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Croix-Rouge française. Why Homophobic Russia Loves Gender-Bending Pop Stars - Olga Khazan. Recent laws and polls reveal an uptick in anti-gay sentiment, but paradoxically, Russians like their music acts as campy and flamboyant as possible. Russian singer Philip Kirkorov performs at the 2005 World Music Awards at the Kodak Theater in Hollywood on August 31, 2005. (Reuters) In a 2012 rendition of his hit "Little Star," Boris Moiseev, a beloved 60-year-old Russian pop singer, takes the stage during an evening variety show in a characteristically bombastic outfit: sparkly sport-coat, beaded necklaces, magenta lipstick, and what can only be described as Princess Jasmine pants.

Backed by half-dressed dancers, he vamps his way through the dance hit, cocking his hips and waving his arms seductively. Moiseev is an institution and a household favorite, even though he's openly homosexual and most of his performances are flamboyant even by the standards of a pride parade. "It adds to their theatricality," said Olga Partan, a Russian professor at the College of the Holy Cross. Flattr - Social microdonations.

Stock Photos, Royalty-Free Images and Vectors - Shutterstock. L'Homme qui prenait sa femme pour un chapeau. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Homme qui prenait sa femme pour un chapeau (titre original : The Man Who Mistook His Wife for a Hat) est un livre publié en 1985 par Oliver Sacks, neurologue d'origine anglaise.

Il s'agit plus précisément d'un recueil dans lequel l'auteur décrit les affections « les plus bizarres » qu'il a rencontrées. Le titre provient du cas d'un homme qui savait reconnaître les objets composés de formes géométriques simples, tel un chapeau, mais pas les visages, dont le sien et celui de sa femme. Résumé[modifier | modifier le code] Ce livre n'est pas un livre de médecine qui nécessite des connaissances en neurologie pour être apprécié.

Pour autant, un certain nombre de pré-requis, en neuropsychologie, en neurosciences ou en neurologie est fortement conseillé pour vraiment investir ce roman. Parmi les essais, citons ceux portant sur : Jimmie G. a perdu la capacité de former sa mémoire à court terme à cause du syndrome de Korsakoff.

L’homme qui ne reconnaît pas les visages. "Aussi loin que je me souvienne, je n'ai jamais été capable de faire la différence entre les personnes à l'aide de leur visage. " L'auteur de cette surprenante confession s'appelle David Fine. Ce gastro-entérologue britannique, aujourd'hui âgé de 60 ans, est un homme qui ne reconnaît pas les visages.

"Il m'a fallu au moins trente ans pour m'apercevoir que ma reconnaissance faciale était inférieure à la moyenne et dix à quinze ans de plus pour comprendre que, dans la perception de la plupart des gens, les visages des individus sont uniques. J'avais presque 50 ans quand j'ai entendu pour la première fois entendu parler de "prosopagnosie" et ce trouble m'a finalement été diagnostiqué à l'âge de 53 ans. " La prosopagnosie est la difficulté ou l'incapacité à reconnaître ses congénères par leur visage. Elle est soit congénitale, soit consécutive à un accident touchant le cerveau. En grandissant, David Fine perfectionne et diversifie ses techniques d'identification des autres.