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Explications et origines du capitalisme

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Histoire du capitalisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Depuis le XIXe siècle, la question du commencement de l'histoire du capitalisme, de ses origines, de sa consistance et surtout de son évolution est la source de débats sociologiques, économiques et historiques majeurs. Les tenants du matérialisme historique (dont Karl Marx), y voient le système de production, symbole du triomphe de la bourgeoisie sur la noblesse.

Système qui est à la fois une étape et un age dans l'histoire de l'humanité, caractérisée par la lutte des classes, et la perspective à terme de son renversement inéluctable sous l'action du prolétariat.Les sociologues allemands du début du XXe siècle y voient la caractérisation d'un état institutionnel de la société globale et expliquent son émergence par des données culturelles et religieuses. Les origines d'une civilisation[modifier | modifier le code] Le capitalisme médiéval[modifier | modifier le code] Commerce médiéval[modifier | modifier le code] Tulipomanie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La tulipomanie (Tulpenmanie en néerlandais, Tulip mania en anglais, souvent appelée « crise de la tulipe » en histoire économique), est le nom donné à l'augmentation démesurée puis l'effondrement des cours de l’oignon de tulipe dans le nord des Provinces-Unies au milieu du XVIIe siècle.

Au plus fort de la tulipomanie, en février 1637, des promesses de vente pour un bulbe se négociaient pour un montant égal à dix fois le salaire annuel d’un artisan spécialisé. Certains historiens ont qualifié cette crise de « première bulle spéculative » de l’histoire[1]. Elle est restée dans les mémoires, tout au long de l'Histoire des bourses de valeurs. L’épisode refit surface en 1841 avec la parution d’un ouvrage intitulé Extraordinary Popular Delusions and the Madness of Crowds[2] du journaliste britannique Charles Mackay.

Pamphlet néerlandais critiquant la tulipomanie, imprimé en 1637, à la suite de l’effondrement des cours. L’économiste Peter M. Copiste. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Copiste

Un copiste, ou amanuensis, est un professionnel chargé de la reproduction de documents écrits. Ce métier est né de la nécessité de produire des copies de documents administratifs et de textes destinés à l'enseignement et à la propagation du savoir. Histoire[modifier | modifier le code] Les moines copistes copiaient des livres à la main pour la population alphabétisée, une faible minorité. Ils travaillaient dans les scriptoriums. Antiquité[modifier | modifier le code] Pendant l'Égypte antique, les scribes effectuaient les copies de documents nécessaires à l'administration du pays et d'autres travaux administratifs.

À l'époque gréco-romaine il existait des professionnels qui travaillaient pour le compte d'éditeurs. Moyen Âge[modifier | modifier le code] Le copiste était souvent un moine, chargé de la copie de textes religieux ou de leur enluminure. À la fin du Moyen Âge, la montée en puissance de l'écrit permit l'émergence de scriptoriums laïcs. Mercantilisme. Le mercantilisme est un courant de la pensée économique contemporaine de la colonisation du Nouveau Monde et du triomphe de la monarchie absolue (depuis le XVIe siècle jusqu'au milieu du XVIIIe siècle en Europe).

Mercantilisme

Il considère que « le prince, dont la puissance repose sur l'or et sa collecte par l'impôt, doit s'appuyer sur la classe des marchands et favoriser l'essor industriel et commercial de la Nation afin qu'un excédent commercial permette l'entrée des métaux précieux »[1]. De nos jours, la discussion de la pertinence et de la validité des idées mercantilistes refait surface, notamment dans le débat contemporain sur la mondialisation. Étymologie[modifier | modifier le code] Le terme vient du latin mercari, « faire du commerce », issu de la racine merx, « marchandise ». Le marquis de Mirabeau est le premier à employer le terme en 1763 qui est popularisé à partir de 1776 par Adam Smith[2]. Origines du concept[modifier | modifier le code] Conséquence de cette rupture : ↑ C.