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Théorie du genre

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Ce n’est pas que je n’aime pas les poupées. Gabrielle Richard Je suis sociologue du genre et mère d’une fillette de cinq ans.

Ce n’est pas que je n’aime pas les poupées

Je ne peux dissocier ces deux aspects de ma personnalité. Quand la mère entre dans un magasin de jouets, elle ne laisse pas la sociologue à la porte. Quand la sociologue enseigne, les exemples de mère fusent. Non seulement je n’y peux rien, mais j’encourage ces croisements, qui alimentent mes réflexions sur le genre comme mon exercice de la parentalité. Il se trouve que ma fille possède des goûts atypiques. Stéréotypes du genre dans les albums pour la jeunesse : webpresse. L'analyse de cette semaine du blog : "la voix du livre" me donne envie de proposer un nouveau panorama des articles critiques sur le sujet sur le web !

Stéréotypes du genre dans les albums pour la jeunesse : webpresse

- cette liste est régulièrement mise à jour Faire éclater les stéréotypes, les croyances, les superstitions; donner des modèles forts aux filles et redécouvrir l'histoire par le prisme de figures féminines trop souvent éludées des livres d'Histoire. Voilà le programme de cette sélection (non exhaustive) de livres pour enfants à partir de 3 ans, et pour adolescents. Récits ou documentaires, albums, bd ou romans, parfois drôles et toujours très insctructfs, délicats ou virulents, à mettre entre toutes les mains, féminines ou masculines, enfantines ou adultes, pour donner confiance, développer l'estime de soi et construire un monde plus juste, pour les filles et les garçons.

Stéréotypes de genre. Égalité filles-garçons, parlons-en ! - Le Moutard expos. Ados et plus L’égalité...

Égalité filles-garçons, parlons-en ! - Le Moutard expos

Ce principe est au coeur de la République française, qui l’affirme dans sa devise Liberté, égalité, fraternité et dans sa constitution. Pourquoi associe-t-on le rose aux filles et le bleu aux garçons ? Pourquoi associe-t-on le rose aux filles et le bleu aux garçons ? © Maxppp Cela remonte à l'Antiquité grecque, où les parents préféraient avoir un garçon plutôt qu'une fille.

Car les garçons travaillaient et participaient aux revenus de la famille. A l'inverse, avoir une fille était pénalisant : outre de ne pas disposer de la même force physique, requise notamment pour le travail des champs, les filles coûtaient cher. Bambine contro gli stereotipi: lo spot Usa. Le catalogue de Noël qui déchaîne les passions.

Rose vs bleu : pourquoi filles et garçons ne s'éduquent pas de la même manière. Girl and boy toys: Childhood preferences for gendered toys are not innate. Caught on camera in the "pink aisle" of a U.S. toy store, 5-year-old Riley posed a multibillion-dollar question: "Why does all the girls have to buy pink stuff and all the boys have to buy different colored stuff?

Girl and boy toys: Childhood preferences for gendered toys are not innate.

" Her impassioned critique of profit-boosting gendered toy marketing has been viewed more than 4 million times on YouTube. She isn't a lone voice. Campaigns such as Let Toys Be Toys in the United Kingdom have also expressed frustration at the way manufacturers and shops have increasingly restricted the interests of girls to the narrow domain between the twin pink pillars of femininity—being caring and being pretty—while the broader, "different colored" terrain is for boys.

The group has recently expanded its focus to include books after the publication of titles such as The Brilliant Boys' Coloring Book and The Beautiful Girls' Coloring Book. It argues that, if the purpose of books is "opening minds and hearts … broadening horizons," such titles do the opposite. La "théorie du genre", nouvel ennemi de l'ordre "naturel" Sexisme: le cerveau n'a pas de genre - Santé.

Les cerveaux féminin et masculin sont-ils différents?

Sexisme: le cerveau n'a pas de genre - Santé

Non. Déclaration des droits des filles (et des garçons) Dans le billet du 1er février sur la « théorie du genre », j’ai essayé d’expliquer simplement la notion de genre, mais visiblement il en fallait bien peu pour exciter les esprits conservateurs puisque j’ai reçu une quantité de mots doux sans précédent.

Déclaration des droits des filles (et des garçons)

On m’a dit, dans le désordre, que je faisais « la promotion de la pédophilie », que j’étais une « sale gouine mal baisée », une « salope de bourgeoise », un « tyran en talons qui oeuvre pour la disparition des hommes », et on m’a rappelé trois fois que ma place était dans la cuisine. Mais comme je ne suis pas du genre rancunier, c’est avec une pensée émue pour toutes ces missives teintés de bienveillance que j’écris ces lignes. Oui, j’ai envie de faire plaisir à tout le monde aujourd’hui, c’est fini les conneries, le genre, l’égalité, tout ça.

Comet Camille Paglia vient à l'UA et parle sexe. J’en ai ras le bol qu’on doive s’excuser à cause de la «théorie du genre» D’habitude, je suis partisane de l’idée selon laquelle pour se faire comprendre, il faut expliquer calmement et ne pas monter les gens les uns contre les autres.

J’en ai ras le bol qu’on doive s’excuser à cause de la «théorie du genre»

Mais là, basta. Aujourd’hui, ça me saoûle. Ça me saoûle de devoir prendre des gants avec des abrutis pour ne pas les choquer dès qu’on émet une idée sortie d’ailleurs que du Moyen-Age. (Je m’excuse auprès du Moyen-Age, je sais que tu ne mérites pas l’image qu’on a de toi.) Là, j’en ai ras le bol. Cette publicité LEGO de 1981 devrait être vue par tous ceux qui fabriquent, achètent ou vendent des jouets. Contre la dictature du rose. Est-ce vraiment la couleur de prédilection des petites filles ?

Contre la dictature du rose

Ou, comme le soupçonne la spécialiste de l’enfance Peggy Orenstein, un goût induit par les pros du marketing ? Je vais vous avouer un secret : j’ai passé près de vingt ans de ma carrière de journaliste à écrire sur les filles, à réfléchir aux filles et à la façon de les élever. Et, pourtant, quand j’ai été enceinte, l’idée d’avoir une fille m’a terrifiée. Contre la dictature du rose. Est-ce vraiment la couleur de prédilection des petites filles ?

Contre la dictature du rose

Ou, comme le soupçonne la spécialiste de l’enfance Peggy Orenstein, un goût induit par les pros du marketing ? Je vais vous avouer un secret : j’ai passé près de vingt ans de ma carrière de journaliste à écrire sur les filles, à réfléchir aux filles et à la façon de les élever. Et, pourtant, quand j’ai été enceinte, l’idée d’avoir une fille m’a terrifiée. J’étais censée être une experte de la question.