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Éducation

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VIDÉO - Le syndrome de Diogène, ou quand les déchets accumulés empêchent de vivre. On les appelle des "Diogènes". Ils accumulent tant et tant d'objets dans leur logement qu'ils n'ont parfois plus un seul mètre carré où vivre. Cette situation conduit parfois au drame : incendie, plafond qui s'effondre, prolifération de rats et de blattes. Reportage à Nantes. A Rezé dans la banlieue nantaise la semaine dernière, un homme de 44 ans a été retrouvé mort au milieu de déchets qui encombraient son appartement. La Ville de Nantes intervient au domicile de Diogènes en moyenne une fois par semaine à la demande de l'entourage, des voisins, des bailleurs sociaux ou des syndics. La première fois que Romain Bocquet est entré au domicile d'un Diogène, voilà ce qu'a été sa réaction : Je me suis dis whaouh, c'est impressionnant !

" Romain Bocquet dirige la société Chronopropre, il possède plusieurs bureaux, dont un à Nantes. La personne ne vivait plus que dans un demi-canapé, avec tout autour d'elle 1,50 mètre de déchets de hauteur' Une intervention par semaine à Nantes. Pourquoi interdire la fessée ? On considère comme châtiment corporel, toute violence commise par les parents sous couvert d’éducation pour corriger ou punir leurs enfants ou de les calmer ou de s'en faire obéir. Il s'agit de faire peur, de faire mal physiquement et moralement, de contraindre par des privations et des pressions, de faire honte ou d'humilier.

Le but étant de formater les enfants à être obéissants, performants et soumis à l'autorité des adultes. La fessée, un châtiment corporel ? Donner une fessée, une tape avec la main ou avec un objet, une gifle, pincer, tirer les oreilles, les cheveux, pousser... sont des violences corporelles considérées comme des atteintes aux droits des enfants. Le code pénal n'est pas modifié, aucune sanction pénale n'est prévue tant qu'il ne s'agit pas de maltraitance, l'objectif de cette loi est de favoriser une prise de conscience des parents et de promouvoir une éducation non-violente. Stop à la violence éducative Des effets néfastes sur les enfants. Que faire quand un adolescent perd pied dans une société en crise qui peine faire rêver la jeunesse ? Comment redonner du sens et des valeurs à son enfant qui, fasciné par la course à la consommation et le culte de l’apparence, fini par se perdre dans l’échec scolaire, la drogue et la violence ?

Après avoir essayé toutes les « solutions » habituelles, un père va tout risquer pour ramener son fils à la raison. Un récit inspirant qui fera l’objet d’un livre à destination des parents qui traversent une situation similaire. Tout démarre d’une situation, devenue classique, de divorce où un enfant est impliqué : Tom. Désarmée, la mère tire la sonnette d’alarme et réclame de l’aide à son ex-époux. Mr M : Contre l’avis des enseignants, alors que Tom allait bientôt passer son BAC, vous allez prendre une décision totalement inattendue. Renaud : J’ai beaucoup voyagé ces dernières années, souvent seul, j’ai passé plusieurs mois en Sibérie, et en Mongolie à vivre au plus près des peuples nomades.

Le sanskrit. Peuples - langue - sanskrit - gaulois Le sanskrit est (a été) une des grandes langues de l'Asie, parlée essentiellement en Inde. Son origine remonte à la plus haute antiquité ; son usage, bien qu'en déclin, s'est poursuivi pendant l'ère chrétienne : il continuait à être parlé par les lettrés, comme une seconde langue. Aujourd'hui encore, c'est l'une des 15 langues officielles de l'Union Indienne, une langue de culte et d'enseignement. A titre de comparaison, le latin, depuis Charlemagne, a été utilisé comme une langue savante dans l'enseignement français, et ce jusqu'au XIXème siècle ; nous pouvons imaginer qu'il soit encore aujourd'hui parlé dans l'enseignement universitaire, avec un vocabulaire modernisé : cela peut nous donner une idée de ce que représente le sanskrit de nos jours en Inde.

Découverte : Le sanskrit, bien que fort ancien, n'a été découvert par les philologues occidentaux qu'à la fin du XVIIIème siècle. Origine : Evolution Structure : Lexique : Littérature : Donnons 2 "ailes" aux maternelles. A propos Cette vidéo* est saisissante n'est-ce pas? Elle montre le potentiel humain que l'on peut développer si l'on met en oeuvre à l'école publique les découvertes récentes des neurosciences. Aujourd'hui dans les écoles maternelles voit le jour un mouvement prometteur qui s'efforce de proposer une forme d'apprentissage répondant mieux au développement naturel de l'enfant tout en respectant le savoir-faire de l'école.

Il s'agit de permettre à l'enfant de commencer son long parcours scolaire en ayant durablement le plaisir d'aller à l'école et le désir de vouloir y apprendre une multitude de choses. Et si vous étiez les porteurs de ce mouvement naissant en l'aidant à s'implanter afin qu'il se diffuse petit à petit ? Enseignante, très attachée à notre école de la république, je souhaite donc, avec le soutien de mes collègues, faire évoluer ma pratique pédagogique et être un vecteur de ce mouvement pour offrir aux élèves le meilleur de ces dernières découvertes allié au meilleur de l'école. Classe maternelle, Gennevilliers. Apprendre par l’autonomie.

L’ouvrage s’ouvre sur une préface très intéressante d’André Giordan, qui rappelle au lecteur qu’apprendre est un processus très complexe consistant « autant à évacuer des savoirs peu adéquats que de s’en approprier d’autres » et que l’apprentissage est plutôt un processus de transformation et d’intégration, que d’assimilation. L’introduction définit l’apprentissage par l’autonomie (APA) comme une méthode pédagogique utilisée pour l‘enseignement des sciences, et plus particulièrement de la physique, avec des démarches et des dispositifs qui s’apparentent très fortement à ceux mis en œuvre dans l’approche par compétences, ou dans d’autres pédagogies actives.

L’accent est mis sur la déconstruction des représentations initiales des élèves, sur l’importance de la liberté de cheminement à leur laisser dans la résolution des problèmes et sur la place à donner à l’erreur. Céline Walkowiak. L’autonomie, une nécessité absolue pour apprendre (Marie-Louise Zimmermann-Asta) L’autonomie, c’est la capacité de s’investir personnellement dans l’acte d’apprendre.

C’est l’une des définitions que l’on trouve dans l’ouvrage "Apprendre par l’autonomie", de Marie-Louise Zimmermann-Asta, du laboratoire, créé par André Giordan, de didactique et d’épistémologie des sciences à l’université de Genève. Développer l’autonomie… Prendre en compte l’apprenant… mais comment ? Comment faire pour qu'il soit auteur et acteur de sa formation ? Comment créer des confrontations qui permettront à l’élève d’apprendre ?

L'auteur affirme, par ailleurs, un certain nombre de principes. Le développement de l’autonomie n’est pas seulement un moyen pédagogique censé améliorer les performances scolaires de l’élève mais une nécessité absolue pour apprendre. Pour apprendre, il faut être motivé par un besoin, un désir ou une interrogation. Selon l'auteur, c’est le statut même du savoir qui a changé. . « Retour.