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Un nouveau bras pour 500 dollars. Un plâtre en 3D, léger et aéré pour réparer les os cassés. L'impression 3D fait un nouveau pas dans le secteur médical et propose un concept novateur : le Cortex, un exosquelette léger et aéré qui se substitue au plâtre lourd et fermé.

Un plâtre en 3D, léger et aéré pour réparer les os cassés

Imaginée par un étudiant de l’Université Victoria de Wellington nommé Jake Evill, l’imprimante 3D Cortex pourrait bien être la solution libératrice aux fractures. Si l'objectif de maintenir en place un os qui s'est déplacé reste inchangé, il s'agit bien de mettre au point un principe d'immobilisation moins contraignant que le bon vieux plâtre lourd et hermétique, qu'il faut garder plusieurs semaines. L'imprimante permet de créer un plâtre sur mesure à partir de radiographies des endroits fracturés. La Cortex est censée pouvoir renforcer les endroits fragilisés par une densité de matière plus importante. "Pour le moment, l’impression 3D prend environ trois heures, là où un plâtre classique est fait en trois à sept minutes, mais nécessite entre un et trois jours à se solidifier complètement.

Prothesthétique. Les personnes amputées des jambes se voient souvent proposer des prothèses à taille unique, modèle standard.

Prothesthétique

Fonctionnel mais pas vraiment esthétique. Grâce à une toute nouvelle imprimante 3D et avec un peu d’imagination, il est désormais possible de réaliser des prothèses au look customisé. “J’ai toujours été frappé par le fait qu’une prothèse ressemble à une sculpture”, explique le designer Scott Summit. “Mais c’est un objet conçu par des ingénieurs qui remplit une fonction mécanique. On ne pense pas assez à l’aspect humain. Tout d’abord, on scanne la jambe afin de réaliser une prothèse qui épousera parfaitement sa forme. Impression 3D : un bassin humain recréé par un chirurgien. Impression 3D : un bassin humain recréé par un chirurgien L’impression 3D fait à-nouveau parler d’elle, cette fois-ci dans le domaine médical où un docteur aurait réussi à imprimer en 3D le bassin d’un patient souffrant d’une forme rare de cancer des os.

Impression 3D : un bassin humain recréé par un chirurgien

En effet, pour venir en aide à l’un de ses patients (âgés d’une soixantaine d’années), le docteur Craig Gerrant, consultant en chirurgie orthopédique et son équipe ont numérisé en 3D le bassin du patient dans le but de créer un nouvel os sur mesure. Une fois numérisé, l’équipe médicale a fait appel à la société britannique Stanmore Implants, spécialisée dans la conception de matériaux médico-chirurgicaux pour recréer l’os en question. Entièrement constitué de poudre de titane (une matière bio compatible) l’opération de remplacement de la partie détériorée du bassin a nécessité une reconstruction chirurgicale. « Le cancer avait affecté toute la partie droite du bassin [...]

Source. L’impression 3D délivre ses secrets. L’impression 3D délivre ses secrets Depuis le début du mois, le Pavillon de l’Arsenal a installé en partenariat avec le FabShop le premier atelier et démonstrateur public de fabrication digital au centre de Paris.

L’impression 3D délivre ses secrets

Cette plateforme ouverte, lieu de présentation, d’expérimentation, de formation, d’échange et de création, souhaite autant informer chacun que permettre à tous de concevoir en 3D. Jusqu'au 30 mars. VIDEO. Avec l’installation de ce FabLab au coeur des espaces d’exposition du Pavillon de l’Arsenal, le FabShop propose aux professionnels et au grand public à s’initier et s’approprier cette technologie pour en comprendre le fonctionnement et l’utiliser. Les équipes du Fabshop assurent la médiation et répondent à vos questions du 1er au 31 mars du mardi au samedi de 10h30 à 18h30 et le dimanche de 11h à 19h.

Une imprimante 3D spécialisée dans la dentisterie. 17mar2015 Avec la bijouterie, la dentisterie fait partie aujourd’hui des secteurs d’activité qui emploie le plus l’impression 3D.

Une imprimante 3D spécialisée dans la dentisterie

Guides chirurgicaux, modèles, couronnes provisoires ou encore implants… Les applications sont réelles et multiples dans ce domaine. Une tendance qui s’accentue d’année en année tant cette technologie se spécialise et se perfectionne. Fort de ce plébiscite, le constructeur américain Stratasys vient de dévoiler l’Objet260 Dental Selection, une nouvelle imprimante 3D capable de reproduire des modèles dentaires très réalistes. Présenté lors du salon international d’odontologie de Cologne en Allemagne, ce modèle fonctionne selon la technologie triple jet. Capable d’imprimer en une seule fois une pièce multimatériaux, l’Objet260 Dental Selection posède également une finition très élevée (16 microns). Compatible avec Window 7 et 8, l’Objet260 Dental Selection possède un volume d’impression de 255 x 252 x 200 mm.

Le métier d’administrateur systèmes & réseaux. La responsabilité des administrateurs système et réseaux. Administrateur systèmes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. administrateur systèmes En informatique, le titre d'administrateur systèmes désigne la personne responsable des serveurs d'une organisation (entreprise, association, administration).

Administrateur systèmes

Il travaille au sein d'une DSI (Direction des Systèmes d'Information) ou d'une SSII (Société de Services en Ingénierie Informatique). L'administrateur systèmes intervient auprès du DSI (Directeur des systèmes d'information), des DBA (Database Administrator, administrateur de bases de données), des administrateurs réseau, des webmasters et apparentés, des développeurs, des responsables bureautique (postes de travail) et enfin des usagers. Administrateurs de réseaux : entre sécurité informatique et protection des salariés. L'administrateur de réseaux a en charge la mise en place, la maintenance et la sécurité des systèmes d'information de l'entreprise.

Administrateurs de réseaux : entre sécurité informatique et protection des salariés

Il cherche notamment à éviter les risques d'intrusions ou de virus, à prévenir les fuites de savoir-faire ou de fichiers clients, et à s'assurer d'une utilisation normale par les salariés des systèmes informatiques de l'entreprise. Lorsqu'il ne prend pas les mesures nécessaires à cette mission, il risque de manquer aux obligations définies dans son contrat de travail et d'engager sa responsabilité civile et pénale, tout comme celle de l'entreprise. Pour assurer cette sécurité, il est tenu de surveiller l'usage que font les salariés de la messagerie et de l'accès à internet mis à disposition par l'entreprise. Or, cette surveillance, autrement appelée "cybersurveillance", peut également dans certains cas engager sa responsabilité. Veille juridique 2014-2016. 2003.jres.org/actes/paper.130.pdf.