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Economie

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Économie évolutionniste. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans les courants économiques, l'évolutionnisme se rapporte aux théories évolutionnistes mises notamment de l'avant par Richard R. Nelson, Sidney Winter et Giovanni Dosi. Elles font de la firme le centre de cette nouvelle théorie. La théorie[modifier | modifier le code] L'ouvrage de Nelson et Winter, An Evolutionary Theory of Economic Change (1982) peut être considéré comme le moment fondateur de ce courant de pensée.

L'école évolutionniste a pour objet d'expliquer les évolutions affectant les entreprises et les mécanismes de l'innovation. En ce qui concerne la théorie évolutionniste de la firme, chaque entreprise renferme un ensemble de règles appelées routines qui déterminent ses performances selon le type d'activité et qui guident sa trajectoire technologique. Les décisions prises par les dirigeants et les savoirs détenus par les salariés, peuvent être adaptées à l'évolution du marché ou bien au contraire inadaptées.

Portail de l’économie. Joseph Schumpeter. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Joseph Schumpeter Il est l'auteur d'une Histoire de l'analyse économique, parue en 1954 et qui fait encore référence. Ni keynésien, ni néoclassique, on le rapproche souvent de l'École autrichienne d'économie. Il est considéré comme l'économiste de l'effervescence et on le qualifie d’économiste hétérodoxe pour ses théories sur l’évolution du capitalisme dans la démocratie, qu'il estime voué à disparaître pour des raisons sociales et politiques. Biographie[modifier | modifier le code] En 1908, il publie son premier ouvrage, devenu très vite un classique de la statistique économique, Nature et essence de l'économie théorique, ce qui lui permet d'obtenir en 1909 un poste de professeur associé en économie politique à l'université de Czernowitz.

En 1913-1914, il est professeur invité à l'université Columbia de New York. En 1925, il devient professeur de finances publiques à l'université de Bonn et se remarie avec Anna Reisinger. Libéralisme économique. Les partisans du libéralisme économique se rangent en deux grandes familles. Pour les libéraux classiques (John Locke, Anne Robert Jacques Turgot, Adam Smith ou Étienne Bonnot de Condillac), le libéralisme économique est l'application au domaine économique des principes fondateurs du libéralisme : liberté, responsabilité, propriété. Ils contestent à la fois la légitimité et l’efficacité de l’action étendue de l’État, et, selon les doctrines, demandent la limitation plus ou moins grande voire totale de ses actions dans le champ de l'économie.

Ils considèrent notamment que la puissance publique n'a ni la légitimité, ni l'information nécessaire pour prétendre savoir mieux que les consommateurs ce qu'ils peuvent ou doivent consommer ou pour prétendre savoir mieux que les producteurs ce qu'ils peuvent ou doivent produire. Histoire de la liberté économique[modifier | modifier le code] Révolution française[modifier | modifier le code] Royaume-Uni[modifier | modifier le code] Adam Smith. Adam Smith portraituré en 1787. Signature La plupart des économistes le considèrent comme « le père de l’économie politique » ; pourtant, certains, comme Joseph Schumpeter ou Murray Rothbard, l'ont défini comme un auteur mineur, considérant que son œuvre comportait peu d'idées originales et que ces dernières étaient pour beaucoup fausses[1],[2].

Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Enseignement de la logique et de la morale[modifier | modifier le code] Choisissant une carrière universitaire, Smith obtient à l’âge de vingt-sept ans la chaire de logique à l’université de Glasgow et plus tard celle de philosophie morale. Au-delà de son excentricité, la célébrité d’Adam Smith provient aussi de son travail et de la parution en 1759 de la Théorie des sentiments moraux, œuvre de philosophie qui le fait connaître en Grande-Bretagne et même en Europe.

Voyage en Europe[modifier | modifier le code] Plaque commémorative à Kirkcaldy, en Écosse. En anglais : Keynésianisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le keynésianisme est une école de pensée économique fondée par l'économiste britannique John Maynard Keynes. Pour les keynésiens, les marchés laissés à eux-mêmes ne conduisent pas forcément à l'optimum économique. En outre, l'État a un rôle à jouer dans le domaine économique notamment dans le cadre de politique de relance. Toutefois, l'importance de ce rôle varie avec les courants keynésiens et avec les traditions étatiques des différents pays. Pour Alan Blinder[1] le keynésianisme s'articule autour de six principaux traits dont trois concernent le fonctionnement de l'économie et trois les politiques économiques.

. (1) la demande agrégée est erratique ;(2) les inflexions de la demande ont une plus grande influence sur la production et l'emploi que sur les prix ;(3) les prix et spécialement les salaires réagissent lentement au changement de l'offre et de la demande. Les grands traits du keynésianisme[modifier | modifier le code] C : consommation. John Maynard Keynes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. John Maynard Keynes en 1933. John Maynard Keynes (/keɪnz/), né le à Cambridge et mort le à Firle, est un économiste et essayiste britannique. Sa notoriété est mondiale. Il est le fondateur de la macroéconomie keynésienne[Note 1]. Le keynésianisme, la nouvelle économie keynésienne, le néokeynésianisme ou le post-keynésianisme sont issus de son œuvre. Il a aussi été très jeune un auteur à succès, avec l'écriture d'un livre sur le traité de Versailles intitulé Les Conséquences économiques de la paix, publié en 1919, et la rédaction d'articles pour des journaux et revues.

La force de John Maynard Keynes réside dans le fait qu'à la différence de ses prédécesseurs, il élabore une théorie nouvelle ainsi que les outils conceptuels nécessaires à la mise en place de politiques économiques alternatives. Jeunesse et vie culturelle[modifier | modifier le code] Famille et milieu d'origine[modifier | modifier le code] L'ouvrage se compose de deux volumes.

Théorie économique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Selon l'Économiste français Raymond Barre[1], la théorie économique est l'une des composantes de la Science Économique. Elle correspond à la seconde étape de la mise en œuvre de cette discipline. La science économique implique en effet une démarche rigoureuse qui s'organise en 4 stades successifs : « L'observation économique se propose en premier lieu de décrire les faits et les méthodes relatifs à l'administration des ressources rares et qui se manifestent dans le temps et dans l'espace: il s'agit là d'observer et de classer les enseignements de l'expérience . »« En second lieu, il s'agit d'organiser les faits de manière à faire paraitre les uniformités et les régularités qui caractérisent les comportements humains.

Définition de la Théorie économique[modifier | modifier le code] Théorie et «Loi économique»[modifier | modifier le code] La controverse à propos des «Lois économiques»[modifier | modifier le code] Portail de l’économie.