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Google Art Project

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Google Art Project. PPT Google Art Project. Google Art Project. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Google Art Project est un service mis en ligne par Google en février 2011, permettant de visiter virtuellement différents musées. §Musées mis en ligne[modifier | modifier le code] Grâce à la technologie Street View, Google a permis la numérisation en 3D, de 32 000 œuvres de 151 musées ou lieux différents à travers 40 pays[1]. Les 17 musées ayant participé au lancement du projet en 2011 sont[2] : S'agissant des institutions françaises, les collections du musée d'Orsay, du musée de l'Orangerie, du musée du quai Branly, du musée Condé à Chantilly et du château de Fontainebleau se sont ajoutées à Versailles en 2012.

§Liens externes[modifier | modifier le code] §Notes et références[modifier | modifier le code] Google Cultural Institute. Le Lab de Google ouvre ses portes. Il y a deux ans, Google lançait son Institut Culturel. Il répertorie dans un musée virtuel les œuvres d’art de 400 musées et institutions cutlturelles de 50 pays et permet aux internautes de les examiner et de les comparer dans le moindre détail. Google apporte une pierre de plus à ce projet avec la création du Lab. Intégré au Googleplex parisien, cet espace de 340 m2 est destiné à encourager une collaboration étroite entre le monde de la technologie et celui de la culture. Il se propose d’accueillir des partenaires, des musées, des institutions culturelles, des artistes, des communautés créatives, des écoles et de jeunes créateurs autour de projets communs. Des ateliers technologiques, des séminaires et des artistes en résidence permettront de faire de ce lieu un hub où experts culturels et ingénieurs pourront partager leurs idées, mettre en œuvre des projets d'innovation et travailler sur de nouveaux prototypes.

Le Lab est un espace de travail et d’échanges. Google officialise son institut culturel. Aurélie Filippetti gâche l'inauguration de l'institut culturel de Google. La ministre de la Culture, conviée à l'ouverture de ce nouveau lieu à Paris, a fait faux-bond à Google. Elle refuse de «servir de caution» à cette opération. Aurélie Filippetti ne participera pas à l'inauguration de l'institut culturel de Google. La ministre de la Culture, attendue ce mardi en fin d'après-midi rue de Londres, au siège parisien du géant du Web, a décidé de ne pas se joindre à cet événement.

«Je ne veux pas servir de caution à une opération qui ne lève pas un certain nombre de questions que nous avons à traiter avec Google», a-t-elle justifié dans un entretien au Monde . Elle sera finalement remplacée par Fleur Pellerin, à qui l'Élysée et Matignon ont demandé de remplacer au pied levé sa collègue. Chez Google, la surprise était totale mardi matin. «Nous sommes extrêmement déçus, la ministre Aurélie Filippetti s'était encore engagée hier soir à venir inaugurer ce lieu», a réagi une porte-parole. L'institut culturel sera réservé aux partenaires culturels de Google.

Filippetti boycotte l'institut culturel Google, Pellerin appelée à la rescousse. Aurélie Filippetti a pris la décision de ne pas se rendre, mardi 10 décembre, à l'inauguration de l'institut culturel Google, à Paris. « Malgré la qualité des projets conduits, je ne veux pas servir de caution à une opération qui ne lève pas un certain nombre de questions que nous avons à traiter avec Google », a justifié la ministre de la culture au Monde. Mme Filippetti cite quatre points de friction : « La question de l'équité fiscale, celle de la protection des données personnelles, celle de la protection de la diversité culturelle et enfin le dossier des droits d'auteurs. » Par ailleurs, dans « l'automne numérique » (politique numérique du ministère) sont traités des sujets comme la mise en valeur du domaine public et l'ouverture des données du domaine public culturel, poursuit la ministre.

Chez Google, les communicants en tombaient de leur chaise, mardi matin. « On ne comprend pas. (L)es équipes (d'Aurélie Filippetti) étaient en repérage, il y a quelques jours », explique-t-on. Google flatte l'exception culturelle française avec son institut culturel mais se fait boycotter par Filippetti. CULTURE - Promis, Google avait assuré que l'on ne l'y reprendrait plus. En ouvrant les portes de son Institut mardi, le géant a pris le soin de caresser le monde culturel dans le sens du poil pour ne pas reproduire les erreurs du passé. Et tous les acteurs du secteur ont été conviés pour cet événement majeur. Une façon de témoigner sa bonne volonté à une sphère qui n'a jamais été folle du moteur de recherche. Sauf qu'au dernier moment, son principal représentant a fait faux bond.

Si Aurélie Filippetti a bien été invitée, la ministre de Culture a boycotté le rendez-vous à la dernière minute, "pour ne pas servir de caution à une opération qui ne lève pas un certain nombre de questions que nous avons à traiter avec Google". Sont visés par la ministre, la question de l'équité fiscale, la protection des données personnelles, la protection de la diversité culturelle et enfin le dossier des droits d'auteurs. Contenu de marque Proposé par la Mutualité Française. OPA à succès de Google sur les musées en ligne. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Nathaniel Herzberg Sensation du printemps dans le monde des arts plastiques, le géant informatique Google a lancé, mardi 3 avril, la nouvelle version de son musée virtuel. Ainsi présentée, l'information peut sembler aussi anodine que l'annonce du septième opus cinématographique des aventures de Beethoven le chien. Erreur ! Deux éléments méritent l'attention.

Lors de la présentation à la presse, au Musée d'Orsay, puis pendant la soirée qui rassemblait une partie du gotha muséal mondial, Amid Sood, le responsable du projet, n'a pas manqué de rappeler qu'avec la nouvelle version le cap avait été mis sur les pays émergents et les diverses formes d'art. L'entreprise californienne a choisi aussi de multiplier les fonctionnalités. Plus précieux et plus rare, le tri par artiste. Parmi les 151 établissements, 51 bénéficient du logiciel de déplacement hérité de la technologie Street View. "Et tout est parfaitement gratuit", tambourine-t-on chez Google. Ces musées qui donnent accès à leurs collections en ligne. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Emmanuelle Jardonnet Une infinité d'œuvres d'art sont accessibles en ligne en quelques clics – souvent en petit format, dans une définition moyenne, mais, surtout, qui ne sont pas exploitables sans autorisation.

Face aux usages des étudiants en art, de leurs professeurs comme de n'importe quel spécialiste ou amateur, qui utilisent Internet pour consulter ou utiliser des reproductions facilement et rapidement, certains musées prennent les devants pour offrir en libre accès des images grand format et de qualité. Un positionnement qui leur permet de se montrer en phase avec la culture numérique tout en valorisant leur image et leurs collections, alors même qu'il leur est impossible de garder jalousement la main dessus.

Petit état des lieux de l'offre muséale en ligne. 400 000 œuvres téléchargeables sur le site du Met De nouvelles reproductions seront mises en ligne régulièrement. Les pionniers. Google Art Project: visitez les plus grands musées du monde en ligne. Dans les entrailles du musée virtuel de Google - Les Echos. L'oeil de Google ausculte les plus beaux tableaux des grands musées. Capture d'écran de Google Art Project. Ce dispositif est-il révolutionnaire ? Google Art Project permet aux internautes de flâner virtuellement dans certaines salles de 17 musées (1) à travers le monde.

Sa particularité, par rapport à d'autres dispositifs, est d'avoir intégré les oeuvres numérisées au sein de Google Street View, le site qui permet de visualiser à 360° les rues de très nombreux pays. Un procédé particulièrement intéressant pour le château de Versailles. « Le plus important, ce ne sont pas les oeuvres, c'est leur lien avec le bâtiment, souligne Jean-Jacques Aillagon, président de l'établissement public du château de Versailles. Le Repas chez Simon le Pharisien de Véronèse ne peut se voir que dans le contexte du salon d'Hercule dans lequel il est accroché. » Autre atout du site de Google : la haute résolution.

Le portrait de Marie-Antoinette par Vigée-Lebrun, Dans la serre de Manet, La Nuit étoilée de Van Gogh ont reçu ce traitement de faveur. Why the Google Art Project is Important -e-Literate. By Beth Harris, Ph.D. and Steven Zucker, Ph.D., Deans, Art and History, Khan Academy Our schools and libraries are being radically re-imagined for the digital age, but what about our museums?

The New York Public Library, for example, is bravely (and controversially) rethinking its Fifth Avenue flagship building. Last month, MIT and Harvard announced edX, a partnership to offer free online courses, and last fall, Stanford offered three massive open online courses (MOOC) to hundreds of thousands of students for free, and Khan Academy provided 6.1 million unique users with free instruction in March 2012 alone.

Museums, on the other hand, have remained largely insular and focused on their institutional identity. So perhaps it’s no surprise that the most recent digital innovation comes not from the museums themselves but from Google, which launched the second iteration of the Google Art Project last month. This is a really big deal. There are some hopeful signs. Google+ Comments. Google Art Project: tout n’est pas rose. Le dernier-né de Google permet de visiter de grands musées, grâce à la technologie utilisée dans Street View. Très bien accueilli, ce projet est pourtant critiquable pour Adrienne Alix, présidente de Wikimedia France.

Google vient de sortir un énième nouveau projet : Google Art Project [en]. Il est ainsi décrit dans cette dépêche AFP : « Google a lancé une plate-forme permettant aux amateurs d’art de se promener virtuellement dans 17 des plus grands musées du monde, dont le MoMA de New York et le Château de Versailles, grâce à sa technologie Street View, familier des utilisateurs du site de cartes Google Maps. » La présentation vidéo de Google est spectaculaire et la visite virtuelle l’est tout autant. Ce qui m’a le plus impressionné, c’est le fait que chaque musée offre l’une de ses œuvres à une précision numérique hors du commun (7 milliards de pixels !). Faites un zoom sur son visage et vous serez peut-être comme moi saisi par une certaine émotion. Et encore un projet sympa. Google Art Project : un musée pas si ouvert. Quand Google offre aux 2 milliards d'internautes terriens une visite gratuite des plus grands musées du monde et l'accès à 1061 célèbres tableaux photographiés en très haute résolution, comment peut-on l'accuser d'œuvrer contre l'intérêt général ?

De restreindre l'accès du grand public au patrimoine culturel ? Une telle position paraît pour le moins absurde en regard du Google Art Project sorte de Google Street View intra-musées mis en ligne la semaine dernière. Et pourtant, ces arguments sont défendus par de nombreux militants libristes, dont les contributeurs des projets Wikimédia, qui ont une tout autre idée de la notion de partage de la culture. Ils déplorent notamment que les reproductions ne soient pas téléchargeables, et que Google évoque une protection de ces images par le droit d'auteur, alors que nombre des œuvres concernées sont tombées dans le domaine public depuis belle lurette. Le projet est impressionnant. Détail de “La Nuit étoilée” de Van Gogh -- DR Google ? Google Art Project : le musée virtuel, une expérience « froide »

Le musée virtuel est en pleine accélération. On vient d’assister coup sur coup au lancement de la plateforme communautaire du Louvre et à la mise en ligne d’une appli développée par Google, le Google Art Project, qui permet de visiter dix-sept musées depuis votre ordinateur. Avant de vous parler de cette dernière initiative qui a au moins autant de détracteurs que ceux qui déplorent la mainmise de Google sur la numérisation des bibliothèques (10 millions d’ouvrages accessibles via Google Books), on a préféré faire tester le dispositif par quatre riverains. Depuis quinze jours, vous pouvez vous promener en quelques clics dans les travées du musée Van Gogh à Amsterdam ou au MoMA à New York. Et retrouver une quinzaines de salles du château de Versailles (seule institution française à avoir signé avec la firme américaine). Leurs retours sont plus que mitigés. Voilà pour la promo. Xavier, 55 ans Au moins une expo ou une galerie par mois : Lapin Bleu, 33 ans Abel, 14 ans Déborah, 29 ans Interview.

Philanthrope mais pas que : pourquoi l’ogre Google investit la culture. Google Art Project : vision critique - Compteurdedit. Depuis deux jours, le web (et notamment le web « culturel », mais pas seulement) s'enthousiasme pour le dernier-né des projets développés par Google, Google Art Project. Le principe est compréhensible facilement : Google Art Project, sur le modèle de Google Street View, permet de visiter virtuellement des musées en offrant aux visiteurs une vue à 360°, un déplacement dans les salles.

On peut aussi zoomer sur quelques œuvres photographiées avec une très haute résolution et pouvoir en apprécier tous les détails, certainement mieux que ce qu'on pourrait faire en visitant réellement le musée. Et donc, tout le monde s'extasie devant ce nouveau projet, qui permet de se promener au musée Van Gogh d'Amsterdam, au château de Versailles, à l'Hermitage, à la National Gallery de Londres, etc. En effet c'est surprenant, intéressant, on peut s'amuser à se promener dans les musées. 1- d'une part, la qualité n'est pas toujours là. Are the images on the Art Project site copyright protected?

Yes. Google Art Project piraté pour le bien de la culture libre. Ce mois-ci Google a révélé son intiative Google Art Project, qui a soulevé l'admiration partout dans le monde. La firme de Mountain View donne accès à la visite virtuelle de 17 musées, et permet de scruter plus de 1000 tableaux photographiés en haute résolution. Mais il est un aspect qui a été fortement négligé, y compris par Numerama ; celui de l'appropriation d'œuvres du domaine public. Un problème soulevé sur son blog par Adrienne Alix, la présidente de Wikimédia France, et détaillé dans un excellent article d'Ecrans. Plutôt que d'ouvrir son catalogue d'œuvres numérisées, Google a créé une interface entièrement en Flash qui ne permet pas le téléchargement des toiles. Ceux qui souhaitent les consulter doivent obligatoirement passer par l'interface propriétaire et fermée de Google, sans possibilité de les archiver, par exemple pour une utilisation éducative.

Fréquenter l'art numérique, configurations techniques et rituels sociaux.