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Dante

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La Divine Comédie (trad. Lamennais)/L’Enfer/Chant III. Par moi l’on va dans la cité des pleurs ; par moi l’on va dans l’éternelle douleur ; par moi l’on va chez la race perdue.

La Divine Comédie (trad. Lamennais)/L’Enfer/Chant III

La Justice mut mon souverain Auteur : la divine Puissance, la suprême Sagesse et le premier Amour me firent. Avant moi ne furent créées nulles choses, sauf les éternelles, et éternellement je dure : vous qui entrez, laissez toute espérance ! Je vis ces paroles écrites en noir au-dessus d’une porte ; aussi je dis : — Maître, douloureux m’en est le sens. Dante : L'Enfer (I à V) Inutile de présenter Dante.

Dante : L'Enfer (I à V)

Ses traductions sont innombrables; la version ci-dessous est en vers. C’est le travail d’un homme de lettres du XIXe siècle, Louis Ratisbonne, qui ne réussit pas vraiment à percer dans notre littérature et écrivit surtout pour les enfants. Son œuvre majeure s’intitule La Comédie enfantine, en vers. Qui a dit : « sans être poète, on ne peut traduire un autre poète ? L'enfer : premier chant / Dante ; [traduit par B. Melzi] Dante - L'Enfer.