme qui prenait sa femme pour un chapeau (titre original : The Man Who Mistook His Wife for a Hat) est un livre publié en 1985 par Oliver Sacks, neurologue d'origine anglaise.

Il s'agit plus précisément d'un recueil dans lequel l'auteur décrit les affections « les plus bizarres » qu'il a rencontrées. Le titre provient du cas d'un homme qui savait reconnaître les objets composés de formes géométriques simples, tel un chapeau, mais pas les visages, dont le sien et celui de sa femme. Résumé[modifier | modifier le code] Ce livre n'est pas un livre de médecine qui nécessite des connaissances en neurologie pour être apprécié. Parmi les essais, citons ceux portant sur : Jimmie G. a perdu la capacité de former sa mémoire à court terme à cause du syndrome de Korsakoff.

Notes et références[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] (en) Oliver Sacks (trad. Les guerres olympiques de l'URSS. Suspect aux yeux des bolchéviques, le sport de compétition est vite devenu un instrument de propagande essentiel des régimes communistes. Histoire d'un champ de bataille, du stade d'Helsinki au ring de Rocky IV. Parce qu'il aime Adrienne, parce qu'il aime l'Amérique, Rocky Balboa se surpasse. Le boxer au grand cœur terrasse la machine de guerre soviétique. Le short étoilé de Sylvester Stallone, filmé au ralenti, se répand en arabesques tricolores. Les deux mètres de Dolph Lundgren, brute slave aux pommettes saillantes sont étendus sur le tapis. Le petit ténébreux éructe de joie. Rocky IV est l'un des deniers films de la guerre froide.

Le sport permet une "libération contrôlée des émotions" notait Norbert Elias. Le sport s'épanouit dans la guerre froide. Le sportif, homo sovieticus par excellence Propulsés sur la scène olympique, les sportifs soviétiques sont devenus les premiers ambassadeurs du socialisme. Une Internationale rouge sportive L'apogée olympique Symphonie de boycotts. FactHive.