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Neutralité - Liberté du net

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Régulation des contenus sur internet. Le CSA vient de sortir du bois concernant la régulation des contenus vidéos. Il souhaite étendre sa régulation à l'ensemble des contenus vidéos sur internet, en commençant par Youtube et Dailymotion, puis tout le reste. Ce n'est pas une surprise sur le fond, par contre, on se demandait comment, juridiquement, ils allaient y arriver. On y voit un peu plus clair. Enfin, on se rend surtout un peu mieux compte qu'ils vont droit dans le mur...

Ils commencent par parler d'auto-régulation des acteurs, le CSA leur donnant le cadre, et n'intervenant qu'en cas d'échec de l'auto-régulation. Le CSA n'est pas idiot, et se rend bien compte de la fragilité de sa construction, qui ne tient que par le rapport de force qu'il est capable de mettre en place avec des sites internet. En voulant étendre son pouvoir de régulation, condition sine qua non de sa survie, le CSA ouvre la boîte de Pandore.

FAIs Associatifs Alternatifs. ActiVPN Secure your internet connection - Best VPN Service. Adresses IP OpenDNS » Le Perturbateur. Le tweet de Zorgloob m’a fait penser à écrire cet article… Je me rends compte que moi aussi, à tord, j’utilise très souvent les fameux 8.8.8.8 ou 8.8.4.4 pour tester si c’est encore les DNS du FAI qui posent problème (ou celui/ceux du réseau local).

C’est pas très très bien tout cela pour notre vie privée! Utilisons donc plutôt les OpenDNS qui jouent le même rôle! Les IP sont les suivantes: Oui c’est moins facile à retenir, mais tu auras l’avantage que au moins, eux, ils t’oublient Sinon tu peux lire ça: Ou pas! Commotion, le projet d'un Internet hors de tout contrôle. Hadopi / TMG : la CNIL ne sanctionne personne ! Ils s'en sortent avec une simple claque sur les doigts. L'an dernier, la découverte d'une faille sur des serveurs de TMG avait permis de révéler que la société nantaise chargée de collecter les adresses IP renvoyées à la Hadopi n'avait pas suffisamment sécurisé ses données. La CNIL avait alors procédé à un contrôle les 17 et 18 mai 2011, et avait décidé le 16 juin de mettre en demeure à la fois le prestataire TMG, et ses clients ayants droit. Dans un communiqué accablant, la CNIL avait dit avoir découvert à l'occasion de ce contrôle "un certain nombre de manquements aux obligations de sécurité, incompatibles avec l'activité de TMG : manque de rigueur dans la mise à jour des équipements informatiques, mesures de sécurité physique défaillantes et absence de procédure formalisée garantissant la bonne application de ces mesures".

On s'attendait donc à ce qu'il en ressorte des sanctions. Une plainte toujours en cours.. contre un journaliste trop curieux. La RIAA tente de démonter l’étude démontrant que les pirates dépensent plus en musique… et arrive à la même conclusion. C’est toujours une bonne partie de franche rigolade de voir de maladroits lobbyistes se planter lamentablement comme de grosses otaries bourrées à la bière La dernière bourde de la RIAA, l’association américaine qui défend les professionnels de la musique, est à déguster sans modération : Il y a de cela quelques semaines, une étude indépendante a été publiée.

Cette étude démontrait que les personnes utilisant les réseaux P2P dépensaient 30% de plus dans la musique payante que les non-utilisateurs de P2P. La RIAA a eu un peu de mal à digérer cette nouvelle, et a souhaité mettre en place sa propre étude pour discréditer celle qui démontre que les pirates achètent plus de musiques que les non-pirates. Voici le tableau qu’a ressorti la NPD : On voit bien que les utilisateurs de réseaux P2P sont encore une fois de bien plus gros consommateurs de musiques payantes que les non-pirates !

Ne devant visiblement pas s’attendre à une telle conclusion, la RIAA tente de rattraper maladroitement le coup : Fin de l’Internet illimité : c’est reparti ! Hadopi souhaite faire de la propagande en introduisant dans le B2i les dangers du téléchargement. Quoi que puissent penser actuellement l’industrie culturelle et la Hadopi, aujourd’hui de nombreux internautes téléchargent et ne sont pas prêts à payer pour une offre n’apportant pas de valeur ajoutée, voire même des limitations dans la lecture des contenus, par rapport à des oeuvres téléchargées sur le Net. Comment faire pour modifier ces (mauvaises ?) Habitudes ? Tenter de modifier les comportements de la génération qui est née avec la popularisation d’Internet en intégrant un peu de propagande dans le Brevet informatique et Internet, généralement passé au collège ou au lycée.

Ainsi la Hadopi a lancé un gros appel d’offres à 30 000 € (bah oui c’est la crise après tout) portant sur « l’étude des perceptions et des pratiques de consommations des « Digital Natives » en matière de biens culturels dématérialisés ». Le but non-avouée de cette étude ? Il n’y a que moi qui arrive à prédire que ce genre de projet est voué à coup sûr vers un échec certain ? Source et Image. Une redevance sur le domaine public ? Rhaa®, mais c’est pas vrai : les ayants droits veulent une redevance sur tout ce qui est dans le domaine public : « Il n’y a pas de raison que l’État finance la protection d’une œuvre du domaine public et sa conservation » dit-il, […] il propose devant la Mission Lescure « une redevance sur le domaine public audiovisuel pour financer la conservation, la numérisation et la mise à disposition des œuvres. » Si on veut la conserver pour les générations futures quelqu’un doit intervenir pour conserver, protéger et même restaurer.

Et quand un éditeur veut diffuser ces œuvres, il devrait payer une redevance pour financer tous ces travaux. (c’est une citation de PCi, contenant les citations elles-mêmes) Ah, donc l’argent ne servira pas pour autoriser ou interdire la diffusion, mais pour permettre la mise en place de serveurs et de moyens techniques pour rendre le fichier accessible ?

Anonymat, vie privée

Jean Claude D., première victime d’Hadopi. Aujourd'hui est un grand jour pour l'institution Hadopi qui vient de libérer dans une joie sans limites, un premier bouchon de champagne. En effet, ce bonheur ivre, ils le doivent à leur talent puisqu'ils viennent ENFIN de faire leur première victime ! La première convoquée au tribunal, sur une série de 14 personnes. Nous ne pouvons que respecter cela face à l'immensité des moyens qu'ils ont mis en œuvre depuis plusieurs années. Des millions d'euros de budget dépensés en bureaux inutiles et notes de frais, des centaines d'heures de réunion à se caresser les uns les autres la coquillette, et surtout une formidable loi que Cricri, Frédo, Francky et tant d'autres martyrs de la cause ont réussi dans un bain de sueur, de sang et de pisse, à faire adopter. Et nous y voilà ! La fin du supplice de Sisyphe pour l'Hadopi ! On ne connait pas le nom de l'heureux élu, mais nous l'appellerons Jean-Claude Dégacolatéral pour la suite de notre histoire.

Mais alors, me direz-vous, révoltés ?? Source. Want to Block Common Passwords? Sorry, That is Patented [Xato - Passwords & Security] Xato – Passwords & Security. I always enjoy browsing through password-related patents to see all the flawed, silly, or outright dumb ideas that people come up with in an attempt to improve how we authenticate ourselves in the digital realm. What amazes me though is how many patents I encounter that have been granted for some of the most obvious, well-known and ordinary techniques we use in the authentication process.

In fact, every imaginable aspect of password selection, authentication, storage, and recovery seems to be covered by one or more patents. “…every imaginable aspect of password selection, authentication, storage, and recovery seems to be covered by one or more patents.” As the title says, the process of checking for common or weak passwords is patented.

Indeed, the first question one might ask is do we really even care that someone has patented so many elements of password authentication? Facebook censure Le Point. L'affaire Charlie Hebdo, lancée après la publication d'une caricature de Mahomet en son sein, n'a pas fini de faire des dommages collatéraux. Le Point pourra d'ailleurs en témoigner ! Facebook joue de la censure : le réseau social a en effet décidé de manière arbitraire (c’est en tout cas notre avis) de modifier le contenu de la page officielle du Point. Ainsi, le mercredi 19 septembre, en fin de journée, la rédaction du Point a décidé de publier l’une des caricatures Mahomet relayées au sein de Charlie Hebdo, en accompagnant le tout d’un lien renvoyant vers son site, et plus précisément vers son article « Pourquoi Charlie Hebdo joue avec le feu ?

». L’initiative ne fut pas au goût de Facebook, qui décida de supprimer le billet posté, et donc le lien, en évoquant la publication d’un contenu n’étant « pas conforme au règlement en vigueur ». Le Point a écopé d’une suspension de 72 heures, l’empêchant de publier sur le réseau Facebook durant ce lap de temps.

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