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Cinéma

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Digital Artist Shows What Animated Women Look Like With Less Unnatural Faces. There’s an obsession in art with making female characters “pretty” that frequently leaves cartoon women with facial features that would scare the crap out of us if they belonged to an actual human being.

Digital Artist Shows What Animated Women Look Like With Less Unnatural Faces

What makes it worse is that it tends to be the same face over and over again (tiny nose, giant eyes, and round), so Tumblr user TheNamelessDoll decided to see what they’d look like with more realistic features. This is what Elsa from Frozen would look like—in motion—as a cartoon of an actual person instead of a cartoon of weird animated beauty standards: The impressive alteration was achieved with After Effects, which took a lot of work (“Jumped from Photoshop to After Effects and it was MUUUUCH harder to do this edit while the character is moving! … I’m not doing that again any time soon!”) But TheNamelessDoll’s other Photoshop adjustments get the point across just as well: You may have noticed that some of them also got slight body edits, and there’s even more where these came from.

Fifty Shades of Abuse – traduction. Quand les films d’animation occultent les violences masculines intrafamiliales (I) : La Petite Sirène, Aladdin, La Belle et la Bête. Je voudrais ici attirer l’attention sur la réapparition, dans un certain nombre de films d’animation récents, d’un discours sur les relations père-fille que je trouve particulièrement dangereux politiquement parce qu’il contribue à mon avis à occulter les violences masculines intrafamiliales (psychologiques, physiques et sexuelles), en particulier celles des pères sur leurs filles (puisque c’est majoritairement de cette relation qu’il s’agit dans ces films).

Quand les films d’animation occultent les violences masculines intrafamiliales (I) : La Petite Sirène, Aladdin, La Belle et la Bête

Best Feminist Films: An Essential List. L'égalitarisme, c'est pas ce que vous croyez. FeministAndOtherThings, Des femmes qui courent. Disney a un problème avec ses personnages féminins: elles ont des émotions. Réjouissez-vous!

Disney a un problème avec ses personnages féminins: elles ont des émotions

Le nouveau film d’animation de Disney, La Reine des Neiges, contient non pas une mais DEUX héroïnes! "Au cinéma, les hommes ont le droit de vieillir, pas les femmes" Par Ariane Nicolas Mis à jour le , publié le A quoi ressemblent les héros de cinéma en France et aux Etats-Unis ?

"Au cinéma, les hommes ont le droit de vieillir, pas les femmes"

Selon notre enquête, ils sont en grande majorité masculins et d'"âge mûr". A l'inverse, la carrière des femmes, moins nombreuses, connaît un coup d'arrêt la quarantaine passée. En finir avec l’aphrodisme au cinéma. Préalable sur l’aphrodisme, le sexisme et le cinéma J’appelle ici « aphrodisme » le système de domination consistant à valoriser dans une société donnée les individus correspondant aux normes de beauté physique de cette société, tout en dévalorisant ceux/celles qui n’y correspondent pas.

En finir avec l’aphrodisme au cinéma

L’aphrodisme est analogue à d’autres systèmes de domination comme le sexisme ou le racisme en tant que, comme eux, il construit socialement une inégalité à partir d’une différence physique qu’il a arbitrairement posée comme significative, voire essentielle. Le sexisme décide ainsi que la possession de certains organes génitaux détermine un ensemble de comportements sociaux (permettant la domination d’un « sexe » sur l’autre). Le racisme décide de la même manière que la couleur de peau des individus est le signe de leur appartenance à une certaine « race », et fonde (ici encore de manière totalement arbitraire) un rapport de domination sur cette différence prétendument essentielle. Pères et mères chez Disney : qui a le beau rôle ? La sortie cet été de Rebelle est une bonne occasion de revenir sur les figures de pères et de mères qui peuplent les « classiques d’animation Disney ».

Pères et mères chez Disney : qui a le beau rôle ?

En effet, dans le portrait qu’il fait des parents de Merida, Rebelle semble exacerber une tendance présente depuis longtemps dans les longs métrages d’animation du studio, et qui consiste à dépeindre de manière radicalement différente (et totalement sexiste) les pères et mères des héros/héroïnes. En effet, ici, c’est la reine Elinor seule qui s’oppose à la volonté de sa fille en cherchant à tout prix à en faire une princesse, c’est-à-dire une femme distinguée, charmante, douce, soumise, et surtout mariée.

Saga Twilight : violence conjugale et glorification du patriarcat. Lorsqu’a eu lieu le phénomène de société « Twilight » (livres et films), nombreux l’ont violemment critiqué.

Saga Twilight : violence conjugale et glorification du patriarcat

Cependant, les critiques négatives ont été globalement orientées sur trois axes : la nullité (des livres, des films, des acteurs, etc.), la défense de la chasteté promue par le roman (Bella et Edward n’ont de relations sexuelles qu’à partir de leur mariage) et la redéfinition (trahison selon certains) du mythe du vampire. Rebelle (2012) : mater la rousse. Raiponce (2010) : Peut-on être à la fois princesse et féministe chez Disney ? Comme La Princesse et la grenouille sorti un an plus tôt, Raiponce témoignait de la volonté de Disney de proposer des princesses plus fortes et actives que les Blanche-Neige, Cendrillon et Aurore des débuts.

Raiponce (2010) : Peut-on être à la fois princesse et féministe chez Disney ?

Mais aussi plus indépendantes que les Ariel, Belle ou Jasmine d’après la seconde vague féministe.