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Gestion de crise sur les réseaux sociaux : les bonnes pratiques PENDANT la crise. Comment Carlos Ghosn a snobé Internet. Qui ?

Comment Carlos Ghosn a snobé Internet

Fabrice Pelosi, conseiller en communication. Quoi ? Une tribune sur LA conférence de presse du Fugitif au losange, qui a ignoré superbement Internet. Comment ? Un seul @carlosghosn vous manque et tout Internet est dépeuplé. Rappel des faits. L’allumage était prometteur : deux tweets en Anglais et Japonais, donnant rendez-vous pour la conférence de presse, prévue le 11 avril. PDG brillant mais Youtubeur débutant Ce nouveau coup de théâtre donne lieu à la publication d’une vidéo sur YouTube, sur un compte nommé Carlos Ghosn, créé pour l’occasion (laissé à l’abandon depuis, le pauvre).

Qui est Yann, le CM de Decathlon, qui répond à la polémique sur le hijab ? Question posée par Bertrand le 26/02/2019 Bonjour, L’annonce par Decathlon de la mise en vente de hijabs de course a provoqué une polémique, qui culmine ce mardi.

Qui est Yann, le CM de Decathlon, qui répond à la polémique sur le hijab ?

La porte-parole de LR Lydia Guyrous accuse Decathlon de se «soumettre à l’islamisme qui ne tolère les femmes que la tête couverte d’un hijab pour affirmer leur appartenance à la oumma [la communauté des musulmans, ndlr] et leur soumission aux hommes». Le Rassemblement national a condamné ce mardi une «nouvelle intrusion du communautarisme islamique dans l’espace public». Sur Twitter, la marque répond aux internautes, avec un sang-froid remarqué, expliquant surtout vouloir «rendre le sport accessible à toutes les femmes» et signalant les tweets islamophobes. Tous ces messages sont signés par une seule personne: Yann. Vous nous demandez qui est Yann. Cet après-midi, le compte twitter Decathlon a publié quelques exemples de messages haineux reçus depuis plusieurs jours, appelant au calme:

Comment ce couple a ruiné l'e-réputation de son restaurant. L’exemple d’un restaurant qui a totalement ruiné sa réputation en ligne..

Comment ce couple a ruiné l'e-réputation de son restaurant

Attention, accrochez-vous bien ! Le contexte : Amy’s Baking Company Amy et Samy sont deux restaurateurs à Scottsdale en Arizona. Leur restaurant Amy’s Baking Bistro subit un coup dur : beaucoup d’avis négatifs concernant leurs plats émanent sur Internet. Le couple ne comprend pas pourquoi des blogueurs salissent le nom de leur établissement sur les réseaux sociaux. Gordon Ramsey à la rescousse ! L’émission en question c’est Kitchen Nightmares. L’épisode est un déjà un grand classique ! Bref, le couple a déjà des problèmes personnels à regler. Facebook : comment mal réagir aux commentaires négatifs Ca aurait pu s’arrêter là mais non. Les restaurateurs insultent leurs fans Facebook. Comment gérer les critiques négatives ? Un autre exemple de ce qu’il ne faut pas faire : menacer publiquement les internautes de les poursuivre en justice.

Encore quelques insultes.. Faut pas chercher la m*** : Fred&Farid font du mass following de bots pour jouer les influents. C’est pas bien beau d’acheter des followers.

Faut pas chercher la m*** : Fred&Farid font du mass following de bots pour jouer les influents

Cela prouve qu’on est nul et qu’on a besoin de payer pour s’auto-satisfaire. Un peu comme quand on est obligé de payer pour faire l’amour. C’est une sorte de constat d’échec ou d’impuissance. C’est déjà pas très beau quand un bloggeur le fait, mais quand c’est une agence, ça devient vraiment sale. C’est la cas de l’agence Fred & Farid qui s’est offert une tranche de followers pour certainement éviter d’avoir l’air ridicule sur les réseaux sociaux. 1/ Détecter les anomalies C’est @velvetshadow qui m’a prévenu ce matin : le compte F&FGroup s’était pris 5000 followers en 5 jours. Il y a en gros 3 façons de gagner des followers honnêtement : 1/ twitter souvent (au moins 20 par jour) 2/ publier sur un blog un contenu de qualité 3/ faire une apparition impactante à la TV ou sur un média tradi à forte audience. The 29 Stages Of A Twitterstorm. Les "e-tempêtes", un risque majeur pour les entreprises. Chez Air France, on parle de l'incident comme si c'était hier.

Les "e-tempêtes", un risque majeur pour les entreprises

Le 11 mars 2011, les caméras du monde entier se braquent sur le Japon. À la suite d'un violent séisme et d'un tsunami, la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi n'est plus sous contrôle. Dans l'archipel, les ressortissants français s'inquiètent. De nombreuses familles veulent revenir en France. Mais, stupeur au moment de prendre les billets : en quelques heures, les tarifs ont flambé jusqu'à devenir hors de prix. . « Aucun tarif spécial pour aider les Français du Japon à rentrer », fustige un internaute, évoquant un prix de 16.000 euros pour quatre adultes et trois enfants (dont un bébé). Responsable des médias sociaux d'Air France, Arnaud Bourge se rappelle : « En quelques heures, on a reçu plus de 6.000 tweets négatifs.

D'après lui, il n'en était rien : Au lendemain de la catastrophe, la compagnie proposera l'aller simple « entre 400 et 600 euros ». La mésaventure d'Air France n'est pas un cas isolé.