background preloader

Sexe

Facebook Twitter

Expanded bumholes, unexpanded minds. Margaret Atwood got something wrong in the generally impeccable Handmaid’s Tale. When she imagined the reproductive dystopia of Gilead, she saw a world where backlash theologians had allied with anti-porn feminists to create a state that was hostile to non-reproductive sexuality in all its forms. What has actually happened in America between the novel’s 1985 publication and 2015 is rather different. Pornography has unambiguously triumphed: popular culture is saturated in it, and in any state of America, you are only a few channel-hops away from seeing women naked, women crawling, women jerking their body parts (either surgically hypersexed or tastefully starved), women degraded for male pleasure. Meanwhile, 56% of US women now live in states hostile to abortion rights – an increase from 31% in 2000, according to the Guttmacher Institute, and part of a general pushback against the rights enshrined by Roe vs Wade. All this is well and sympathetically observed.

Like this: Like Loading... Plan à trois et leçon de conjugaison. 19 novembre 2010 D’abord, une prise de position hyper politico-importante. On pourrait presque qualifier ça de « coup de gueule mélenchoniste ». Il faut arrêter de décliner le nom d’un mag ou d’un site à toutes les sauces. Je suis contre. Ensuite, une vidéo qu’elle est chouette. On n’est pas des chiens from Udner on Vimeo. Ils sont complètement barges.

En dernier lieu, j’eusse aimé que je rebondissasse sur un post de Maïa. J’y rebondissasse parce que j’y souscrivasse totalement à ces propos : « La probabilité que je choppe un mec en sortant dans un bar ce soir est nettement plus élevée que la probabilité que l’un d’entre vous, lecteurs mâles et hétéro, ramène une fille. Voilà enfin un vrai sujet de fond. Le premier argument qu’analyse Maïa c’est le « je vais pas frotter mon spaghetti magique contre celui d’un autre garçon ». Mais il y a un autre contre-argument que Maïa omet. En général, ça marche pas. Mais ça vaut toujours le coup d’essayer. Or le porno influence nos pratiques sexuelles.

Non, la sexualité ne fait pas partie des besoins naturels. La sexualité a longtemps été rangée parmi les besoins dits «naturels», comme si, «naturellement» les êtres humains étaient capables de se reproduire ou de se procurer du plaisir. Il semblerait que ce ne soit pas le cas. Lorsqu’il éprouvait des besoins, Victor, l’enfant sauvage, n’était pas capable d’en localiser la source… Il existe un présupposé tenace dans notre société : la sexualité ferait partie des instincts «naturels», aussi naturels que déféquer, manger ou boire.

Il semblerait que non. Le 17 mai 1934, l’anthropologue Marcel Mauss présente devant la société de Psychologie une communication audacieusement intitulée Les Techniques du corps, dans laquelle il essaye de prouver que notre corps n’effectue pas des mouvements de manière naturelle. «Le corps est le premier instrument de l’homme», dit-il avant de proposer, en guise de méthodologie, quelques principes de classification des techniques du corps : la façon de bouger n’est pas la même selon les sexes. L’homme perfectible.

Standards / injonctions

Devenir sujet sexuel. Orgasmes féminins. Intérioriser le désir de l'autre. Éducation sexuelle/ anatomie. Norme de la pénétration. SM. Les sexualités et les femmes dans le monde. Sex as Female Resource for Social Exchange in Heterosexual Interactions. Kathleen D. Vohs A heterosexual community can be analyzed as a marketplace in which men seek to acquire sex from women by offering other resources in exchange.

Societies will therefore define gender roles as if women are sellers and men buyers of sex. Societies will endow female sexuality, but not male sexuality, with value (as in virginity, fidelity, chastity). The sexual activities of different couples are loosely interrelated by a marketplace, instead of being fully separate or private, and each couple's decisions may be influenced by market conditions. Economic principles suggest that the price of sex will depend on supply and demand, competition among sellers, variations in product, collusion among sellers, and other factors.